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    14 millions de cris
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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 082 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mars 2014
    Un petit court métrage revendicatif d'une grande médiocrité, si je ne vais pas forcément m'amuser à juger la cause qu'il défend, il y a des moyens plus subtils et plus intéressants que de faire ça.
    Ici on a juste un court métrage mal joué, mal filmé, mal pensé, où on transpose une mariée de force dans notre société afin que ça "nous touche plus".

    Cependant à partir du moment où c'est aussi mal filmé, aussi mal pensé, aussi mal joué comment veux-tu te sentir impliqué dans cette histoire où à aucun moment ça ne peut paraître vrai ? Rien que la discussion à la sortie de l'école pour faire jeune est juste navrante.

    Déjà que je n'aime pas le côté tire larme forcé dans les productions actuelles, celui-là en tient une couche avec sa petite musique horrible à la fin (sans doute pour faire un peu arty).

    Ce truc est consternant du début à la fin.
    De plus j'interroge l'utilité de ce "film". Il peut bien servir à quoi ? à ce que les gens aiment ce film sur les réseaux sociaux ? Waoh ! On va changer le monde avec ça. Il sert à prendre l'argent des gens assez naïfs pour donner ? Mon dieu on va changer le monde avec ça. Il sert à alerter l'opinion des gens ? Déjà faudrait commencer à faire un bon truc, c'est mieux pour se mettre les gens dans poche, et ça ne sert à rien, je pense que personne qui verra ce court métrage et en parlera à son ami bobo ne voulait marier sa fille de force.

    Bref le droit des femmes… il faut surtout éviter de raconter n'importe quoi, n'importe comment et le monde irait déjà mieux.

    Pas certain que ce film serve à quelque chose.

    Et puis Philippe Nahon ce n'est juste pas possible, c'était impossible d'avoir un mec qui a une pire tête que lui, quand tu penses que Noé c'était amusé à la rendre sympathique dans ses films malgré ses idées développées, là c'est un retour en arrière monstrueux en terme de traitement. Il passe à nouveau pour le monstre sans coeur sans subtilité.

    Il aurait été très intéressant en terme de traitement de mettre quelqu'un de gentil et de beau qui plaît à la gamine, il y aurait eu de l'ambigüité, ça aurait soulevé des questions.

    Mais lorsque tu n'es ni subtil, ni intelligent, pardon mais tu ne sers pas ta cause car on la sait caricaturale.
    7eme critique
    7eme critique

    535 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mars 2014
    Whaa, quel manque de talent flagrant pour cette vidéo ; ça veut se donner un coté original et percutant, mais ça passe clairement à la trappe. D'une laideur absolue tant sur l'idée que sur la forme, et qui ne provoquera donc aucune puissance sur le message (ça partait pourtant d'un bon sentiment). Ratage total !
    aldelannoy
    aldelannoy

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mars 2014
    Bravo au cadreur ! Il faut toujours commencer par le positif. Tout le reste ne vaut rien, scénario débile, dialogues stupides, jeu des acteurs très mauvais, c'est court et l'on parvient même à s'ennuyer, partagé entre l'envie de rire et de s'énerver tant tout cela n'a ni queue ni tête... On se demande comment des financements ont été dégotés pour ficeler un tel néant !
    Truman.
    Truman.

    231 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Le message est intéressant, la réalisation correct, les acteurs corrects mais honnêtement traiter un sujet pareil avec autant de ridicule est presque à la limite de la parodie vulgaire et provocante .

    Le message ne passe pas ou alors très mal et avec la musique ajoutée par dessus semble presque vouloir nous dire "regarde c'est cool hein ? :) "
    Puis ça se passe en France et là le soucis c'est que ça ne parait pas crédible une seule seconde .

    C'est bien sympa de vouloir traiter des sujets difficiles mais autant faut il savoir les traiter avec intelligence, subtilité, tact et avec un message qui frappe le spectateur .

    C'est au même niveau que le court métrage de Guillaume Canet sur l'alcool au volant, c'est a dire vide .
    Caine78
    Caine78

    6 738 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2015
    Nul doute que la démarche de Lisa Azuelos est sincère et après tout, le sujet est suffisamment grave pour justifier la réalisation de ce court-métrage. Reste que si le noir et blanc est joli, l'auteur de « LOL » ne fait pas dans la finesse avec cette musique pompeuse et quelques effets franchement inutiles, le tout agrémenté de symboles tout aussi dispensables. Résultat : malgré les bonnes intentions, « 14 millions de cris » s'avère peu percutant et à peine efficace, ce qui est embêtant au vue de ce qu'il entend dénoncer... Et puis bon, s'attaquer aux milieux ultra-catholiques, pourquoi pas, mais faire l'impasse sur spoiler: toutes les autres religions faisant probablement autant de mal sur le sujet (voire plus!) et sur bien d'autres
    , c'est franchement faire preuve de facilité, voire de démagogie. La cause méritait mieux.
    Plume231
    Plume231

