Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Metro
par Mehdi Omaïs
Après l’étonnant "Captifs", le cinéaste Yann Gozlan flirte habilement avec le genre dans ce thriller paranoïaque tout en tension, servi par l’interprétation remarquablement maîtrisée de Pierre Niney.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TF1 News
par Olivier Corriez
"Un homme idéal" est un film malin et élégant aux références assumées comme "La Piscine" de René Clément ou "Le Boucher" de Claude Chabrol. Un polar à l'ambiance hitchcockienne dont on ressort troublé.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
par Caroline Vié
Un thriller classique et efficace (...) Niney rend parfaitement l'angoisse permanente d'un homme qui a basé son existence sur le mensonge et vit dans la terreur d'être démasqué. C'est pour lui, essentiellement, que cet homme idéal mérite d'être rencontré.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Assumant les références comme "Plein Soleil" ou "La Piscine", Gozlan n’aurait pu choisir meilleur interprète que Pierre Niney pour cette descente aux enfers à glacer les sangs.
La critique complète est disponible sur le site CNews
GQ
par Marie Aimée
S’il démarre comme le navet "The Words" (...), "Un homme idéal" glisse progressivement vers le film de genre haletant. Pierre Niney (...) gendre idéal que sa tromperie fait basculer dans une spirale hitchcockienne a même par moments quelque chose du Alain Delon de "Plein soleil".
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un suspense élégant et solaire, bien tenu par un Pierre Niney qui confirme son César.
Le Parisien
par Alain Grasset
Si l'intrigue de ce thriller est certes classique, elle réserve cependant de nombreux rebondissements et ménage le suspense de bout en bout.
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Un suspense haletant à la mécanique bien huilée. Prenant.
aVoir-aLire.com
par Tristan Gauthier
Un thriller électrique à l'ambiance stylisée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Le pensionnaire de la comédie-française et césar du meilleur acteur (...), Pierre Niney est-il pour autant devenu « Un homme idéal » ? C’est ce que nous invite à penser le titre du film qu’il porte intégralement sur ses frêles épaules, faute d’un scénario qui tienne debout.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Gala
par Camille Choteau
Yann Gozlan nous plonge dans un thriller très stylisé et haletant, malgré quelques invraissemblances, qui emprunte au "Plein Soleil" de René Clément. Pierre Niney, au jeu à la fois instinctif et précis, y déploie une nouvelle fois tout son talent.
La Croix
par La Rédaction
Un sujet attirant, un acteur convaincant pour un traitement hélas trop banal.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré une mise en scène et une structure narrative attendues, on est emporté dans cette spirale mensongère et meurtrière grâce à Pierre Niney
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré une mise en scène et une structure narrative attendues, on est emporté dans cette spirale mensongère et meurtrière grâce à Pierre Niney.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Olivier De Bruyn
Malgré ses nobles ambitions (concocter un récit paranoïaque autour d'un homme en crise d'identité), Yann Gozlan (déjà auteur de Captifs en 2009) peine à rendre crédible un scénario qui, à force de multiplier les fausses pistes et les péripéties, s'égare et perd de vue l'essentiel : le vertige existentiel d'un homme pris à son propre piège.
Première
par Laura Meyer
On s'intéresse autant au questionnement soulevé par par cette histoire d'imposture - faut-il tuer l'homme pour devenir écrivain - qu'à la présence de Pierre Niney, dont la jeunesse insolente, la fébrilité contrôlée et l'ambition manifeste collent idéalement au sujet.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
D'évidence, Pierre Niney (...) dispose du charme idéal pour camper ce menteur pris à son propre piège. Las, le scénario sur lequel plane pourtant l'ombre de "Plein soleil" ne pousse pas assez le curseur du suspense et du cynisme.
Télérama
par Mathilde Blottière
Yann Gozlan a beau connaître ses classiques, de Plein Soleil à Chabrol, son scénario sombre dans l'invraisemblance. Ce qui n'empêche pas une certaine tension. Merci Pierre Niney ! L'acteur fraîchement césarisé porte avec brio son personnage en mal de reconnaissance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Assez prévisible, avec pas mal de pistes effleurées et quèlques invraisemblances, ce thriller permet néanmoins à Pierre Niney de dévoiler le petit démon qui sommeille derrière l'angelot...
L'Obs
par Pascal Mérigaud
Sang, cadavre balancé à la mer, cauchemars, ça n'arrête plus, et le film, parti sur d'assez bons rails, dérive vers le thriller à deux balles. Dommage.
Le Monde
par Noémie Luciani
S'étouffant souvent dans les codes du genre, ce thriller fait le pari d'un protagoniste sans génie ni panache, incarné par Pierre Niney.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean Marc Lalanne et Romain Blondeau
En guise de néo-Delon, déguisé pour l’occasion en minet sixties (polo Lacoste et pantalon de toile estival), la star fraîchement césarisée Pierre Niney, dans un nouveau festival de petites mines expressives : yeux de chouette pour dire l’effarement, doigt posé sur la bouche pour l’interrogation, etc.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Guillaume Tion
Des références limpides pour un rendu fade car les crêtes les plus verticales de ce thriller feutré appartiennent à des hallucinations, des rêves… La mise en scène se révèle petite joueuse. Il y a comme usurpation de perversité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
Après l’étonnant "Captifs", le cinéaste Yann Gozlan flirte habilement avec le genre dans ce thriller paranoïaque tout en tension, servi par l’interprétation remarquablement maîtrisée de Pierre Niney.
