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    Révélations
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    svtlben
    svtlben

    24 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2011
    Russel CROWE est fait pour jouer les scientifiques ou les professeurs célèbres. AL PACINO joue super bien un journaliste. Bon film
    Laurent H
    Laurent H

    45 abonnés 1 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2011
    Un peu long, ce film didactique est très bien fait et nous apprend beaucoup.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 10 février 2014
    Un film long et assez pénible qui vieillit mal.
    L'atmosphère de Michael Mann est en décalage avec le sujet. Voulant insuffler une intensité dramatique à son film, Mann nous sert une réalisation lourde et creuse. Quel ennui !
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2012
    Si l'on ne retient que le fait que le film nous fait attendre en vain pendant plus de deux heure et demie des rebondissements de folie jusqu'à la révélation ultime, on peut considérer Révélation comme un simple thriller manquant cruellement de suspense. Mais quand, en plus, cette révélation tant attendue est: "Fumer est mauvais pour la santé! ", on peut parler d’une terrible perte de temps. Les deux acteurs semblent convaincus du peu d’intérêt du scénario et ne donnent pas du leur dans leurs interprétations. Seuls les enfants des 12 ans qui commencent à fumer naïvement peuvent y voir une bonne leçon...
    Tedy
    Tedy

    250 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 novembre 2007
    Un film qui traite de la liberté de la presse, du courage et de la lâcheté, mais malheureusement pour le spectateur, c'est de façon plate et monotone.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2009
    le combat d'un homme pour une grande cause, le combat d'un homme pour garder sa dignité, sa famille, sa vie.
    le duo pacino/crowe est très bon.
    le film est très bien joué.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2021
    Lowell Bergman, journaliste d'investigation & producteur de l'émission "60 minutes" sur CBS reçoit d’importants documents envoyés anonymement par un employé du cigarettier Philip Morris. Pour déchiffrer les éléments qu’il a en sa possession, il se fait diriger vers Jeffrey Wigand, un scientifique travaillant pour un cigarettier concurrent, Brown & Williamson. A eux deux, ils vont faire éclater l’un des plus gros scandales de l’Histoire du tabac aux États-Unis.

    Juste après Heat (1995), son brillant film de braqueurs, Michael Mann adaptait sur grand écran, ce thriller politique sur fond de scandale du tabac. L’histoire se base sur des faits réels, celle de Jeffrey Wigand qui était vice-président R&D de Brown & Williamson. Grâce à son témoignage, lui et Lowell Bergman ont pu dénoncer aux yeux de tous, les pratiques scandaleuses du cigarettier qui rajoutait dans ses cigarettes des substances telles que l'ammoniaque ou la coumarine, pour décupler les effets de la nicotine (déjà responsable de cette addiction !) et ainsi, accroître d’avantage l'accoutumance du fumeur.

    160 minutes, c’est la durée de ce film-fleuve (et très dense), véritable polar sous la forme d’un film-enquête sur la santé publique. Un thriller passionnant où un journaliste d’investigation et un scientifique doivent faire front commun face au puissant lobby du tabac. Entre machinations et intimidation, Michael Mann nous offre ici du grand spectacle et nous montre qu’il n’est pas chose aisé d’être un lanceur d’alerte, avec les conséquences que cela peut avoir.

    Une mise en scène parfaitement maîtrisée de bout en bout, avec une atmosphère pesante et des acteurs parfaits pour ce type de rôles (Russell Crowe, Al Pacino & Christopher Plummer), le tout, magnifié par la B.O. composée par Pieter Bourke & Lisa Gerrard.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Eselce
    Eselce

    1 396 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Un film sur les révélations au grand public comme quoi, le tabac est dangereux pour la santé... Ce que l'industrie du tabac nous cachait depuis si longtemps ! On voit surtout la puissance de très grosses boîtes qui contrôle l'information et la liberté de la presse. Ici, un gros bonnet tenue par le secret professionnel fait des révélations à la presse et est menacé par son ancien employeur. Les informations ayant un pouvoir de nuisance fort sur le chiffre d'affaires de la boîte. Le film révèle ce que les gens savent déjà. Je n'ai pas trouvé le sujet terrible et son déroulé est d'un classique navrant. On lui pardonne parce qu'il date déjà d'il y a plus de 15 ans et est presque totalement dépassé aujourd'hui.
    Santu2b
    Santu2b