    3 906 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mars 2014
    Pour aborder un sujet aussi grave, le choix de la "réalisatrice" qui a osé commettre "LOL" était bien évidemment le plus avisé...
    Et au lieu d'y aller avec subtilité, pourquoi pas y aller avec de très gros sabots, avec effets appuyés, jeu d'acteurs médiocres, massacre en règle de Bach, le traiter avec ridicule faisant passer l'ensemble pour une bonne grosse bouffonnerie alors que c'est une tragédie...
    Et autant être courageux en faisant dans le symbolisme catholique (même si on parvient à se montrer hypocrite en y allant pas à fond et en mettant en scène un mariage civil !!!) et (attention je ne dis pas qu'il n'y a pas de mariages forcés chez les français, les blancs et les catholiques !!!) avec des français blancs ; ben oui tirer uniquement sur des catholiques et des blancs, c'est tellement plus politiquement correct (et je suis très très très loin de porter dans mon cœur ce type de personnes quand elles sont intégristes !!!) que de tirer sur les autres races et les autres religions car on risque d'être traité d'antisémite, de raciste, d'anti-musulman, de xénophobe, etc...
    Quand on dénonce un problème très grave, il faut flinguer toutes les personnes qui en sont la cause et de manière franche... mais cela ne serait pas assez politiquement correct.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    87 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mars 2014
    Dénoncer le mariage forcé est une bonne chose et sur le fond, il n'y a rien à redire au film. En revanche, sur la forme, "14 millions de cris" parvient à être aussi choquant que ce qu'il est censé dénoncer ! C'est dire son indigence... On constate au fur et à mesure que l'ensemble des choix artistiques est à côté de la plaque : le noir et blanc, les dialogues ridicules, la façon de filmer au plus près des personnages, caméra à l'épaule, et surtout le milieu dans lequel ils vivent, totalement représentatif de la bourgeoisie parisianiste et qui servait déjà de cadre à "LOL (Laughing Out Loud)", ce qui les rend immédiatement antipathiques. D'ailleurs, si le court-métrage cherche à dénoncer la déshumanisation des gamines lorsque elles sont confrontées au mariage forcé, pourquoi mettre en scène l'une de ces filles-objets hypersexualisée, digne des concours de mini-Miss ? On voit bien l'intention de Lisa Azuelos, à savoir faire intervenir une pratique immonde dans un monde qu'elle considère comme idéal afin de souligner le décalage entre les deux, mais ce milieu prétendument parfait, c'est le Paris superficiel qui ne fait lui-même qu'encourager la réification et l'uniformisation des individus, autrement dit un comble ! Mais là où "14 millions de cris" devient vraiment atterrant, c'est quand il se transforme en clip nauséabond, esthétisant à outrance la souffrance de la jeune fille. Inutile d'évoquer la musique, soupe affreuse destinée à coller à l'air du temps, la mise en scène est suffisamment éloquente pour caractériser l'abjection du film : ralentis, travellings, zoom sur une poupée tombant des mains de l'enfant, soit une esthétique publicitaire du plus mauvais goût. Soyons clair, je n'ai jamais vraiment été convaincu par la théorie du travelling de "Kapo" : pour moi, il n'y a aucun mal à esthétiser un événement qui serait abject s'il avait lieu dans la vie réelle. La sobriété, le poids des mots ou la sublimation de la beauté sont autant de choix qui, je pense, peuvent être utilisés quand il s'agit de montrer l'horreur ; dans les trois cas, l'effet peut être réussi ou raté mais je ne conteste pas leur utilisation. Un crime, aussi affreux et choquant soit-il, peut rencontrer une véritable valeur artistique s'il est montré avec un souci d'esthétisme et dénoncer tout autant son exécution, ce qui indique que la morale n'est en rien opposée à la beauté.
