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Votre avis sur La Ligne verte ?
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Que dire de la ligne verte... Le film le plus émouvant de l histoire ! Tom hanks et surtout Michael Clarke Duncan vous feront pleurer devant ce film culte et incroyable.... A voir comme tous les chefs d oeuvres
On reproche à ce film de ne jamais donner d'avis sur la peine de mort. Pour moi, ce n'est pas un défaut, on reste témoin et à nous de juger.
Frank Darabont est décidément le meilleur pour adapter Stephen King : le scénario est superbement écrit et très humain, la mise en scène est irréprochable et l'interprétation est excellente (en particulier Sam Rockwell en psychopathe dérangé). Un chef-d'oeuvre, tout simplement.
Frank Darabont est décidément le meilleur pour adapter Stephen King : le scénario est superbement écrit et très humain, la mise en scène est irréprochable et l'interprétation est excellente (en particulier Sam Rockwell en psychopathe dérangé). Un chef-d'oeuvre, tout simplement.
maxime ...
je l'est tellement regardé étant gosse que j'avais fini par me lassé et après 5 ou 6 ans sans le revoir j'arrive à nouveau à l’apprécié. ed et billy me font trop rire pour le premier son sort est tragique et ma tué et pour le deuxième toute la sympathie qu'on éprouve pour lui s'évapore lorsque l'on revit ces actes j'en est eu froid dans le dos. mais si on ne devait retenir qu'une seule interprétation se serait inévitablement celle de michael clarke duncan en john caffey... que dire appart qu'il capte notre attention de la première à la dernière seconde ou il apparaît et bordel que d'émotions, paix a son âme. ce que j'aime dans la ligne verte c'est pas forcément sa tristesse comme j'ai pu souvent lire ou entendre dire car il y' a des centaines de longs métrages bien meilleur dans ce domaine et de bien plus bouleversant mais son humour lors de scènes inattendu
spoiler:
comme après la mort de ed avec la vanne de paul mais surtout avec la chanson de cette enfoiré de kid
. de grands moment comme lorsque gary sinise nous raconte l'histoire de son chien terrifiant et atroce et beaucoup d'autres comme toutes les aventures de percy ( quel petite pute cet enfoiré ). un final mémorable et ce petit bougre de mister jingle ma mis dans tout mes émois dans les dernières minutes. les larmes des gardiens lors de spoiler: l’exécution de john
est un déchirement.
- " Nous sommes tous promis à la mort, tous sans exceptions. Mais pour certains parfois la ligne verte semble bien longue. "
. de grands moment comme lorsque gary sinise nous raconte l'histoire de son chien terrifiant et atroce et beaucoup d'autres comme toutes les aventures de percy ( quel petite pute cet enfoiré ). un final mémorable et ce petit bougre de mister jingle ma mis dans tout mes émois dans les dernières minutes. les larmes des gardiens lors de spoiler: l’exécution de john
est un déchirement.
- " Nous sommes tous promis à la mort, tous sans exceptions. Mais pour certains parfois la ligne verte semble bien longue. "
Un brillant film.
L'histoire est sublime, à la fois intrigante, magique, inquiétante et glauque à la fois. On passe par toutes les émotions dans ce film (l'attachement, la colère, la tristesse, la compassion … ). On reste accroché du début à la fin.
Tom Hanks est génial et Michael Clarke Duncan est géant (tant sur le plan physique que par son talent d'acteur). Les autres acteurs (David Morse, James Cromwell, Doug Hutchison, Michael Jeter, Sam Rockwell … ) jouent bien leurs rôles.
Un superbe film.
L'histoire est sublime, à la fois intrigante, magique, inquiétante et glauque à la fois. On passe par toutes les émotions dans ce film (l'attachement, la colère, la tristesse, la compassion … ). On reste accroché du début à la fin.
Tom Hanks est génial et Michael Clarke Duncan est géant (tant sur le plan physique que par son talent d'acteur). Les autres acteurs (David Morse, James Cromwell, Doug Hutchison, Michael Jeter, Sam Rockwell … ) jouent bien leurs rôles.
Un superbe film.
Je n'ai jamais compris l'engouement pour ce film interminable.
Ça dégouline de partout de bons sentiments bas de gamme. C'est larmoyant sans jamais être profond. C'est niais. C'est long. Long. Si long...
Et surtout c'est d'un manichéisme à faire pâlir n'importe quel dessin animé de Disney.