    251 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2016
    Une poignée d'années après "Heat", Michael Mann retrouve Al Pacino pour "Révélations" réalisé en 1999. Celui-ci raconte l'histoire vraie du lanceur d'alerte Jeffrey Wigand qui mit au jour de fracassantes révélations sur l'industrie du tabac. Même s'il fait souvent figure d'œuvre méconnue dans sa filmographie, il s'agit néanmoins d'un des meilleurs films de Michael Mann. Captivant de bout en bout et pourvu d'un tonus soutenu, "Révélations" constitue en effet un très grand thriller politique, dans la lignée de l'héritage des années 1970. Porté par deux comédiens de haute volée, le film offre un face à face remarquable entre Pacino et Russell Crowe. Mais qu'il s'agisse du jeu ou de l'écriture ciselée, presque tout dans "Révélations" confine au régal.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    269 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 septembre 2021
    À partir d’une affaire judiciaire contemporaine, Michael Mann réalise un modèle de film-dossier, dense, captivant, élégant. Presque envoûtant à certains moments. Toujours rigoureux dans l’exposition des faits et des cas de conscience. Sans surenchère de pathos mais puissant émotionnellement. Bref, d’une efficacité parfaite. Atteindre une telle ampleur dramatique à partir d’une matière assez peu cinématographique (les hésitations d’un scientifique à trahir les secrets de fabrication des cigarettes, puis les difficultés à les révéler au grand public) est exceptionnel. Il est question ici de devoir moral et de peur paranoïaque, d’exposition médiatique et de dégâts collatéraux, de courage et de solitude, de pression économique et politique. C’est une sorte de partie de billard à trois bandes. Un homme qui sème et subit la tempête, un lobby industriel puissant et un monde journalistique tiraillé entre exigence déontologique et retenue pragmatique. Le scénario est solide et précis. La réalisation, soutenue au final par un montage haletant, brille d’intensité dans un registre de thriller psychologique, tout en sachant suspendre le temps parfois, lors de séquences en apesanteur, grâcieuses et douloureuses. Séquences qui doivent beaucoup au chef op’ Dante Spinotti, lequel avait déjà expérimenté ses fameuses ambiances bleutées dans Heat, le précèdent film de Michael Mann. Côté interprétation, c’est aussi très fort : Russell Crowe, subtile en colosse fragile mais têtu, Pyrrhus moderne ; Al Pacino, tout en nervosité irradiante mais plus soft que dans Heat. Et puis il y a la BO, l’une des plus belles qui soient : planante, déchirante, électrisante. Le seul élément du film qui n’atteint pas des sommets, c’est le titre qu’on lui a donné pour l’exploitation française, d’une remarquable platitude…
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2014
    En 1995, le réalisateur Michael Mann se faisait un nom au cinéma. Il avait beau être le producteur de la série Deux flics à Miami et être le cinéaste responsable des films Le Sixième Sens (la première adaptation de Dragon Rouge et non le film avec Bruce Willis) et du Dernier des Mohicans, c’est avec Heat qu’il a obtenu la reconnaissance. Aussi bien auprès de ses confrères que du public. En même temps, orchestrer le face-à-face entre Robert De Niro et Al Pacino, avec toute une ribambelle d’excellents petits camarades (Val Kilmer, Tom Sizemore, William Fichtner, Jon Voight, Ashley Judd, Danny Trejo, Ted Levine, Natalie Portman, Hank Azaria…), de la manière la plus classe qui puisse exister (le film devenant un modèle pour tous les divertissements de braquage), nous ne pouvons l’oublier aussi facilement. C’est donc avec un certain enthousiasme que je découvre le film qui lui fait suite (dans la filmographie de Mann), Révélations. Et le résultat s’avère être à la hauteur !