    Cependant, ici, la morale semble être bien remise en cause. En effet, si "14 millions de cris" est un court-métrage, donc possède une supposée valeur artistique, il fait aussi partie d'une campagne visant explicitement à dénoncer le mariage forcé, or on est vraiment dans un excès insupportable d'esthétisation qui va à contre-courant de cet engagement. Dans le même genre, "College Boy", le clip qu'avait réalisé Xavier Dolan pour Indochine, était bien plus réussi, car si lui aussi esthétisait fortement la souffrance, celle-ci était tellement dans l'excès, avec des situations totalement improbables et dystopiques, qu'on finissait vraiment par ressentir l'injustice du bizutage. Ici, Azuelos fait de la souffrance qu'éprouve la jeune fille presque quelque chose de supportable, voire consensuel, à tel point qu'on a l'impression que la situation de mariage forcé l'amuse – or il est évident que ce n'est pas le cas. Il est aussi évident qu'elle ne pensait pas à mal et qu'elle croit sincèrement en la légitimité de ce combat, mais elle n'a probablement pas conscience non plus du ridicule de ces images ou du rejet qu'elles peuvent susciter, et non pas à cause de ce qu'elles montrent. Si on en arrive au point où il faut poser une chanson sirupeuse sur des images clipesques pour dénoncer quelque chose, c'est qu'il y a à la fois un dérèglement chez les personnes ciblées, puisqu'elles ont besoin que les choses affreuses qui se déroulent dans le monde leur soient montrées sous une forme à laquelle elles sont habituées pour prendre conscience de leur horreur, mais aussi dans l'évaluation cinématographique. Le septième art est en effet de plus en plus gangrené par la publicité ou le clip ; ce n'est bien sûr pas toujours un mal mais cela montre tout de même la prééminence de l'aspect mercantile dans la société, et souvent au détriment de la culture. Mais quand les campagnes engagées empruntent aussi ce chemin, on ressent d'autant plus fermement le fossé culturel en train de s'établir : les gens crient au génie pour un film aussi insignifiant que celui-ci alors qu'ils ne sont en vérité que touché par son propos – et ils ont raison de l'être, mais le fait qu'ils imputent la réussite de ce film à la seule légitimité de l'intention de la réalisatrice montre l'oubli de ce qu'est la mise en scène, ou tout simplement le beau. Darren Aronofsky, qui avait lui aussi réalisé une campagne de publicité contre l'addiction à la drogue – mais qui n'avait pas la prétention de considérer ses spots comme des œuvres à part entière –, avait misé sur la sobriété et obtenu quelque chose de bien plus percutant. Alors oui, le mariage forcé est un scandale, mais "14 millions de cris" en est un autre.
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    66 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mars 2014
    Filmé en noir et blanc, ce court-métrage coup de poing nous montre une réalité à laquelle on pourrait ne pas penser. Avec une mise en scène sobre et des acteurs sobres voire froids, Lisa Azuelos nous prouve qu'on peut faire passer beaucoup de choses à travers le comportement sans forcément faire parler beaucoup. Combat à suivre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 mars 2014
    ridicule ! tellement ridicule qu'il manque sa cible! hélas
    en plus c'est une insulte aux chrétiens
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 mars 2014
    14 millions de cris est un des courts-métrages qui m'aura touché.
    La réalisatrice a choisi son titre : 14 millions de jeunes filles sont mariées contre leur gré. Et ce que dénonce ce court-métrage.
    Noir et blanc, c'est parfait. Cela intensifie le drame qui s'approche.
    Au tout début, nous suivons une jeune fille rentrant du collège. Ses parents l'habillent en mariée sans qu'elle se doute de rien (enfin si elle se doute de quelque chose mais pas trop). Le père fait une déclaration choquante :"Une vraie petite femme" ! La suite sera glaçant.
    Alors oui, j'avoue : j'ai vraiment pas aimé le décalage de la musique. Je l'ai pas aimé, cela gâche le court-métrage. On aurait du mettre des notes de piano...
    Mais le reste est d'un résultat somptueux. Et la fin... je vous le dis pas car elle m'a choqué.
    Visionnez ce mini film pour prendre compte que le mariage forcé est une abomination.
    Jean G.
    Jean G.