Les deux "méchants" (un des prisonniers et un des gardiens) sont bêtes, faibles, pervers, lâches, sadiques, violents, petits et moches. Les "gentils", eux, c'est bien sûr tout le contraire. C'est vraiment des mecs biens. Bon, c'est vrai, il leur arrive de faire des misères pas très jolies jolies aux "méchants", mais c'est des "méchants", donc c'est normal. En tout cas, c'est toujours présenté dans le film comme étant normal.
Sans compter qu'un des thèmes du film est la critique de la peine de mort, mais le scénario est d'une telle incohérence qu'il présentera comme parfaitement légitime qu'un des méchants se fasse tirer dessus et tuer alors qu'il est sans défense. Mais bon, il semble évident que ce n'est pas le genre de film qui demande au spectateur de brancher son cerveau.
Seul point positif dans ce désastre généralisé, La Ligne Verte a révélé le talent de l'excellent Sam Rockwell. Mais ça ne suffira pas à sauver le film, loin s'en faut.
Ça dégouline de partout de bons sentiments bas de gamme. C'est larmoyant sans jamais être profond. C'est niais. C'est long. Long. Si long...
Et surtout c'est d'un manichéisme à faire pâlir n'importe quel dessin animé de Disney.
Les deux "méchants" (un des prisonniers et un des gardiens) sont bêtes, faibles, pervers, lâches, sadiques, violents, petits et moches. Les "gentils", eux, c'est bien sûr tout le contraire. C'est vraiment des mecs biens. Bon, c'est vrai, il leur arrive de faire des misères pas très jolies jolies aux "méchants", mais c'est des "méchants", donc c'est normal. En tout cas, c'est toujours présenté dans le film comme étant normal.
Sans compter qu'un des thèmes du film est la critique de la peine de mort, mais le scénario est d'une telle incohérence qu'il présentera comme parfaitement légitime qu'un des méchants se fasse tirer dessus et tuer alors qu'il est sans défense. Mais bon, il semble évident que ce n'est pas le genre de film qui demande au spectateur de brancher son cerveau.
Seul point positif dans ce désastre généralisé, La Ligne Verte a révélé le talent de l'excellent Sam Rockwell. Mais ça ne suffira pas à sauver le film, loin s'en faut.
Il n'y a pas beaucoup de films qui on eu la force de nous faire pleurer, mais celui-ci n'a pas eu besoin de recourir a la force pour nous faire avoir une telle émotion, il nous a marqué, il ma marqué, il nous a touché.
John coffey je crois bien est la présence humaine de la vie, que du bon en lui, que de la gentillesse, il ne voudra jamais votre mort, il ne pourra jamais vous détester.
il prend ce qui est mauvais et le fait disparaître, mais le mal... le mal fait toujours des dégâts, john coffey a souffert pour soigner et guérir ceux qui devait être soigner.
les musiques dans ce film sont émouvante, non pas émouvante, elles sont vie, elles sont bonheurs, elles sont la vie.
FRANK DARABONT a réussi la ou il voulait en arriver, nous faire pleurer des tristesses Pures, c'est le réalisateur du film: Les évadés, film du même niveau qui est peut être le meilleur film sur le sujet de la prison, avec bien sur comme même rival: midnight express.
Nous avons dans le casting un acteur talentueux, fort dans ce qu'il est, un acteur émouvant. Tom hanks.
La Ligne Verte:
spoiler: Mister Jingle
John coffey je crois bien est la présence humaine de la vie, que du bon en lui, que de la gentillesse, il ne voudra jamais votre mort, il ne pourra jamais vous détester.
il prend ce qui est mauvais et le fait disparaître, mais le mal... le mal fait toujours des dégâts, john coffey a souffert pour soigner et guérir ceux qui devait être soigner.
les musiques dans ce film sont émouvante, non pas émouvante, elles sont vie, elles sont bonheurs, elles sont la vie.
FRANK DARABONT a réussi la ou il voulait en arriver, nous faire pleurer des tristesses Pures, c'est le réalisateur du film: Les évadés, film du même niveau qui est peut être le meilleur film sur le sujet de la prison, avec bien sur comme même rival: midnight express.
Nous avons dans le casting un acteur talentueux, fort dans ce qu'il est, un acteur émouvant. Tom hanks.
La Ligne Verte:
spoiler: Mister Jingle
stallonefan62
Un film poignant, émouvant, interprété de façon exceptionnelle !! 3h de film et pourtant aucun ennui grâce à une réalisation soignée et captivante !!
