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Mathilde Seigner donne le meilleur d’elle-même dans "Une mère", film âpre où elle fait oublier ses prestations comiques en créant un personnage qui finit par prendre son rejeton en main.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bien que le sujet d'une jeunesse en souffrance ne soit pas du tout traité de la même manière, "Une mère" souffre un peu de la comparaison avec le récent et sublime "La Tête haute". Mais il serait dommage de passer à côté de la performence de Mathilde Seigner (...).
Mathilde Seigner reprend avec talent le rôle d’une mère, qu’elle avait déjà joué dans "Rosine", pour cette réalisatrice qu’elle apprécie tant. Et Kacey Mottet-Klein est une belle révélation en ado borderline.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Et de cette vérité-là, pas facile à dire, pas facile à admettre, naît "Une Mère", une mère parmi les autres, magnifiquement acceptée, défendue, portée par Mathilde Seigner.
Vingt ans après "Rosine", qui avait révélé Mathilde Seigner en maman adorée par sa fille, Christine Carrière retrouve la comédienne pour un rôle en forme de contre-pied. Au-delà du sujet tabou sur les mères maltraitées et de la question : "Est-on obligés d'aimer son enfant ?", la cinéaste pousse le bouchon très loin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mathilde Seigner se frotte au registre dramatique avec ce rôle de mère au bord de la crise de nerfs, mais elle en fait trop, notamment dans les scènes d'affrontements avec son fils et son ex-amant. Et on a bien du mal à être en empathie avec cet adolescent irrécupérable.
Entre la figure de la mère courage et celle de la mère distante, Mathilde Seigner écope d'un rôle bancal qui la fait naviguer entre deux mauvaises caricatures.
Naturalisme et grisaille omniprésents : dans "Une mère", la cinéaste cherche par tous les moyens à émouvoir avec le destin de son héroïne, mais, à force d'insistances et de maladresse, s'abîme dans un volontarisme du maussade qui rend terriblement artificiel cette fiction qui prétend pourtant au plus scrupuleux réalisme.
Symptomatique d’un film totalement déconnecté de ses enjeux et de son public, "Une mère" synthétise probablement ce que le cinéma français a de pire à nous offrir actuellement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Mathilde Seigner donne le meilleur d’elle-même dans "Une mère", film âpre où elle fait oublier ses prestations comiques en créant un personnage qui finit par prendre son rejeton en main.
L'Express
Bien que le sujet d'une jeunesse en souffrance ne soit pas du tout traité de la même manière, "Une mère" souffre un peu de la comparaison avec le récent et sublime "La Tête haute". Mais il serait dommage de passer à côté de la performence de Mathilde Seigner (...).
L'Obs
Enfin ! Il aura fallu du temps pour que Mathilde Seigner ait un rôle à la mesure de ce qu'elle pouvait donner, mais qu'elle gardait pour elle (...).
La Voix du Nord
Mathilde Seigner reprend avec talent le rôle d’une mère, qu’elle avait déjà joué dans "Rosine", pour cette réalisatrice qu’elle apprécie tant. Et Kacey Mottet-Klein est une belle révélation en ado borderline.
Le Parisien
"Une mère" raconte la relation violente entre une femme et son fils. Et offre à l'actrice de 47 ans l'un de ses rôles les plus intenses.
Marianne
Et de cette vérité-là, pas facile à dire, pas facile à admettre, naît "Une Mère", une mère parmi les autres, magnifiquement acceptée, défendue, portée par Mathilde Seigner.
Première
Vingt ans après "Rosine", qui avait révélé Mathilde Seigner en maman adorée par sa fille, Christine Carrière retrouve la comédienne pour un rôle en forme de contre-pied. Au-delà du sujet tabou sur les mères maltraitées et de la question : "Est-on obligés d'aimer son enfant ?", la cinéaste pousse le bouchon très loin.
Télérama
Parfois, Christine Carrière a la main lourde — on se passerait volontiers de quelques moments appuyés, insistants. Le plus souvent, elle vise juste.
Voici
Après Rosine (...) Christine Carrière offre à Mathilde Seigner un rôle fort, dans un drame dur, dans lequel s'engouffre parfois un vent de tendresse.
La Croix
Dans un film rude, Christine Carrière montre de manière inédite le douloureux face-à-face d'une mère démunie et de son fils adepte des mauvais coups.
Le Dauphiné Libéré
Sur des thèmes qui lui sont chers, Christine Carrière redonne, vingt ans après “Rosine”, un rôle fort à Mathilde Seigner.
Le Monde
Un film sensible et digne, malgré un scénario et une mise en scène parfois trop démonstratifs.
Studio Ciné Live
Le portrait poignant et dérangeant d'une mère désemparée.
Télé 2 semaines
Un film émouvant mais parfois maladroit sur la relation entre une mère célibataire et son fils de 16 ans.
Le Journal du Dimanche
Mathilde Seigner se frotte au registre dramatique avec ce rôle de mère au bord de la crise de nerfs, mais elle en fait trop, notamment dans les scènes d'affrontements avec son fils et son ex-amant. Et on a bien du mal à être en empathie avec cet adolescent irrécupérable.
Les Fiches du Cinéma
Entre la figure de la mère courage et celle de la mère distante, Mathilde Seigner écope d'un rôle bancal qui la fait naviguer entre deux mauvaises caricatures.
Positif
Naturalisme et grisaille omniprésents : dans "Une mère", la cinéaste cherche par tous les moyens à émouvoir avec le destin de son héroïne, mais, à force d'insistances et de maladresse, s'abîme dans un volontarisme du maussade qui rend terriblement artificiel cette fiction qui prétend pourtant au plus scrupuleux réalisme.
aVoir-aLire.com
Ce qui est dit, formulé, répété à coups de marteau. Il est difficile d’être une bonne mère. Oui mais encore ?
Critikat.com
Symptomatique d’un film totalement déconnecté de ses enjeux et de son public, "Une mère" synthétise probablement ce que le cinéma français a de pire à nous offrir actuellement.