    30 abonnés 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2014
    Ce qui est là aussi dommage c'est que, au-delà du message qui est incontestable, il y a un effort artistique. Les acteurs, déjà, - il est vrai que c'est dur de parler pour seulement quatre minutes de film - sont très bons, et le noir et blanc, certains plans sont intéressants. Il est vrai ce n'est pas fait avec beaucoup de finesse et c'est un peu trop exagéré pour que ça puisse passer, mais bon, en tout je trouve cette réalisation acceptable.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mars 2014
    Même si le sujet est bel et bien réel, je ne suis pas certain que la façon dont est traité ce fait est vraiment la plus judicieuse. C'est une sorte de mélasse insipide que l'on a mis en noir et blanc pour donner un sentiment de gravité.
    En résumé je ne pense pas que court métrage fasse prendre conscience du calvaire enduré par ces jeunes filles.
    (Nous ne parlerons pas bien entendu de la présence de Julie Gayet....)
    tixou0
    tixou0

    702 abonnés 2 000 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2014
    Plus de 14 millions de mineures, fillettes et jeunes filles, sont chaque année les victimes de mariages forcés (statistiques onusiennes) - d'où le titre du court métrage de Lisa Azuelos. Essentiellement en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est. On se souvient de Noyoud, en 2008. La petite Yéménite de 8 ans avait été mariée contre son gré à un homme de 30 ans, après avoir été battue copieusement par son géniteur. Au Yémen, plus de la moitié des filles sont mariées avant l'âge de la majorité. Cette courageuse gamine a su regimber. Elle a porté plainte contre le père indigne et le mari violeur, et a obtenu le divorce, 2 mois après l'union - plus jeune divorcée au monde ! Triste record, après tant d'épreuves.
    Ces traditions de mariage précoce et contraint ne sont pas qu'"exotiques". Il y a en effet 70.000 filles vivant en France qui seraient concernées - supportant le poids de traditions importées. Pour frapper un grand coup, Lisa Azuelos, la réalisatrice de "LOL", a mis en scène un curieux mariage forcé, dans un milieu inattendu. Comme une sorte de docu-fiction choc (l'usage du noir et blanc allant sans doute en ce sens). La scène est à Paris (la voiture, en route vers la mairie d'arrondissement, passe place des Victoires), dans un milieu bourgeois. La petite fille, un rien "fleur bleue" (se dit "romantique", à une copine de classe), est livrée par ses parents l'ayant décrétée "femme" à un septuagénaire libidineux, sous les vivats de l'assistance, et avec l'aval souriant de l'officier (féminin) d'état-civil. Exercice de style délicat..... Montrer l'horreur de la situation des mariages imposés, en la transposant dans un milieu où de telles pratiques sont totalement incongrues. La (grande) bourgeoisie française ne dédaignait pas les mariages arrangés, pour rapprocher opportunément les fortunes, mais c'était entre adultes (rien de "forcé" !), et depuis pas de temps, devenu totalement anachronique. Cette invitation à la projection-identification (fantasmée !) est un choix scénaristique dont on peut admettre la cohérence. Mais le "second degré" a nécessité une précision discutable, dans son détail "dramaturgique". Le problème de ces unions forcées trouve son origine dans la religion, mais pas question de "stigmatiser" bien sûr.... C'est la charia qui est en cause, mais on ne peut frontalement en parler, pour cause d'efficacité du "message". La gamine sera donc.... catholique - grande image du Christ dans la chambre conjugale où la mère apprête sa fille pour le sacrifice programmé de son innocence. La 3ème religion monothéiste, tout à fait plausible dans le rôle joué ici par le christianisme (et facile à indiquer, par tel détail vestimentaire, ou telle pièce décorative), a été écartée d'emblée. Ne pas substituer une "stigmatisation" à une autre. C'est toujours le christianisme qui joue les utilités, façon repoussoir. Sans risque. Passons....
    Ce CM, diffusé sur le net (et sous-titré en anglais pour sa présentation par Mlle Gayet au Festival du Film français de N-Y ce w-e), a été réalisé pour le 8-Mars. On déplorera que les femmes n'aient droit qu'à une "Journée" d'intérêt par an..... Coincée d'ailleurs entre le 3-Mars, "Journée internationale du Tennis", et le 11-Mars, "Journée internationale de la..... Plomberie". Sic !
    Alain D.
    Alain D.

    594 abonnés 3 287 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2020
    Ce Drame en N&B, réalisé par Lisa Azuelos en 2014, dénonce les mariages forcés en France de 14 millions de filles mineures. Un Court-métrage choc et courageux dans la forme et dans le fond.
    Les acteurs sont parfaits ; le choix du format noir et blanc est très judicieux, comme celui de la musique de Sweetbox. Leur titre "Everything's gonna be alright" (Tout ira bien) se révèle tout aussi sarcastique que les images et colle parfaitement au scénario.
    Kill-Jay
    Kill-Jay

    68 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mars 2014
    C'est honorable de la part de tout ce beau monde de vouloir faire quelque chose pour lutter contre les violences faites au femmes et compagnie. Mais ça manque cruellement de talent et surtout de subtilité. C'est à l'image de la date choisie pour sortir ce court-métrage. Il sort au moment de la journée de la femme. Pourquoi ne pas le sortir un autre jour ? Là, j'ai du coup une mauvaise impression, ça me parait lourd déjà, avant même d'avoir vu le film. Et les craintes sont fondées quand je regarde, il n'y a aucune subtilité, aucun talent dans la mise en scène de Lisa Azuelos, on ne peut donc rien ressentir pour un truc qui ne dégage rien. Je n'ai pas eu une once de sentiment en regardant ce truc, ça a beau être un sujet sensible et tout ce qu'on veut, je suis resté de marbre. Le parfait exemple de ce que je dis, c'est la musique qui casse les oreilles, ou même Philippe Nahon. Je l'aime bien ce type mais là il est pas à sa place, ils n'auraient pas du le mettre lui. C'est le summum de la lourdeur. Quatre minutes de film, j'ai l'impression d'avoir pris 20 kilos.
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