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Sur un sujet difficile, ce « Vol au-dessus d'un nid de coucou », version féminine, est plutôt réussi, même s'il n'atteint pas la force du fameux film de Forman.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) un film inégal mais troublant qui, en tout état de cause, offre de l'Amérique des sixties une image bien moins policée et lénifiante qu'à l'ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Une Vie volée demeure (...) supportable grâce à son duo d'actrices, chacune investissant son personnage d'une énergie farouche (...). Sans elles, ce film laborieux n'aurait sans doute jamais vu le jour.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le film de James Mangold souffre de questions sous-jacentes trop évidentes (...), d'une voix-off trop présente qui interdit au spectateur la moindre analyse personnelle, et d'une vision de l'institution psychiatrique (...) trop caricaturale.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Une vie volée est traitée par James Mangold comme un mélo larmoyant. Mais il y a Angelina Jolie qui écrase de sa personnalité, la fragile Winona Ryder.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
L'interprétation formidable d'Angelina Jolie - d'ailleurs couronnée par l'Oscar 2000 de la meilleure actrice dans un second rôle - n'arrive pas à masquer le conformisme et la superficialité d'Une vie volée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Une vie volée n'est (...) pas le film sur la folie qu'il prétend être (...). Le film relève plutôt de l'évocation, parfois touchante, parfois exaspérante, de l'amitié "à la vie, à lamort" d'adolescentes à la sensibilité exacerbée.
Malgré quelques personnages épais et pas mal de pilosophie à la petite semaine, Une vie volée parvient à retranscrire un malaise générationnel, ce qui n'est déjà pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
(...) le réalisateur nous enferme dans une amitié malsaine entre deux patientes qui vire au duel d'actrices (...). La mise en scène s'évertue alors sobrement à faire osciller le spectateur entre ces deux "folles" (...)
(...) le plus hérissant reste la lourde construction en flash-back pour évoquer le marasme familial qui a poussé l'héroïne intello (...) à fuir à l'asile ; sans parler du numéro à Oscar de l'hystéro de service (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) il n'y a rien de plus risqué, et déprimant, que les films se déroulant en hôpital psychiatrique avec leur pléiade d'acteurs singeant ce qu'ils croient être les simagrées de la folie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Sur un sujet difficile, ce « Vol au-dessus d'un nid de coucou », version féminine, est plutôt réussi, même s'il n'atteint pas la force du fameux film de Forman.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
(...) un film inégal mais troublant qui, en tout état de cause, offre de l'Amérique des sixties une image bien moins policée et lénifiante qu'à l'ordinaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Une Vie volée demeure (...) supportable grâce à son duo d'actrices, chacune investissant son personnage d'une énergie farouche (...). Sans elles, ce film laborieux n'aurait sans doute jamais vu le jour.
Cplanet.com
Le film de James Mangold souffre de questions sous-jacentes trop évidentes (...), d'une voix-off trop présente qui interdit au spectateur la moindre analyse personnelle, et d'une vision de l'institution psychiatrique (...) trop caricaturale.
Le Figaroscope
Une vie volée est traitée par James Mangold comme un mélo larmoyant. Mais il y a Angelina Jolie qui écrase de sa personnalité, la fragile Winona Ryder.
Le Monde
L'interprétation formidable d'Angelina Jolie - d'ailleurs couronnée par l'Oscar 2000 de la meilleure actrice dans un second rôle - n'arrive pas à masquer le conformisme et la superficialité d'Une vie volée.
Lenouveaucinema.com
Une vie volée n'est (...) pas le film sur la folie qu'il prétend être (...). Le film relève plutôt de l'évocation, parfois touchante, parfois exaspérante, de l'amitié "à la vie, à lamort" d'adolescentes à la sensibilité exacerbée.
Les Echos
Malgré quelques personnages épais et pas mal de pilosophie à la petite semaine, Une vie volée parvient à retranscrire un malaise générationnel, ce qui n'est déjà pas si mal.
Repérages
(...) le réalisateur nous enferme dans une amitié malsaine entre deux patientes qui vire au duel d'actrices (...). La mise en scène s'évertue alors sobrement à faire osciller le spectateur entre ces deux "folles" (...)
L'Humanité
(...) le plus hérissant reste la lourde construction en flash-back pour évoquer le marasme familial qui a poussé l'héroïne intello (...) à fuir à l'asile ; sans parler du numéro à Oscar de l'hystéro de service (...).
L'Obs
Il manque au film un peu de vie. C'est-à-dire l'essentiel.
Les Inrockuptibles
James Mangold perd ici de sa rusticité springsteenienne pour muer en un Barry Levinson qui réaliserait un épisode sur la jeunesse d'Ally McBeal
Libération
(...) il n'y a rien de plus risqué, et déprimant, que les films se déroulant en hôpital psychiatrique avec leur pléiade d'acteurs singeant ce qu'ils croient être les simagrées de la folie.
Télérama
(...) deux heures, qui malgré des éclats de violence font l'effet d'un stage d'observation.