Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film singulier, inattendu et prometteur, dont la liberté, d'esprit comme de forme, fait du bien.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le masculin et le féminin sont soumis à des glissements subtils, polysensualistes (...). "Rodéo" revêt une dimension politique très subtile, discrète, montrant la précarité des travailleurs, l'évolution industrielle d'un pays où les usines grignotent petit à petit le paysage, la survie difficile des traditions culturelles rurales.
Libération
par Didier Péron
Chaque scène, chaque geste est ici lesté d’une perceptible sensualité à la fois lumineuse et sale, parce que la promiscuité des hommes et des animaux établit un continuum d’espèce et de désir, articulant ensemble les mains, la peau, le cuir, les sabots, l’attente, la faim et la jouissance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
La mise en scène organique de Gabriel Mascaro capte les moindres frémissements des hommes et des bêtes, qui vivent le jour et baisent la nuit (...). Mais le film n’est pas qu’un enregistrement documentaire : Gabriel Mascaro raconte aussi une histoire sociale, celle de ses hommes traités comme du bétail (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Puissant, "Rodéo" bouscule décidément bien des genres...
Transfuge
par Sidy Sakho
Une belle réussite.
Télérama
par Nicolas Didier
Incarnant le dynamisme du cinéma brésilien actuel, avec Kleber Mendonça Filho ("Les Bruits de Recife", "Aquarius"), le cinéaste prouve à nouveau son aisance à décrire l'homme au sein d'un environnement (en mode documentaire) et sa capacité à susciter de puissantes visions (en mode vidéo expérimentale).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Adrien Morcuende
Inattendu et contrasté, parfois perturbant, "Rodéo" tente de dire le Brésil d'aujourd'hui à travers une esthétisation des corps.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Ouest France
par La Rédaction
Un western moderne aux intentions certes un peu convenues mais à l'identité visuelle forte.
Première
par Damien Leblanc
Grâce à ses héros qui renversent les clichés traditionnels et à sa lumière puissamment onirique (...), ce western iconoclaste compense la torpeur de sa narration par une identité visuelle marquée et une obsessionnelle mise en valeur des corps.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Brillant pour créer une atmosphère sensuelle, le cinéaste étouffe l'aspecct intriguant du monde qu'il dépeint par un récit trop abscons.
La Croix
par Marie Soyeux
Le film cache cette inconsistance derrière de beaux plans très construits, derrière la sensualité des corps, mais pas assez pour le sauver de l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
L'argument est ténu et la mise en scène de Gabriel Mascaro, pour élégante qu'elle soit, ne suffit pas à maintenir éveillé. La très belle scène de sexe à la fin arrive trop tard.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le cinéaste décrit, avec une sensualité trouble, la langueur existentielle d’un nomadisme figé en lui-même à force de ne se fixer nulle part. Mais son écriture laconique et altière fait souvent porter sa volonté de discours sur le dos des personnages.
Les Fiches du Cinéma
Un film singulier, inattendu et prometteur, dont la liberté, d'esprit comme de forme, fait du bien.
Les Inrockuptibles
Le masculin et le féminin sont soumis à des glissements subtils, polysensualistes (...). "Rodéo" revêt une dimension politique très subtile, discrète, montrant la précarité des travailleurs, l'évolution industrielle d'un pays où les usines grignotent petit à petit le paysage, la survie difficile des traditions culturelles rurales.
Libération
Chaque scène, chaque geste est ici lesté d’une perceptible sensualité à la fois lumineuse et sale, parce que la promiscuité des hommes et des animaux établit un continuum d’espèce et de désir, articulant ensemble les mains, la peau, le cuir, les sabots, l’attente, la faim et la jouissance.
Paris Match
La mise en scène organique de Gabriel Mascaro capte les moindres frémissements des hommes et des bêtes, qui vivent le jour et baisent la nuit (...). Mais le film n’est pas qu’un enregistrement documentaire : Gabriel Mascaro raconte aussi une histoire sociale, celle de ses hommes traités comme du bétail (...).
Positif
Puissant, "Rodéo" bouscule décidément bien des genres...
Transfuge
Une belle réussite.
Télérama
Incarnant le dynamisme du cinéma brésilien actuel, avec Kleber Mendonça Filho ("Les Bruits de Recife", "Aquarius"), le cinéaste prouve à nouveau son aisance à décrire l'homme au sein d'un environnement (en mode documentaire) et sa capacité à susciter de puissantes visions (en mode vidéo expérimentale).
Franceinfo Culture
Inattendu et contrasté, parfois perturbant, "Rodéo" tente de dire le Brésil d'aujourd'hui à travers une esthétisation des corps.
Ouest France
Un western moderne aux intentions certes un peu convenues mais à l'identité visuelle forte.
Première
Grâce à ses héros qui renversent les clichés traditionnels et à sa lumière puissamment onirique (...), ce western iconoclaste compense la torpeur de sa narration par une identité visuelle marquée et une obsessionnelle mise en valeur des corps.
Studio Ciné Live
Brillant pour créer une atmosphère sensuelle, le cinéaste étouffe l'aspecct intriguant du monde qu'il dépeint par un récit trop abscons.
La Croix
Le film cache cette inconsistance derrière de beaux plans très construits, derrière la sensualité des corps, mais pas assez pour le sauver de l'ennui.
Le Figaro
L'argument est ténu et la mise en scène de Gabriel Mascaro, pour élégante qu'elle soit, ne suffit pas à maintenir éveillé. La très belle scène de sexe à la fin arrive trop tard.
Le Monde
Le cinéaste décrit, avec une sensualité trouble, la langueur existentielle d’un nomadisme figé en lui-même à force de ne se fixer nulle part. Mais son écriture laconique et altière fait souvent porter sa volonté de discours sur le dos des personnages.