AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
4,1
2772 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Quelques minutes après minuit ?
5
57 critiques
4
120 critiques
3
55 critiques
2
18 critiques
1
6 critiques
0
2 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un très bon film traitant de la mort et d'étapes de deuil anticipé, entre réalité et science fiction par le biais des émotions du petit Connor... A voir
[...]Ce sont des thèmes forts et universels que Bayona met en scène ici comme : l’enfance, l’apprentissage, la séparation, la mort… Pour ce faire il répond à plusieurs questions tout en restant assez évasif, et laissant le spectateur à sa propre explication. Dépourvu de clichés en tout genre, « Quelques Minutes Après Minuit » nous montre à nous et principalement à son héros, que la réalité de la vie, n’est pas toujours un long fleuve tranquille, et qu’il faut savoir faire face lorsque de terribles épreuves nous barrent le chemin. C’est donc ceci que le Monstre (imaginaire ? là aussi la question reste entière) va tenter de lui inculquer et le tirer de son univers imaginaire dans lequel il c’était renfermé...(lire la suite sur le blog).
Étrange film que ce « Quelques minutes après minuit ». Ni film pour enfants ou adolescents de par son ambiance trop sombre et le fond de l’histoire trop complexe et triste pour être appréhendé par cette partie des spectateurs mais pas vraiment non plus un film pour adultes tant on est sur les terres du conte de fées et qu’on se retrouve toujours à hauteur d’enfant. Un placement bicéphale qui devrait empêcher le nouveau film de Juan Antonio Bayona de trouver son public.
On retrouve beaucoup de Steven Spielberg ici dans la manière de vouloir offrir au plus large public, une histoire universelle à travers de conte fantastique. Cependant, le fait de traiter de front le thème du deuil n’est pas aisé et empêchera une bonne partie du cœur de cible de découvrir le long-métrage. Surtout que la morale et la résolution de l’histoire ne sont pas forcément claires non plus pour un public adulte. C’est ténu et très noir et pas vraiment destiné à égayer nos longues soirées d’hiver.
La créature est très réussie, grâce à des effets spéciaux impeccables et parfaitement intégrés au contexte où se déroule l’histoire. L’insertion de séquences d’animation, qui s’incarnent lors des récits énoncés par le monstre, est bien négociée mais place encore plus « Quelques minutes après minuit » à la croisée des genres et des publics. Ces séquences sont gentilles mais tranchent encore plus avec certaines vraiment effrayantes comme la première apparition du monstre qui montre la réussite de la direction artistique.
On est donc face à un récit d’apprentissage parfois touchant mais le plus souvent déroutant qui ne sait pas sur quel pied danser. On a du mal à être pleinement captivé durant une heure et demie et certaines longueurs ou incompréhensions dans le récit en parasitent durablement l’appréciation. Si on est content de retrouver Sigourney Weaver sur grand écran et d’entendre le timbre de voix si singulier de Liam Neeson, au bout du compte, ce film sur la perte d’un être cher, la foi et le deuil est vraiment trop étrange pour qu’on puisse tout à fait en chanter les louanges.
On retrouve beaucoup de Steven Spielberg ici dans la manière de vouloir offrir au plus large public, une histoire universelle à travers de conte fantastique. Cependant, le fait de traiter de front le thème du deuil n’est pas aisé et empêchera une bonne partie du cœur de cible de découvrir le long-métrage. Surtout que la morale et la résolution de l’histoire ne sont pas forcément claires non plus pour un public adulte. C’est ténu et très noir et pas vraiment destiné à égayer nos longues soirées d’hiver.
La créature est très réussie, grâce à des effets spéciaux impeccables et parfaitement intégrés au contexte où se déroule l’histoire. L’insertion de séquences d’animation, qui s’incarnent lors des récits énoncés par le monstre, est bien négociée mais place encore plus « Quelques minutes après minuit » à la croisée des genres et des publics. Ces séquences sont gentilles mais tranchent encore plus avec certaines vraiment effrayantes comme la première apparition du monstre qui montre la réussite de la direction artistique.
On est donc face à un récit d’apprentissage parfois touchant mais le plus souvent déroutant qui ne sait pas sur quel pied danser. On a du mal à être pleinement captivé durant une heure et demie et certaines longueurs ou incompréhensions dans le récit en parasitent durablement l’appréciation. Si on est content de retrouver Sigourney Weaver sur grand écran et d’entendre le timbre de voix si singulier de Liam Neeson, au bout du compte, ce film sur la perte d’un être cher, la foi et le deuil est vraiment trop étrange pour qu’on puisse tout à fait en chanter les louanges.
Si vous hésitez encore à aller voir ce film je vous renvoie sur le lien suivant où j'y présente l'oeuvre dans ces grandes lignes et sans spoiler en 5 min.