    Point de départ de ce film : un simple article publié dans Vanity Fair. Qui parlait d’un homme, Jeffrey Wigand (docteur de profession), qui travaillait pour Brown & Williamson Tobacco Corporation, une entreprise qui fabriquait des cigarettes, et qui tenta de tout révéler sur un des composants utilisés jugé cancérigène, recevant en échange des menaces de mort. En bref, une sorte de thriller politique, avec quelques séquences de tribunal et du suspense, dont les Américains sont assez friands. Surtout quand un tel film fait intervenir de véritables monstres du cinéma. Mais cela, nous y reviendrons plus tard.

    Révélations, c’est l’histoire de ce Jeffrey Wigand. Ou plutôt sa pénible descente aux enfers. Lui, qui avait tout : une splendide maison, une femme aimante, deux petites filles sous son aile, des relations qui foisonnaient… Jusqu’à ce qu’il décide de tout révéler. Et cela non pas du jour au lendemain ! En effet, le bonhomme se fait virer, et puis c’est tout. Il suffira juste de l’intervention d’un journaliste pour que tout bascule. Pour qu’il soit poussé à donner une interview dans le but de dénoncer. C’est à partir de là que les choses se gâtent pour notre homme : un sentiment de paranoïa prend forme, des menaces de morts apparaissent, les enfants commencent à avoir peur, sa femme comptent bien le quitter pour se mettre à l’abri… Oui, son épouse se montre très cruelle envers lui. Ne le défendant jamais. N’étant jamais à ses côtés quand il le fallait. S’interrogeant tout de suite sur leur situation financière à l’annonce du licenciement de son époux. Tant de détails de ce genre, plutôt mesquins, qui la pousseront à partir. Et à laisser Jeffrey tout seul dans sa misère. Faisant de Révélations un film incroyablement touchant, qui suit cette déchéance avec une puissance inimaginable et une ironie plutôt salace : cet homme qui essaye de bien faire et qui se retrouve finalement à tout perdre.

    Une histoire dramatique qui ne serait rien sans l’intervention de la presse dans tout cela. Car, avant tout chose, Révélations met surtout le monde journalistique sur le devant de la scène. Car c’est bien à cause de celui-ci que Jeffrey Wigand subit un tel calvaire. Le journaliste Lowell Bergman étant l’élément déclencheur. Celui qui l’a, en quelque sorte, forcé à participer à une émission de télévision dans le seul but de révéler certains secrets. Lui qui, comme ses confrères, ne pensent qu’à faire de l’audimat, à mener à bien son job pour garder sa renommée. Au point de se soucier peu du sort de leurs sources. Fort heureusement pour Wigand, Bergman ne se montrera pas aussi indifférent (quoique qu’à certains moments…). Où il apporte une aide à tout cela, mais en restant impuissant face aux événements qui s’en suivent. Et c’est là aussi que Révélations trouve également toute sa puissance : ce journaliste qui déclenche tout à cause de son éthique professionnelle et qui ne peut rien faire pour éviter cette descente aux enfers vécue par sa source. Donnant ainsi une place peu emballante au domaine de la presse dans ce film, qui est constitué de dirigeants qui ne pensent vraiment qu’à sortir les gros titres qui arrangent la majorité (et ce même si les intéressés sont dans le camp adverse).

    Ajoutez à cela une mise en scène comme Michael Mann n’en a jamais livré, et vous obtenez un véritable chef-d’œuvre visuel ! Par là, il faut bien entendu s’attendre à des plans finement travaillés, des jeux de lumière somptueux et une bande originale prenante qui, ensembles, permettent à la mise en place d’une atmosphère exceptionnelle. Qui nous happe aussitôt ! Celle qui nous fait partager chaque sentiment éprouvé par les personnages principaux (la paranoïa, l’impuissance, la désolation, la solitude…) avec un savoir-faire qui offre à Révélations la même classe qu’à Heat.

    Et n’oublions pas le casting, d’une envergure titanesque. Il est vrai que niveau noms, la distribution de Révélations en possède bien moins que Heat. Mais cela montre à quel point la prestance d’un casting (le fait d’afficher X stars au générique) importe peu au film. Suffit juste de choisir les bons comédiens. C’est justement sur ce point que Révélations supplante la concurrence, car même les seconds rôles (Christopher Plummer, Philip Baker Hall, Colm Feore, Gina Gershon, Michael Gambon, Rip Torn…) sont tout bonnement excellents. Mais tout de même loin derrière un Al Pacino égal à lui-même, dont le jeu « je m’en foutiste » réussi grandement à son personnage. Le comédien étant également à son tour loin, loin derrière un extraordinaire Russell Crowe, qui n’en était qu’à la « veille » de Gladiator et d’Un homme d’exception. Montrant déjà qu’il est encore aujourd’hui l’un des « meilleurs grands acteurs » de sa génération.

    Assister à 2h38 d’un thriller politique, cela peut paraître assez long pour la plupart des spectateurs. Mais tout comme Heat (qui durait pas loin de 2h50), Révélations se montre haletant, prenant et donc jamais ennuyeux. Un nouveau chef-d’œuvre à rajouter à la filmographie de Michael Mann qui sera compléter par la suite d’Ali et de Collatéral. Malgré une future baisse de succès (Miami Vice et Public Enemies), le réalisateur reste un incontournable du thriller hollywoodien. Surtout que garder le prestige de Heat pour un film qui lui fait suite et étant d’un genre totalement différent, il fallait le faire !
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2015
    Un thriller politico financier sur les industries du tabac, richissime, et qui font tout pour que les gens soient accrocs aux cigarettes en y ajoutant les produits nécessaires à leurs désirs. Ce film est un peu long, mais on est absorbé par le sujet, et on a peur tout au long du film pour les 2 protagonistes, parfaitement joués par Al Pacino & Russell Crowe. Un film à voir, et surtout pour les fumeurs...
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2021
    Influence.
    Révélations est le film qui suit l’énorme Heat. Comme pour calmer le jeu, Mann nous propose un thriller médiatico-judiciaire plus en retenue. L’histoire est celle d’un des pontes de l’industrie du tabac, médecin de formation. Suite à son licenciement, il souhaite dénoncer les agissements de ces géants de la nicotine. Il va se faire épauler par un journaliste d’investigation, une forte tête qui travaille pour la plus grosse émission d’actu du pays. Pas de doute, c’est bien un thriller et la tension est palpable tout au long de ces 160 minutes. Moins de flingues mais autant de violence. Dans mon souvenir, le film était lors de sa sortie présenté comme un film dossier sur l’industrie du tabac. Mais ce n’est pas ça. C’est en fait un film sur le lobbyisme et l’influence que peuvent avoir les industriels sur les médias. Deux histoires en une donc avec d’un côté les circonvolutions de l’affaire dans les bureaux de la chaîne de télé et de l’autre les pressions individuelles exercées sur le lanceur d’alerte. Les deux fonctionnent à merveille mais ce sont surtout les conclusions sur la manipulation de l’opinion qui frappent et poussent à extrapoler la réflexion à d’autres secteur peut-être plus discrets que l’industrie du tabac. Derrière un traitement très « à l’américaine » qui rappellera Erin Brockovich sorti à peu près en même temps, on peut aisément transposer ces suspicions de collusions à la France (sur d’autres sujets). Au niveau de la mise en scène, c’est propre et nerveux. On aimera les couleurs et la lumières comme toujours chez Mann. L’interprétation est aux petits oignons. Crow est méconnaissable par son jeu et Pacino est dans un rôle certes habituel mais qu’il tient parfaitement et en finesse. En bref, un sacré morceau qui n’a pas la force visuelle des autres œuvres de Mann mais qui fonctionne très très bien.
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2020
    Travail de fond et narration aussi détaillés qu'organisés, Michael Mann nous livre un passionnant récit engagé.
    gbagrami
    gbagrami

    20 abonnés 640 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2013
    Un très bon film sur le combat d'un homme contre l'industrie du tabac et l'enfer qu'est devenue sa vie. Russell Crowe signe encore une prestation absolument magnifique, avec un très bon Al Pacino pour lui donner la réplique. C'est un peu trop long, par contre, et ça aurait gagné d'être un peu plus rythmé.
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