Fêtons le cinéma
L’humanisme magique de The Green Mile, puisque l'ultime couloir mute en éveil aux autres et à la culture jusqu’à devenir une métaphore de notre destinée terrestre, trouve dans le milieu carcéral un territoire tout à la fois inapproprié, dans les représentations conventionnelles que l’on s’en fait et qui nous en ont été faites, et d’une justesse bouleversante, tant le cinéaste mêle les tonalités avec brio et impose sa vision artistique.
Le fantastique, qui évolue pour devenir du merveilleux, permet de décloisonner le récit et ouvrir sa signification à l’interprétation du spectateur, à la manière d’un conte articulant la poussière de fée à la noirceur du monde. Le géant s’affirme telle l’allégorie de la souffrance noire, celle d’hommes et de femmes accusés à tort et réduits en esclavage ; nul hasard si son nom est John Coffey, évoquant les plantations de café, et que l’intrigue se déroule en Louisiane, à proximité des champs de coton dans lesquels s’ouvre le long métrage. Le corps noir est un corps qui reçoit la violence des hommes blancs et qui, par la même occasion, les soulagent de leurs maux avant de disparaître. Cette logique sacrificielle demeure teintée de mystère, ce qui évite de tomber dans la défense plate et monolithique d’une thèse. La pluralité des points de vue et des caractères prévaut ici, rejouant le combat entre le Bien et le Mal sur fond de croyance religieuse.
Rarement trois heures auront passé aussi vite et nous auront à ce point immergé dans une histoire au demeurant sordide, jalonnée d’exécution qui sont filmées ici avec un mélange de pudeur et de réalisme choc ; pourtant, loin de toute complaisance, Frank Darabont ose le mélodramatique en encadrant son récit par la démarche mémorielle du personnage principal soucieux de raconter les prodiges extraordinaires auxquels il a assisté dans sa vie. La photographie somptueuse, alliée au travail de la lumière et des décors, transforme chaque plan en un tableau minutieusement composé ; les portraits de l’acteur Tom Hanks comptent parmi les plus beaux. La partition atmosphérique de Thomas Newman crée un voilage mélancolique qui achève de faire de The Green Line le chef-d’œuvre de son réalisateur, adapté de Stephen King même si, comme toute adaptation, « ça ne s’écrit pas pareil ».
Le fantastique, qui évolue pour devenir du merveilleux, permet de décloisonner le récit et ouvrir sa signification à l’interprétation du spectateur, à la manière d’un conte articulant la poussière de fée à la noirceur du monde. Le géant s’affirme telle l’allégorie de la souffrance noire, celle d’hommes et de femmes accusés à tort et réduits en esclavage ; nul hasard si son nom est John Coffey, évoquant les plantations de café, et que l’intrigue se déroule en Louisiane, à proximité des champs de coton dans lesquels s’ouvre le long métrage. Le corps noir est un corps qui reçoit la violence des hommes blancs et qui, par la même occasion, les soulagent de leurs maux avant de disparaître. Cette logique sacrificielle demeure teintée de mystère, ce qui évite de tomber dans la défense plate et monolithique d’une thèse. La pluralité des points de vue et des caractères prévaut ici, rejouant le combat entre le Bien et le Mal sur fond de croyance religieuse.
Rarement trois heures auront passé aussi vite et nous auront à ce point immergé dans une histoire au demeurant sordide, jalonnée d’exécution qui sont filmées ici avec un mélange de pudeur et de réalisme choc ; pourtant, loin de toute complaisance, Frank Darabont ose le mélodramatique en encadrant son récit par la démarche mémorielle du personnage principal soucieux de raconter les prodiges extraordinaires auxquels il a assisté dans sa vie. La photographie somptueuse, alliée au travail de la lumière et des décors, transforme chaque plan en un tableau minutieusement composé ; les portraits de l’acteur Tom Hanks comptent parmi les plus beaux. La partition atmosphérique de Thomas Newman crée un voilage mélancolique qui achève de faire de The Green Line le chef-d’œuvre de son réalisateur, adapté de Stephen King même si, comme toute adaptation, « ça ne s’écrit pas pareil ».
Nicothrash
La Ligne Verte de Frank Darabont et tiré de l'oeuvre de S. King a 20 ans et plus le temps passe, plus l'on se dit qu'il traversera les âges sans aucun soucis. Cette petite merveille de 3h15 a le don de vous coller les poils à chaque visionnage. Aussi beau que cruel, La Ligne Verte se pare d'un casting génial avec l'excellent Tom Hanks en tête suivi de près par un Michael Clarke Duncan, le géant au grand coeur. Chaque personnage, parfaitement incarné, a son mot à dire et l'ensemble est un véritable régal à suivre. On sourit, on s'émeut, on pleure, toutes les phases y passent et c'est avec brio que Darabont nous emmène dans un monde aux frontières de l'onirisme, là où malgré la magie ambiante, on devra tout de même se remettre en question, nous, simples mortels, avec nos croyances et surtout nos failles ... Un chef d'oeuvre.
La première heure du film est bien mais c'est après que ça empire... En effet, le film est ensuite plombé par les pouvoirs surnaturels d'un énorme messie noir qui contraste hideusement avec le réalisme de l'univers carcéral initialement bien ancré. Cet aspect paranormal surprend d'abord, mais devient vite exaspérant. Notamment au travers d'un manichéisme affiché et très agaçant ("lui, j'ai senti, il est mauvais","toi, tu es bon", etc.). De surcroit, le film ne prend aucun parti sur l'utilité de la peine de mort, ou pire : il la prône ! Au final, on sait pas vraiment où on veut en venir, quel est le thème central (foi et croyance, la longueur de la vieillesse, la dureté de l'univers carcéral, la peine de mort ?), et on est quand même bien content que ça se finisse... En fait, La Ligne Verte est surtout une belle performance au niveau des acteurs, c'est bien mais pas assez... Une déception.
J’ai toute ma vie entendu parler de ce film sans m’y intéresser vraiment, sa durée me freinait beaucoup. Mais pendant l’été, je me suis mis à lire le livre que j’ai énormément aimé et qui m’a hanté même une fois fini.
Je me suis donc lancé dans le visionnage du film. Et je n’ai pas vu passer les 3h vraiment. Déjà l’adaptation est parfaite, rarement vu une adaptation de cette qualité (et j’aime beaucoup lire les livres qui ont inspirés des films). Les acteurs sont géniaux, mais surtout Michael Clarke Duncan incarne à la perfection John Caffey (pourquoi il n’a pas eu l’Oscar !) et m’a tiré beaucoup de larmes. Tom Hanks est également très bon.
Un chef d’œuvre !
Je me suis donc lancé dans le visionnage du film. Et je n’ai pas vu passer les 3h vraiment. Déjà l’adaptation est parfaite, rarement vu une adaptation de cette qualité (et j’aime beaucoup lire les livres qui ont inspirés des films). Les acteurs sont géniaux, mais surtout Michael Clarke Duncan incarne à la perfection John Caffey (pourquoi il n’a pas eu l’Oscar !) et m’a tiré beaucoup de larmes. Tom Hanks est également très bon.
Un chef d’œuvre !
Il faut s'accrocher pour voir un film de 3 heures. Et pourtant, malgré quelques longueurs et lourdeurs pas très digestes, ça passe très facilement. Darabont, le réalisateur, est un fan de Stephen King. Il suffit de jeter un coup-d'oeil à sa courte filmographie. Qui dit Stephen King dit (presque) forcément surnaturel. Donc pas de surprise. On a, ici, le droit à un médium-guérisseur "d'envergure" : le simplet John Coffey (inoubliable Michael Duncan). Par ailleurs, tout le casting est sans faute, de Tom Hanks (le chef du bloc E, Paul Edgecomb) à Doug Hutchinson (le maton sournois, Percy Wetmore) en passant par... la souris (Mr Jingles). La réalisation est solide, à défaut d'avoir du génie. La B.O vient dynamiser efficacement les scènes les plus émouvantes ou violentes. Ce qui est dommage, ce sont ces moments solennels surjoués qui s'ajoutent aux personnages trop manichéens. Pour le détenu Delacroix, Darabont aurait pu inviter un acteur Français plutôt qu'un Américain singeant un accent anglais tout en baragouinant un français très douteux. Manichéenne à souhait, "La Ligne Verte" finit logiquement par faire ressortir bien des émotions, allant de la haine viscérale contre Percy à une profonde compassion pour John Coffey, condamné à tort à la chaise. Difficile de ne pas retenir quelques larmes lors de son exécution (après une procession léthargique) et lorsque le Paul de 108 ans présente Mr Jingles à sa compagne de la maison de retraite. "La Ligne Verte" est assurément l'une des meilleures adaptation d'un roman du King.
Une pure petite merveille à voir absolument !!
pierrre s.
La Ligne verte, est un drame plein de bons sentiments qui porte un message louable. Malgré certaines longueurs on est prit dans ce tourbillon d'émotions grâce à des acteurs parfaits, notamment les seconds rôles.
Napoléon
Superbe histoire qui donne une vision unique du fameux "couloir de la mort" et nous fait réfléchir sur la peine de mort, Duncan dans son rôle de condamné innocent tutoie les sommets, et quelle fin. CULTE !!!
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