Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par La Rédaction
Ce grand barbu originaire de Dallas a réalisé sa merveille pour moins de 300 000 dollars (240 000 euros) dans l’appartement qu’il partage avec sa coscénariste, productrice et bonne amie.
Télérama
par Pierre Murrat
Titre ironique : aucun des frères, ni leur entourage, ne semble destiné à trouver la paix. C'est tout ce qu'on souhaite au jeune réalisateur, au demeurant : qu'après ce premier film réussi, il ne s'amende pas lui non plus. Qu'il conserve intacts, à l'avenir, son humour, sa douleur et son insolence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Sans ambition mais plein de sève (...).
Première
par Eric Vernay
Peuplé d’êtres déboussolés, ce film télescope les individualités en quasi huis clos, façon Cassavetes (sans le côté free jazz) avec une touche de Desplechin (fermetures à l’iris, montage syncopé, haine de la famille) : une "dramédie" mi-crispante mi-attachante.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) les interrogations, qu’elles soient conjugales ou familiales, titillent la branche bobo des cinéphiles qui n’aura aucun mal à trouver quelques réjouissances dans cette co-habitation forcée entre deux frères que tout oppose.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Le problème de "The Mend" est que si John Magary prend plaisir au jeu de massacre auquel il livre ses personnages de frères ennemis, il ne parvient jamais à les aimer un tant soit peu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
Ce grand barbu originaire de Dallas a réalisé sa merveille pour moins de 300 000 dollars (240 000 euros) dans l’appartement qu’il partage avec sa coscénariste, productrice et bonne amie.
Télérama
Titre ironique : aucun des frères, ni leur entourage, ne semble destiné à trouver la paix. C'est tout ce qu'on souhaite au jeune réalisateur, au demeurant : qu'après ce premier film réussi, il ne s'amende pas lui non plus. Qu'il conserve intacts, à l'avenir, son humour, sa douleur et son insolence.
Chronic'art.com
Sans ambition mais plein de sève (...).
Première
Peuplé d’êtres déboussolés, ce film télescope les individualités en quasi huis clos, façon Cassavetes (sans le côté free jazz) avec une touche de Desplechin (fermetures à l’iris, montage syncopé, haine de la famille) : une "dramédie" mi-crispante mi-attachante.
aVoir-aLire.com
(...) les interrogations, qu’elles soient conjugales ou familiales, titillent la branche bobo des cinéphiles qui n’aura aucun mal à trouver quelques réjouissances dans cette co-habitation forcée entre deux frères que tout oppose.
Critikat.com
Le problème de "The Mend" est que si John Magary prend plaisir au jeu de massacre auquel il livre ses personnages de frères ennemis, il ne parvient jamais à les aimer un tant soit peu.