Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Ce film, au rythme qui ne lâche jamais, vous met sous tension. Impossible de décrocher. il en dit également long sur la "moderne" société israélienne, sur la liberté des femmes dans un monde régi par les hommes. Un procès glaçant, hypnotique et fascinant.
Paris Match
par Alain Spira
Réalisé avec une virtuosité impressionnante, " Le procès de Viviane Amsalem" est une sorte de pagnolade casher qui en dit long sur le droit des femmes mariées en Israël. Drôle à en pleurer, triste à en sourire, anachroniquement contemporain, ce film ubuesque a de quoi nous faire perdre notre hébreu, mais pas notre temps…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Inspirée par la mère des réalisateurs, cette satire, qui brasse trois langues (hébreu, français, arabe), est une ode au jeu, au verbe, à la conviction. Et, pour ses deux auteurs, une sacrée prise de position.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
CNews
par La Rédaction
Huis-clos à la mise en scène épurée, ce film judiciaire brandit l’absurdité d’une loi religieuse.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Fabien Reyre
L’ensemble pourrait être étouffant, mais le film regorge de scènes très drôles, d’un comique absurde, qui offrent des moments de respiration bienvenus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
On se désole, on rit parfois, cocasserie ou nervosité, on attend surtout, entièrement capté par les ressources du cinéma mises en oeuvre, au rang desquelles l'excellence de tous les acteurs.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Austère dans sa forme, éprouvant en raison du désespoir de Viviane, émouvant grâce au jeu impeccable de ses acteurs, ce film passionne de bout en bout par le portrait qu’il dresse du pays et de la condition des femmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Le combat d’une femme pour sa liberté, dans un film tout de tension et de révolte.
Le Monde
par Franck Nouchi
Passionnant, "Le Procès de Viviane Amsalem" est un film à la fois mystérieux et oppressant. Reste à espérer que ce beau film, magnifiquement interprété (...), suscitera un débat, non seulement en Israël, mais aussi dans les communautés juives à travers le monde. Rien n'est moins sûr....
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
(...) toute une société défile, tragi-comique, avec ses points de vue contradictoires qui se retrouvent dans une mise en scène d'une grande intelligence où le regard, et le point de vue aussi, change tour à tour.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Huis clos âpre et électrique, ce troisième film de Ronit & Shlomi Elkabetz est un nouveau coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Chronique d’une séparation contrariée par un tribunal rabbinique, dans un style à la théâtralité élaborée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
Nous ne dirons rien de la fin de ce film tragique et souvent drôle, car frôlant l’absurde, juste qu’il ne faut en aucun cas rater cette scène où Elisha doit prononcer la phrase qui, dans la loi rabbinique, permet à l’époux de rendre à sa femme sa liberté : "Et te voici permise à tout homme."
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heyman
En un captivant huis clos, Ronit et Shlomi Elkabetz achèvent avec "Le Procès de Viviane Amsalem", leur trilogie sur la place (...) de la femme dans la société israélienne et (...) parviennent à filmer jusqu'aux états d'âme. La cause est entendue, les Elkabetz ont gagné leur procès.
Ouest France
par La Rédaction
(...) un long huis clos à la fois tragique et absurde. Dépeint avec minutie par Ronit et Shlomi Elkabetz, le tableau réaliste d'une société cadenassée dans ses préceptes religieux.
Positif
par Dominique Martinez
"Le Procès de Vivian Amsalem" vient boucler la boucle en retraçant le divorce du couple de façon austère et brillante. En affichant à l'écran les différentes séquences de l'épreuve qui durera cinq ans, le passage du temps, élément central du récit, rythme et marque la distance, celle d'un chemin de croix épuisant.
Première
par Christophe Narbonne
(...) ce que l'on retient, c'est le portrait saisissant que les Elkabetz dressent en creux de leur pays, à la fois moderne et féodal en ce qui concerne la condition de la femme, irréductiblement liée au bon vouloir des hommes.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
par La Rédaction
C’est toute la force et la beauté du film qui reste entre les quatre murs de la salle et fait du temps qui passe son arc désespérant.
Télérama
par Cécile Mury
Un grand film sur la condition féminine. La condition humaine, en général.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Par sa manière de basculer en permanence de la comédie au drame, entre Kafka et la comédie italienne, ce dernier volet de la trilogie de Ronit et Shlomi Elkabetz, sûrement le plus convaincant, exprime une profonde inquiétude quant à l’avenir du pays.
