Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
Sortir ce film quatre ans après l’achèvement du tournage, alors que les protagonistes ont vu leurs chemins se séparer irrémédiablement, permet à la mise en scène de s’enrichir d’une puissance réflexive qui ne cesse de troubler une fois le visionnage achevé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Les chebabs ne peuvent obtenir d’asile, faute de nationalité. Ils s’entêtent à déjouer le sort dans des labyrinthes de clandestinité à l’instar du cinéaste durant ses tournages. Les textes qu’ils ont rédigés de leurs mains participent à l’écriture du film et donnent corps à notre empathie.
Première
par Eric Vernay
Désespéré et poignant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Valentin Pimare
Un documentaire sous forme de huit clos qui lève le voile sur une jeunesse en quête d'identité.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Marc Belpois
Dans ce documentaire tourné avant la guerre, Axel Salvatori-Sinz ne montre pas de jeunes résistants préoccupés par la lutte contre l'occupant israélien. Il filme des jeunes gens au carrefour de leur vie (...). Lorsque le film s'achève, on a la boule au ventre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film observe avec finesse la vitalité de ces "chebabs", plus une bande d’amis unis, généreux, bienveillants, que des témoins porteurs d’informations.
Positif
par Bernard Génin
Aucun carton n'explique le contexte, et le film est est très répétitif puisque la clandestinité empêchait le cinéaste de descendre dans les rues : on ne reste que sur les toits ou dans les appartements.
Critikat.com
Sortir ce film quatre ans après l’achèvement du tournage, alors que les protagonistes ont vu leurs chemins se séparer irrémédiablement, permet à la mise en scène de s’enrichir d’une puissance réflexive qui ne cesse de troubler une fois le visionnage achevé.
L'Humanité
Les chebabs ne peuvent obtenir d’asile, faute de nationalité. Ils s’entêtent à déjouer le sort dans des labyrinthes de clandestinité à l’instar du cinéaste durant ses tournages. Les textes qu’ils ont rédigés de leurs mains participent à l’écriture du film et donnent corps à notre empathie.
Première
Désespéré et poignant.
Studio Ciné Live
Un documentaire sous forme de huit clos qui lève le voile sur une jeunesse en quête d'identité.
Télérama
Dans ce documentaire tourné avant la guerre, Axel Salvatori-Sinz ne montre pas de jeunes résistants préoccupés par la lutte contre l'occupant israélien. Il filme des jeunes gens au carrefour de leur vie (...). Lorsque le film s'achève, on a la boule au ventre.
Cahiers du Cinéma
Le film observe avec finesse la vitalité de ces "chebabs", plus une bande d’amis unis, généreux, bienveillants, que des témoins porteurs d’informations.
Positif
Aucun carton n'explique le contexte, et le film est est très répétitif puisque la clandestinité empêchait le cinéaste de descendre dans les rues : on ne reste que sur les toits ou dans les appartements.