Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Vincent Thabourey
Voilà un grand film humaniste.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Les échanges sont ainsi toujours sur le fil de cette délicate limite entre complaisance et dénonciation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce documentaire unique en son genre réunit un cinéaste athée et quatre mollahs cohabitant pendant deux jours sous le même toit (...) Le résultat est impressionnant à bien des égards.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
La part de suspense du film est faible : dès le départ, l'expérience "Iranien" s'engage en riant dans une voie sombre, et l'on comprend que ni le dialogue ni la bonne volonté n'en ressortiront gagnants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Hendy Bicaise
Le spectateur est appelé en renfort et, de l’autre côté de l’écran, il "seconde" le progressiste tandis que le film se mue en essai théologique interactif. L’implication est totale, jusqu’à son glaçant final.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Parfois aussi désarçonnés que le cinéaste, on s'agace du manque de repartie de notre porte-voix : le film parvient ainsi à susciter le désir chez le spectateur d'en découdre avec ces figures de l'altérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Mariane Renaud
Un documentaire réussi qui pose adroitement la délicate question politique du vivre ensemble.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Au fond, la réussite trouble d’Iranien tient à un renversement inattendu : c’est qu’en cherchant à éclairer ces obscurantistes patachons sur les réformes nécessaires à leur pays, Tamadon tend malgré lui un miroir aux contradictions et apories du progressisme occidental
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce docu à l’humour sous-jacent est une vivante illustration des vertus du dialogue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Le documentariste laïc Mehran Tamadon débat et réfléchit au “vivre ensemble” avec quatre mollahs. Les deux camps s'acharnent à entrechoquer leurs arguments, sans hélas jamais en faire jaillir la moindre étincelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Danièle Attali
Ce film nous aura appris la force de leur rhétorique. En doutait-on ? Pas vraiment. C’est la limite de l’exercice.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Si l’on ne comprend pas vraiment comment un Iranien occidentalisé peut éprouver une telle envie de s’expliquer avec des fondamentalistes obtus, voire même de se faire accepter par eux, le dispositif ne manque néanmoins pas de cocasserie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Éric Loret
L’idée est plaisante et triste à la fois, car on voit bien que ça ne marche guère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le réalisateur reste ferme sur ses convictions, mais il n’enregistre que son propre ébranlement, et la jubilation de ses opposants (pourtant pas des flèches), si bien que le film chemine benoîtement vers un relativisme aveugle où ce sont les absolutistes qui s’amusent comme des petits fous.
Positif
Voilà un grand film humaniste.
Critikat.com
Les échanges sont ainsi toujours sur le fil de cette délicate limite entre complaisance et dénonciation.
La Croix
Ce documentaire unique en son genre réunit un cinéaste athée et quatre mollahs cohabitant pendant deux jours sous le même toit (...) Le résultat est impressionnant à bien des égards.
Le Monde
La part de suspense du film est faible : dès le départ, l'expérience "Iranien" s'engage en riant dans une voie sombre, et l'on comprend que ni le dialogue ni la bonne volonté n'en ressortiront gagnants.
Première
Le spectateur est appelé en renfort et, de l’autre côté de l’écran, il "seconde" le progressiste tandis que le film se mue en essai théologique interactif. L’implication est totale, jusqu’à son glaçant final.
Télérama
Parfois aussi désarçonnés que le cinéaste, on s'agace du manque de repartie de notre porte-voix : le film parvient ainsi à susciter le désir chez le spectateur d'en découdre avec ces figures de l'altérité.
aVoir-aLire.com
Un documentaire réussi qui pose adroitement la délicate question politique du vivre ensemble.
Chronic'art.com
Au fond, la réussite trouble d’Iranien tient à un renversement inattendu : c’est qu’en cherchant à éclairer ces obscurantistes patachons sur les réformes nécessaires à leur pays, Tamadon tend malgré lui un miroir aux contradictions et apories du progressisme occidental
L'Humanité
Ce docu à l’humour sous-jacent est une vivante illustration des vertus du dialogue.
Les Fiches du Cinéma
Le documentariste laïc Mehran Tamadon débat et réfléchit au “vivre ensemble” avec quatre mollahs. Les deux camps s'acharnent à entrechoquer leurs arguments, sans hélas jamais en faire jaillir la moindre étincelle.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Le Journal du Dimanche
Ce film nous aura appris la force de leur rhétorique. En doutait-on ? Pas vraiment. C’est la limite de l’exercice.
Les Inrockuptibles
Si l’on ne comprend pas vraiment comment un Iranien occidentalisé peut éprouver une telle envie de s’expliquer avec des fondamentalistes obtus, voire même de se faire accepter par eux, le dispositif ne manque néanmoins pas de cocasserie.
Libération
L’idée est plaisante et triste à la fois, car on voit bien que ça ne marche guère.
Cahiers du Cinéma
Le réalisateur reste ferme sur ses convictions, mais il n’enregistre que son propre ébranlement, et la jubilation de ses opposants (pourtant pas des flèches), si bien que le film chemine benoîtement vers un relativisme aveugle où ce sont les absolutistes qui s’amusent comme des petits fous.