Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans « Fleur de Tonnerre », Stéphanie Pillonca brosse le portrait fascinant d’Hélène Jegado, tueuse en série incarnée par Déborah François…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet et un personnage à la Chabrol, un film tout de sensibilité, où le paysage breton apparaît comme le paysage d’âme d’un personnage auquel Deborah François donne toute son intensité et son mystère.
Positif
par Olivier de Bruyn
Économe de ses effets, jamais complaisante, la cinéaste instaure une atmosphère trouble et dirige une actrice remarquable : Déborah François, très convaincante dans la peau de cette héroïne insaisissable.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce long métrage adapté d’un roman de Jean Teulé, centré sur une empoisonneuse bretonne du XIXe siècle, ne parvient pas à convaincre tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
L'histoire d'une empoisonneuse bretonne au XIXe siècle, fidèle adaptation, mais un peu scolaire, du livre de Jean Teulé. Un honnête téléfilm avec Déborah François, parfaite dans le rôle-titre, et Benjamin Biolay.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Avec un soin méticuleux apporté aux reconstitutions des décors, "Fleur de tonnerre" crée une atmosphère oppressante et nous plonge aux origines du mal. Un drame violent et fiévreux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Cette adaptation sensible du roman biographique de Jean Teulé est un peu trop lisse, malgré l’excellente prestation de Déborah François.
Ouest France
par Agnès Le Morvan
Un peu cliché (...) A voir pour Déborah François qui incarne la folie et Miossec dans un rôle inattendu d'homme d'église.
VSD
par Olivier Bousquet
Le destin d 'une empoisonneuse bretonne au 19ème siècle. Froid comme la mort. Trop.
Voici
par La Rédaction
Une adaptation sincère et sobre. Déborah François incarne avec ferveur cette meurtrière face à un Biolay léthargique.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Le grand film sur Hélène Jégado reste encore à faire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
L'entreprise est sincère, ça se voit, ça se sent, Déborah François se démène avec courage. Reste que le manque de moyens empêche cette Fleur de tonnerre d'éclore comme il faut. Le récit avance à grands coups d'ellipses un peu brutaux et les enjeux dramatiques se noient parfois dans la brume. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce problème de joliesse de l'actrice [...] et l'impalpabilité du passage du temps expliquent la relative platitude du film.
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
L'entreprise est sincère, ça se voit, ça se sent, Déborah François se démène avec courage. Reste que le manque de moyens empêche cette "Fleur de tonnerre" d'éclore comme il faut.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film qui aurait pu devenir empoisonnant sans la magnifique prestation de Déborah François.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Jérôme Garcin
Dans le rôle-titre, Déborah François est à la fois solennelle et hallucinée : on cherche en vain la jeune femme sous le personnage. Et dans celui de son protecteur d’un jour, Benjamin Biolay est tellement nauséeux et cotonneux qu’il semble avoir été intoxiqué par une huître du Morbihan périmée avant même le tournage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
D’une histoire inquiétante et grotesque, Stéphanie Pillonca, qui réalise ici son premier long métrage de fiction, a tiré une série d’illustrations dont l’esthétique évoque la télévision de qualité des dernières années de l’ORTF, étouffant la peur et le malaise qui devraient être au centre du film.
Libération
par Gilles Renault
Ses motivations n’étaient pas claires et la mise en scène non plus qui, comme placée sous respiration artificielle, se borne à enquiller les clichés ethno-contemplatifs au rythme d’interrogatoires atones (...). Non moins empesés, les costumes d’époque tiendraient debout tout seuls.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Samuel Douhaire
Son premier long métrage, sérieux et sinistre comme un calvaire de Basse-Bretagne sous le crachin, est une succession de sketchs poussifs, souvent mal joués — on préfère Benjamin Biolay et Christophe Miossec quand ils chantent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Dans « Fleur de Tonnerre », Stéphanie Pillonca brosse le portrait fascinant d’Hélène Jegado, tueuse en série incarnée par Déborah François…
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet et un personnage à la Chabrol, un film tout de sensibilité, où le paysage breton apparaît comme le paysage d’âme d’un personnage auquel Deborah François donne toute son intensité et son mystère.
Positif
Économe de ses effets, jamais complaisante, la cinéaste instaure une atmosphère trouble et dirige une actrice remarquable : Déborah François, très convaincante dans la peau de cette héroïne insaisissable.
La Croix
Ce long métrage adapté d’un roman de Jean Teulé, centré sur une empoisonneuse bretonne du XIXe siècle, ne parvient pas à convaincre tout à fait.
Le Figaro
L'histoire d'une empoisonneuse bretonne au XIXe siècle, fidèle adaptation, mais un peu scolaire, du livre de Jean Teulé. Un honnête téléfilm avec Déborah François, parfaite dans le rôle-titre, et Benjamin Biolay.
Le Parisien
Avec un soin méticuleux apporté aux reconstitutions des décors, "Fleur de tonnerre" crée une atmosphère oppressante et nous plonge aux origines du mal. Un drame violent et fiévreux.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation sensible du roman biographique de Jean Teulé est un peu trop lisse, malgré l’excellente prestation de Déborah François.
Ouest France
Un peu cliché (...) A voir pour Déborah François qui incarne la folie et Miossec dans un rôle inattendu d'homme d'église.
VSD
Le destin d 'une empoisonneuse bretonne au 19ème siècle. Froid comme la mort. Trop.
Voici
Une adaptation sincère et sobre. Déborah François incarne avec ferveur cette meurtrière face à un Biolay léthargique.
Ecran Large
Le grand film sur Hélène Jégado reste encore à faire.
L'Express
L'entreprise est sincère, ça se voit, ça se sent, Déborah François se démène avec courage. Reste que le manque de moyens empêche cette Fleur de tonnerre d'éclore comme il faut. Le récit avance à grands coups d'ellipses un peu brutaux et les enjeux dramatiques se noient parfois dans la brume. Dommage.
Les Inrockuptibles
Ce problème de joliesse de l'actrice [...] et l'impalpabilité du passage du temps expliquent la relative platitude du film.
Studio Ciné Live
L'entreprise est sincère, ça se voit, ça se sent, Déborah François se démène avec courage. Reste que le manque de moyens empêche cette "Fleur de tonnerre" d'éclore comme il faut.
aVoir-aLire.com
Un film qui aurait pu devenir empoisonnant sans la magnifique prestation de Déborah François.
L'Obs
Dans le rôle-titre, Déborah François est à la fois solennelle et hallucinée : on cherche en vain la jeune femme sous le personnage. Et dans celui de son protecteur d’un jour, Benjamin Biolay est tellement nauséeux et cotonneux qu’il semble avoir été intoxiqué par une huître du Morbihan périmée avant même le tournage.
Le Monde
D’une histoire inquiétante et grotesque, Stéphanie Pillonca, qui réalise ici son premier long métrage de fiction, a tiré une série d’illustrations dont l’esthétique évoque la télévision de qualité des dernières années de l’ORTF, étouffant la peur et le malaise qui devraient être au centre du film.
Libération
Ses motivations n’étaient pas claires et la mise en scène non plus qui, comme placée sous respiration artificielle, se borne à enquiller les clichés ethno-contemplatifs au rythme d’interrogatoires atones (...). Non moins empesés, les costumes d’époque tiendraient debout tout seuls.
Télérama
Son premier long métrage, sérieux et sinistre comme un calvaire de Basse-Bretagne sous le crachin, est une succession de sketchs poussifs, souvent mal joués — on préfère Benjamin Biolay et Christophe Miossec quand ils chantent.