TF1 News
par Romain Le Vern
Il faut mentionner une actrice démentielle (Ronit Elkabetz) et une élégance permettant d'échapper à la démonstration, autorisant l'humour entre deux séquences révoltantes.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
Ce film, au rythme qui ne lâche jamais, vous met sous tension. Impossible de décrocher. il en dit également long sur la "moderne" société israélienne, sur la liberté des femmes dans un monde régi par les hommes. Un procès glaçant, hypnotique et fascinant.
Paris Match
Réalisé avec une virtuosité impressionnante, " Le procès de Viviane Amsalem" est une sorte de pagnolade casher qui en dit long sur le droit des femmes mariées en Israël. Drôle à en pleurer, triste à en sourire, anachroniquement contemporain, ce film ubuesque a de quoi nous faire perdre notre hébreu, mais pas notre temps…
TéléCinéObs
Inspirée par la mère des réalisateurs, cette satire, qui brasse trois langues (hébreu, français, arabe), est une ode au jeu, au verbe, à la conviction. Et, pour ses deux auteurs, une sacrée prise de position.
CNews
Huis-clos à la mise en scène épurée, ce film judiciaire brandit l’absurdité d’une loi religieuse.
Critikat.com
L’ensemble pourrait être étouffant, mais le film regorge de scènes très drôles, d’un comique absurde, qui offrent des moments de respiration bienvenus.
L'Humanité
On se désole, on rit parfois, cocasserie ou nervosité, on attend surtout, entièrement capté par les ressources du cinéma mises en oeuvre, au rang desquelles l'excellence de tous les acteurs.
La Croix
Austère dans sa forme, éprouvant en raison du désespoir de Viviane, émouvant grâce au jeu impeccable de ses acteurs, ce film passionne de bout en bout par le portrait qu’il dresse du pays et de la condition des femmes.
Le Dauphiné Libéré
Le combat d’une femme pour sa liberté, dans un film tout de tension et de révolte.
Le Monde
Passionnant, "Le Procès de Viviane Amsalem" est un film à la fois mystérieux et oppressant. Reste à espérer que ce beau film, magnifiquement interprété (...), suscitera un débat, non seulement en Israël, mais aussi dans les communautés juives à travers le monde. Rien n'est moins sûr....
Le Point
(...) toute une société défile, tragi-comique, avec ses points de vue contradictoires qui se retrouvent dans une mise en scène d'une grande intelligence où le regard, et le point de vue aussi, change tour à tour.
Les Fiches du Cinéma
Huis clos âpre et électrique, ce troisième film de Ronit & Shlomi Elkabetz est un nouveau coup de maître.
Les Inrockuptibles
Chronique d’une séparation contrariée par un tribunal rabbinique, dans un style à la théâtralité élaborée.
Libération
Nous ne dirons rien de la fin de ce film tragique et souvent drôle, car frôlant l’absurde, juste qu’il ne faut en aucun cas rater cette scène où Elisha doit prononcer la phrase qui, dans la loi rabbinique, permet à l’époux de rendre à sa femme sa liberté : "Et te voici permise à tout homme."
Marianne
En un captivant huis clos, Ronit et Shlomi Elkabetz achèvent avec "Le Procès de Viviane Amsalem", leur trilogie sur la place (...) de la femme dans la société israélienne et (...) parviennent à filmer jusqu'aux états d'âme. La cause est entendue, les Elkabetz ont gagné leur procès.
Ouest France
(...) un long huis clos à la fois tragique et absurde. Dépeint avec minutie par Ronit et Shlomi Elkabetz, le tableau réaliste d'une société cadenassée dans ses préceptes religieux.
Positif
"Le Procès de Vivian Amsalem" vient boucler la boucle en retraçant le divorce du couple de façon austère et brillante. En affichant à l'écran les différentes séquences de l'épreuve qui durera cinq ans, le passage du temps, élément central du récit, rythme et marque la distance, celle d'un chemin de croix épuisant.
Première
(...) ce que l'on retient, c'est le portrait saisissant que les Elkabetz dressent en creux de leur pays, à la fois moderne et féodal en ce qui concerne la condition de la femme, irréductiblement liée au bon vouloir des hommes.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
C’est toute la force et la beauté du film qui reste entre les quatre murs de la salle et fait du temps qui passe son arc désespérant.
Télérama
Un grand film sur la condition féminine. La condition humaine, en général.
Cahiers du Cinéma
Par sa manière de basculer en permanence de la comédie au drame, entre Kafka et la comédie italienne, ce dernier volet de la trilogie de Ronit et Shlomi Elkabetz, sûrement le plus convaincant, exprime une profonde inquiétude quant à l’avenir du pays.
TF1 News
Il faut mentionner une actrice démentielle (Ronit Elkabetz) et une élégance permettant d'échapper à la démonstration, autorisant l'humour entre deux séquences révoltantes.
L'Express
Voir le site de L'Express.