Quelques minutes après minuit est un pur chef d'œuvre. C'est une des premières fois que je vois un film dont la bande annonce ne montre pas le réel sujet du film. Visuellement le film est très beau bravo Bayona pour cette très belle performance, les images en peinture ou dessin rendent très bien, le design de l'arbre est inattendu mais agréable. Attention ne lisez pas la suite si vous ne voulez absolument rien savoir. Mais la ou le film est le plus fort c'est qu'il aborde le deuil et la mort de la façon la plus novatrice et intelligente qui soit. Pour la première fois j'ai pleuré au cinéma car ayant vécu la maladie et la mort d'un proche il y a peu, le film m'a libéré de douleur enfoui et sa c'est assez incroyable venant d'une œuvre d'une heure quarante huit. Lewis MacDougall est excellent dans ce film, il joue à la perfection tout comme Felicity Jones qui joue la mère malade avec justesse,ce qui surprend après l'avoir vu il y a peu dans Rogue One ! De manière général les acteurs tout comme l'arbre qui est un personnage attachant et qui a des paroles parfois touchante et véridique. La ou le film est encore une fois tres intelligent c'est que dans le premier acte on ne comprend pas tout, on ne voit pas ou le film veut nous emmener mais dans le second tout les éléments se lie qu'il soit grand ou petit. Le seul défaut est peut être le père qui est un personnage moins intéressant. Un pur chef d'œuvre je conseille fortement
Bayona ayant signé l'orphelinat je dois dire que je ne croyais pas un seul instant en ce film qui se veut être une fable sur la perte d'un être cher. Alors oui l'image est belle,enfin si les tableaux sont beaux ils n'ont aucune âme et pour un film qui se veut jouer avec les sentiments c'est un vrai problème. On regarde ça sans ressentir quoique ce soit,si ce n'est l'appel du sommeil qui à frappé de grand coups lors de ma vision du film. J'ai tout de même réussi à résister et j'ai finalement tout vu. Que dire? Que le film est long? Non il n'est pas trop long,mais c'est ce manque d’âme qui fait que rien ne captive,tout est déroulé sans implication du réalisateur,enfin si il veut faire croire mais ça façon de faire ne marche pas.
Pour ce qui est des acteurs on ne sent aucune implication,enfin le problème ne vient pas d'eux mais encore une fois de Bayona qui les inscrit dans des émotions caricaturales. Cet enfant qui est le personnage principal n'apporte rien,il est transparent,son visage sort des codes du schémas classique du cinéma,mais il n'en ressort absolument rien. Cet enfant est seul,à l'école et dans sa vide de famille. Pour ses camarades il est le souffre douleur et avec sa grand mère ils ne se comprennent pas. Il se réfugie dans un monde imaginaire,dans lequel cet arbre parle afin de lui venir en aide et surtout pour passer le cap de la douloureuse séparation avec sa mère.
On a l'impression de se balader dans un truc qui nous montre des choses vide,c'est comme si on se baladerait dans un train sillonnant la France et qu'avec les paysages vues on dirait je connait bien la France. Pourtant tout le monde connait ce sentiment de perte à un moment ou l'autre,mais Bayona est incapable de le retransmettre à l'écran,il signe une belle coquille vide.
Pour ce qui est des acteurs on ne sent aucune implication,enfin le problème ne vient pas d'eux mais encore une fois de Bayona qui les inscrit dans des émotions caricaturales. Cet enfant qui est le personnage principal n'apporte rien,il est transparent,son visage sort des codes du schémas classique du cinéma,mais il n'en ressort absolument rien. Cet enfant est seul,à l'école et dans sa vide de famille. Pour ses camarades il est le souffre douleur et avec sa grand mère ils ne se comprennent pas. Il se réfugie dans un monde imaginaire,dans lequel cet arbre parle afin de lui venir en aide et surtout pour passer le cap de la douloureuse séparation avec sa mère.
On a l'impression de se balader dans un truc qui nous montre des choses vide,c'est comme si on se baladerait dans un train sillonnant la France et qu'avec les paysages vues on dirait je connait bien la France. Pourtant tout le monde connait ce sentiment de perte à un moment ou l'autre,mais Bayona est incapable de le retransmettre à l'écran,il signe une belle coquille vide.
Un arbre, type Ent, vient après minuit raconter 3 histoires à Connor, un gamin dont la mère est mourante. Contes pour enfants avec beaucoup de dialogues, trop pour moi. Les acteurs restent bons, comme les effets spéciaux mais le film qui part dans tous les sens en fonction de l'imagination du gamin... Sa relation clichée à l'école, avec son père et sa grand-mère... Il y a une vraie envie de faire un film mélo-dramatique de base avec la musique et l'émotion qui vont bien. Une version Fantastique et enfantine de l'acceptation de l'inacceptable chez l'enfant.
Clémentine K.
Une histoire mêlée à des contes. On se retrouve avec une âme d'enfant avant que le film ne devienne vraiment très triste et que des larmes de crocodile apparaissent. C'est avec le cœur gros que l'on sort de la salle.
Un beau film empreint d’une belle patte psychanalytique. Le film aborde la culpabilité d’un jeune garçon qui apprend à l’accepter grâce à un « monstre » ou plutôt une personne fondamentalement dans l’alliance familiale dans laquelle le jeune garçon s’inscrit. Les incrustations d’animation pour présenter les histoires sont très réussies.
Une belle histoire avec un bon leçon pour la vie. À voir absolument.
Au début c'est un peu bizarre, mais pendant le film on comprend pourquoi !
Au début c'est un peu bizarre, mais pendant le film on comprend pourquoi !
Un beau film qui aborde de façon poétique la maladie d'une mère vue par les cauchemars de son fils...
WutheringHeights
Les effets spéciaux, magnifiques, ne parviennent pas à combler les manques d’un scénario cousu de fil blanc. (...) L’ensemble est rendu supportable par l’interprétation de qualité (Sigourney Weaver en tête).
LA SUITE :
LA SUITE :
la moyenne car bien Réaliser mais franchement je n'arrive pas à être dedans du début a la fin c'était mou puis whai il ce passe rien qui nous ferait accroché la moyenne pour le monstre
un joli conte fantastique bien réalisé décidément les réalisateurs espagnols ont la main sur le genre. Le jeune acteur vedette assure aussi une très bonne prestation. On peut peu être regretter un scénario un poil juste.
Un film à mettre en parallèle dans sa construction avec "le Labyrinthe de Pan": un enfant confronté à la dure réalité de son monde (ici la maladie, la guerre dans le Labyrinthe) s'invente un univers parallèle, fantastique qui l'aide à trouver la force et le courage de surmonter les épreuves. C'est beau, c'est poétique et c'est triste. Très triste.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse