AlloCiné
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Votre avis sur La Ligne verte ?
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Un film que l'on garde en mémoire pendant longtemps, tant le message est fort. Une histoire magnifique où la bonté des hommes côtoie la méchanceté des autres. Une belle leçon d'humanisme et de tolérance.
Le sujet est profond et délicat à traiter, les acteurs exceptionnels sans l'ombre d'un doute.
La seule chose qui pour moi a été un frein à l'appréciation globale du film est la relation au " fantastique ". Je n'ai pas adhéré à la scène des abeilles avalées et toutes les idées similaires...
Mais c'est un jugement personnel.
Pour le reste, il a tout d'un film culte.
La seule chose qui pour moi a été un frein à l'appréciation globale du film est la relation au " fantastique ". Je n'ai pas adhéré à la scène des abeilles avalées et toutes les idées similaires...
Mais c'est un jugement personnel.
Pour le reste, il a tout d'un film culte.
« La ligne verte » de Frank Darabont (2000) est un très long flash-back. Paul Edgecomb, âgé de 108 ans, revient sur sa vie dans les années 30 quand il était gardien-chef dans un pénitencier en Louisiane, plus spécialement chargé dans le bloc E des condamnés à mort avec sa ligne verte qui conduisait à la chaise électrique. Interprété de façon remarquable par Tom Hanks, ce gardien-chef est comme ses 4 autres collègues soucieux d’adoucir tant peut se faire les dernières semaines de ces condamnés à mort. En 1935 alors qu’il a 44 ans, il prend en charge John Coffey (Michael Clarke Duncan) accusé du viol et du meurtre de 2 petites filles… mais ce prisonnier, un très grand Noir au regard absent, paraît bien calme avec une âme enfantine, une certaine candeur, et Paul Edgecomb qu’il appelle « patron », s’intéressera à son cas. Il va se révéler doté de pouvoirs surnaturels dont Paul Edgecomb lui-même puis la femme du chef de la prison en bénéficieront
spoiler:
, John Coffey « avalant » le mal avant d’être épuisé et de pouvoir le recracher.
Inutile d’en dire plus sur ce film qui se déroule dans un univers carcéral étouffant, mais qui est poignant du fait de cet incroyable pouvoir surnaturel dont John Coffey transmettra à Paul Edgecomb sa très grande longévité lui permettant de ne pas oublier son exécution alors qu’il était en fait innocent !
Un film fort bien construit, captivant bien qu’il dure un peu plus de 3 h et qu'on ne peut pas oublier.
Inutile d’en dire plus sur ce film qui se déroule dans un univers carcéral étouffant, mais qui est poignant du fait de cet incroyable pouvoir surnaturel dont John Coffey transmettra à Paul Edgecomb sa très grande longévité lui permettant de ne pas oublier son exécution alors qu’il était en fait innocent !
Un film fort bien construit, captivant bien qu’il dure un peu plus de 3 h et qu'on ne peut pas oublier.
Que dire... un filme magnifique avec des personnages émouvant et qui jouent à merveille leur leur rôle, une histoire, une fin, filme magistral.
Le film est génial.
Le casting est parfait.
L'émotion est au rdv et même si vous avez déjà vu le film plusieurs fois, elle viendra vous faucher au même moment.
Du grand cinéma.
Le casting est parfait.
L'émotion est au rdv et même si vous avez déjà vu le film plusieurs fois, elle viendra vous faucher au même moment.
Du grand cinéma.
J'en ai vu des films mais celui là waouhhh, une leçon de cinéma à tous les niveaux : histoire, acteurs, musique, mise en scène, réalisation ... !!! Vu à de multiples reprises et c'est toujours le même ressenti !!! Chef d'œuvre avec un grand C !!! Ça remue les tripes et il y'a tellement de thématiques abordées !!!
Je ne peux que le recommander pour se faire sa propre opinion !!!
Je ne peux que le recommander pour se faire sa propre opinion !!!
C'est un très bon film avec une bonne thématique originale.
L'histoire des personnages est touchante et intéressante. On ressens bien l'ambiance ce qui est plaisant.
Cependant je trouve le film un peu long et je dirais qu'on ressens le temps passer durant celui-ci.
Je vous conseille ce film qui reste un classique à voir dans sa vie.
L'histoire des personnages est touchante et intéressante. On ressens bien l'ambiance ce qui est plaisant.
Cependant je trouve le film un peu long et je dirais qu'on ressens le temps passer durant celui-ci.
Je vous conseille ce film qui reste un classique à voir dans sa vie.
C'est clairement une des meillleurs adapations de roman de Stephen King. L'histoire est passionante, le film à beau duré 3h09 on ne s'ennuie jamais. Les acteurs sont aux top surtout Tom Hanks, Michael Clark Duncan(RIP) et Sam Rockwell et comment oublié la fin qui est plus qu'émouvante. Un chef d'oeuvre absolu.
Que peut-on reprocher à ce film, sérieusement?
Le casting? Epoustouflant d'exactitude (mention spéciale à Doug Hutchison (Percy) et Sam Rockwell (Barton). Que dire de Michael Clarke Duncan (Coffey), les gardiens... Bref. 20/20.
L'histoire? Calquée sur la fantastique nouvelle de Stephen King, mêlant drame au fantastique avec quelques touches d'humour en passant par de nombreuses émotions?
Bien sûr que l'on peut regretter l'humanisation de certains détenus, coupables des pires atrocités et que non, l'univers du couloir de la mort n'est pas le monde des bisounours mais, tout de même, Franck Darabont nous fait nous évader pendant trois heures en retranscrivant de manière parfaite cinématographiquement l'excellente nouvelle du maître King.
Un chef d'œuvre.
Le casting? Epoustouflant d'exactitude (mention spéciale à Doug Hutchison (Percy) et Sam Rockwell (Barton). Que dire de Michael Clarke Duncan (Coffey), les gardiens... Bref. 20/20.
L'histoire? Calquée sur la fantastique nouvelle de Stephen King, mêlant drame au fantastique avec quelques touches d'humour en passant par de nombreuses émotions?
Bien sûr que l'on peut regretter l'humanisation de certains détenus, coupables des pires atrocités et que non, l'univers du couloir de la mort n'est pas le monde des bisounours mais, tout de même, Franck Darabont nous fait nous évader pendant trois heures en retranscrivant de manière parfaite cinématographiquement l'excellente nouvelle du maître King.
Un chef d'œuvre.
Un beau film tout simplement! c une oeuvre magique, émouvante et tragique. Tom Hanks est extraordinaire ainsi que Clarke Duncan qui avait fait une merveilleuse interprétation en John Coffey. C'est un film culte à revoir sans hésitation.
Un drame teinté de fantastique qui fait tout simplement partie du top des films sortis dans les années 90. Avec un Franck Darabont très inspiré derrière la caméra, un casting de premier choix et une histoire qui ne vieillit pas, La Ligne Verte appartient à ces films intemporels et inter-générationnels, et fera pleurer et réagir les petits comme les grands. Un très grand film, d'après Stephen King, par un réalisateur qui a clairement décidé de miser sur la qualité de ses métrages plutôt que sur la quantité.
Fêtons le cinéma
L’humanisme magique de The Green Mile, puisque l'ultime couloir mute en éveil aux autres et à la culture jusqu’à devenir une métaphore de notre destinée terrestre, trouve dans le milieu carcéral un territoire tout à la fois inapproprié, dans les représentations conventionnelles que l’on s’en fait et qui nous en ont été faites, et d’une justesse bouleversante, tant le cinéaste mêle les tonalités avec brio et impose sa vision artistique.
Le fantastique, qui évolue pour devenir du merveilleux, permet de décloisonner le récit et ouvrir sa signification à l’interprétation du spectateur, à la manière d’un conte articulant la poussière de fée à la noirceur du monde. Le géant s’affirme telle l’allégorie de la souffrance noire, celle d’hommes et de femmes accusés à tort et réduits en esclavage ; nul hasard si son nom est John Coffey, évoquant les plantations de café, et que l’intrigue se déroule en Louisiane, à proximité des champs de coton dans lesquels s’ouvre le long métrage. Le corps noir est un corps qui reçoit la violence des hommes blancs et qui, par la même occasion, les soulagent de leurs maux avant de disparaître. Cette logique sacrificielle demeure teintée de mystère, ce qui évite de tomber dans la défense plate et monolithique d’une thèse. La pluralité des points de vue et des caractères prévaut ici, rejouant le combat entre le Bien et le Mal sur fond de croyance religieuse.
Rarement trois heures auront passé aussi vite et nous auront à ce point immergé dans une histoire au demeurant sordide, jalonnée d’exécution qui sont filmées ici avec un mélange de pudeur et de réalisme choc ; pourtant, loin de toute complaisance, Frank Darabont ose le mélodramatique en encadrant son récit par la démarche mémorielle du personnage principal soucieux de raconter les prodiges extraordinaires auxquels il a assisté dans sa vie. La photographie somptueuse, alliée au travail de la lumière et des décors, transforme chaque plan en un tableau minutieusement composé ; les portraits de l’acteur Tom Hanks comptent parmi les plus beaux. La partition atmosphérique de Thomas Newman crée un voilage mélancolique qui achève de faire de The Green Line le chef-d’œuvre de son réalisateur, adapté de Stephen King même si, comme toute adaptation, « ça ne s’écrit pas pareil ».
Le fantastique, qui évolue pour devenir du merveilleux, permet de décloisonner le récit et ouvrir sa signification à l’interprétation du spectateur, à la manière d’un conte articulant la poussière de fée à la noirceur du monde. Le géant s’affirme telle l’allégorie de la souffrance noire, celle d’hommes et de femmes accusés à tort et réduits en esclavage ; nul hasard si son nom est John Coffey, évoquant les plantations de café, et que l’intrigue se déroule en Louisiane, à proximité des champs de coton dans lesquels s’ouvre le long métrage. Le corps noir est un corps qui reçoit la violence des hommes blancs et qui, par la même occasion, les soulagent de leurs maux avant de disparaître. Cette logique sacrificielle demeure teintée de mystère, ce qui évite de tomber dans la défense plate et monolithique d’une thèse. La pluralité des points de vue et des caractères prévaut ici, rejouant le combat entre le Bien et le Mal sur fond de croyance religieuse.
Rarement trois heures auront passé aussi vite et nous auront à ce point immergé dans une histoire au demeurant sordide, jalonnée d’exécution qui sont filmées ici avec un mélange de pudeur et de réalisme choc ; pourtant, loin de toute complaisance, Frank Darabont ose le mélodramatique en encadrant son récit par la démarche mémorielle du personnage principal soucieux de raconter les prodiges extraordinaires auxquels il a assisté dans sa vie. La photographie somptueuse, alliée au travail de la lumière et des décors, transforme chaque plan en un tableau minutieusement composé ; les portraits de l’acteur Tom Hanks comptent parmi les plus beaux. La partition atmosphérique de Thomas Newman crée un voilage mélancolique qui achève de faire de The Green Line le chef-d’œuvre de son réalisateur, adapté de Stephen King même si, comme toute adaptation, « ça ne s’écrit pas pareil ».
excellente films je le regarde quand je peu et il procure toujours autant de sentiments à travers le films je le recommande il est trop bien
Ce film c'est toute mon enfance en 3heures. Quand je l'ai revu ça m'a donné un coup de vieux et de nostalgie. C'est un film emblématique qui raconte que les crimes et la mort sont d'une banalité de nos jours, et sévissent dans le monde entier. Il marque une époque révolue où il y avait encore la peine de mort!
Incroyable ! Ce chef-d'oeuvre à la base écrit par Stephen King ! Très étonnant de voir ce génie de l'horreur dans une oeuvre aussi touchante ! John Caffey comme le café mais ça ne s'écrit pas pareil ! Ce colosse est tout simplement pur ! Et d'une pureté ! Sa mort pour moi est un sacrifice ! Car la raison pour laquelle il ne veut pas s'enfuir avant est très juste mais triste. Et c'est malheureusement encore plus le cas aujourd'hui.
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