TF1 News
"Un homme idéal" est un film malin et élégant aux références assumées comme "La Piscine" de René Clément ou "Le Boucher" de Claude Chabrol. Un polar à l'ambiance hitchcockienne dont on ressort troublé.
20 Minutes
Un thriller classique et efficace (...) Niney rend parfaitement l'angoisse permanente d'un homme qui a basé son existence sur le mensonge et vit dans la terreur d'être démasqué. C'est pour lui, essentiellement, que cet homme idéal mérite d'être rencontré.
CNews
Assumant les références comme "Plein Soleil" ou "La Piscine", Gozlan n’aurait pu choisir meilleur interprète que Pierre Niney pour cette descente aux enfers à glacer les sangs.
GQ
S’il démarre comme le navet "The Words" (...), "Un homme idéal" glisse progressivement vers le film de genre haletant. Pierre Niney (...) gendre idéal que sa tromperie fait basculer dans une spirale hitchcockienne a même par moments quelque chose du Alain Delon de "Plein soleil".
Le Dauphiné Libéré
Un suspense élégant et solaire, bien tenu par un Pierre Niney qui confirme son César.
Le Parisien
Si l'intrigue de ce thriller est certes classique, elle réserve cependant de nombreux rebondissements et ménage le suspense de bout en bout.
Télé 2 semaines
Un suspense haletant à la mécanique bien huilée. Prenant.
aVoir-aLire.com
Un thriller électrique à l'ambiance stylisée.
Elle
Le pensionnaire de la comédie-française et césar du meilleur acteur (...), Pierre Niney est-il pour autant devenu « Un homme idéal » ? C’est ce que nous invite à penser le titre du film qu’il porte intégralement sur ses frêles épaules, faute d’un scénario qui tienne debout.
Gala
Yann Gozlan nous plonge dans un thriller très stylisé et haletant, malgré quelques invraissemblances, qui emprunte au "Plein Soleil" de René Clément. Pierre Niney, au jeu à la fois instinctif et précis, y déploie une nouvelle fois tout son talent.
La Croix
Un sujet attirant, un acteur convaincant pour un traitement hélas trop banal.
Le Journal du Dimanche
Malgré une mise en scène et une structure narrative attendues, on est emporté dans cette spirale mensongère et meurtrière grâce à Pierre Niney
Le Journal du Dimanche
Malgré une mise en scène et une structure narrative attendues, on est emporté dans cette spirale mensongère et meurtrière grâce à Pierre Niney.
Positif
Malgré ses nobles ambitions (concocter un récit paranoïaque autour d'un homme en crise d'identité), Yann Gozlan (déjà auteur de Captifs en 2009) peine à rendre crédible un scénario qui, à force de multiplier les fausses pistes et les péripéties, s'égare et perd de vue l'essentiel : le vertige existentiel d'un homme pris à son propre piège.
Première
On s'intéresse autant au questionnement soulevé par par cette histoire d'imposture - faut-il tuer l'homme pour devenir écrivain - qu'à la présence de Pierre Niney, dont la jeunesse insolente, la fébrilité contrôlée et l'ambition manifeste collent idéalement au sujet.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
D'évidence, Pierre Niney (...) dispose du charme idéal pour camper ce menteur pris à son propre piège. Las, le scénario sur lequel plane pourtant l'ombre de "Plein soleil" ne pousse pas assez le curseur du suspense et du cynisme.
Télérama
Yann Gozlan a beau connaître ses classiques, de Plein Soleil à Chabrol, son scénario sombre dans l'invraisemblance. Ce qui n'empêche pas une certaine tension. Merci Pierre Niney ! L'acteur fraîchement césarisé porte avec brio son personnage en mal de reconnaissance.
Voici
Assez prévisible, avec pas mal de pistes effleurées et quèlques invraisemblances, ce thriller permet néanmoins à Pierre Niney de dévoiler le petit démon qui sommeille derrière l'angelot...
L'Obs
Sang, cadavre balancé à la mer, cauchemars, ça n'arrête plus, et le film, parti sur d'assez bons rails, dérive vers le thriller à deux balles. Dommage.
Le Monde
S'étouffant souvent dans les codes du genre, ce thriller fait le pari d'un protagoniste sans génie ni panache, incarné par Pierre Niney.
Les Inrockuptibles
En guise de néo-Delon, déguisé pour l’occasion en minet sixties (polo Lacoste et pantalon de toile estival), la star fraîchement césarisée Pierre Niney, dans un nouveau festival de petites mines expressives : yeux de chouette pour dire l’effarement, doigt posé sur la bouche pour l’interrogation, etc.
Libération
Des références limpides pour un rendu fade car les crêtes les plus verticales de ce thriller feutré appartiennent à des hallucinations, des rêves… La mise en scène se révèle petite joueuse. Il y a comme usurpation de perversité.