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    Rodéo
    Note moyenne
    3,3
    14 titres de presse
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Paris Match
    • Positif
    • Transfuge
    • Télérama
    • Franceinfo Culture
    • Ouest France
    • Première
    • Studio Ciné Live
    • La Croix
    • Le Figaro
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    14 critiques presse

    Les Fiches du Cinéma

    par Nicolas Marcadé

    Un film singulier, inattendu et prometteur, dont la liberté, d'esprit comme de forme, fait du bien.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Le masculin et le féminin sont soumis à des glissements subtils, polysensualistes (...). "Rodéo" revêt une dimension politique très subtile, discrète, montrant la précarité des travailleurs, l'évolution industrielle d'un pays où les usines grignotent petit à petit le paysage, la survie difficile des traditions culturelles rurales.

    Libération

    par Didier Péron

    Chaque scène, chaque geste est ici lesté d’une perceptible sensualité à la fois lumineuse et sale, parce que la promiscuité des hommes et des animaux établit un continuum d’espèce et de désir, articulant ensemble les mains, la peau, le cuir, les sabots, l’attente, la faim et la jouissance.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Paris Match

    par Yannick Vely

    La mise en scène organique de Gabriel Mascaro capte les moindres frémissements des hommes et des bêtes, qui vivent le jour et baisent la nuit (...). Mais le film n’est pas qu’un enregistrement documentaire : Gabriel Mascaro raconte aussi une histoire sociale, celle de ses hommes traités comme du bétail (...).

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Positif

    par Ariane Allard

    Puissant, "Rodéo" bouscule décidément bien des genres...

    Transfuge

    par Sidy Sakho

    Une belle réussite.

    Télérama

    par Nicolas Didier

    Incarnant le dynamisme du cinéma brésilien actuel, avec Kleber Mendonça Filho ("Les Bruits de Recife", "Aquarius"), le cinéaste prouve à nouveau son aisance à décrire l'homme au sein d'un environnement (en mode documentaire) et sa capacité à susciter de puissantes visions (en mode vidéo expérimentale).

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Franceinfo Culture

    par Adrien Morcuende

    Inattendu et contrasté, parfois perturbant, "Rodéo" tente de dire le Brésil d'aujourd'hui à travers une esthétisation des corps.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    Ouest France

    par La Rédaction

    Un western moderne aux intentions certes un peu convenues mais à l'identité visuelle forte.

    Première

    par Damien Leblanc

    Grâce à ses héros qui renversent les clichés traditionnels et à sa lumière puissamment onirique (...), ce western iconoclaste compense la torpeur de sa narration par une identité visuelle marquée et une obsessionnelle mise en valeur des corps.

    Studio Ciné Live

    par Thierry Cheze

    Brillant pour créer une atmosphère sensuelle, le cinéaste étouffe l'aspecct intriguant du monde qu'il dépeint par un récit trop abscons.

    La Croix

    par Marie Soyeux

    Le film cache cette inconsistance derrière de beaux plans très construits, derrière la sensualité des corps, mais pas assez pour le sauver de l'ennui.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Figaro

    par La Rédaction

    L'argument est ténu et la mise en scène de Gabriel Mascaro, pour élégante qu'elle soit, ne suffit pas à maintenir éveillé. La très belle scène de sexe à la fin arrive trop tard.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    Le cinéaste décrit, avec une sensualité trouble, la langueur existentielle d’un nomadisme figé en lui-même à force de ne se fixer nulle part. Mais son écriture laconique et altière fait souvent porter sa volonté de discours sur le dos des personnages.

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