Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Ouest France
par Frédéric Foubert
Dans un style mêlant réalisme blafard et fantaisie débridée, J. A. Bayona construit une oeuvre déchirante, à la fois réflexion sur le deuil, parabole du passage à l'adolescence et ode à la puissance consolatrice de la fiction et de l'imaginaire.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce conte cruel coproduit par Guillermo Del Toro envoûte par sa façon d’évoquer des sujets graves avec un sens rare de la poésie macabre. Il n’est pas inutile de prévoir des mouchoirs en papier avant la séance.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Fabien Reyre
(...) la pleine réussite de "Quelques minutes après minuit" repose sur un équilibre fragile entre sobriété et baroque, trouvant un espace où peuvent co-exister une forme de retenue dans la narration et une série d’expérimentations visuelles réellement spectaculaires.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Juan Antonio Bayona nous propose une fable incroyablement émouvante, d'une pureté narrative et technique qui laisse sans voix.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un superbe conte filmique, sur un sujet grave - le rapport de l’enfance à la mort -, mais sur un mode ludique qui rappelle Steven Spielberg, tout en ayant de la personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cette ode au pouvoir de l'imaginaire et à l'art qui aide à vivre est un tire-larmes dévastateur, à peine gâté par les violons de sa bande-son. Ainsi s'épanouit le génie spielbergien du réalisateur de "l'Orphelinat", Juan Antonio Bayona.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’adaptation réussie d’un beau livre pour ados, où l’imaginaire trouve dans les peurs surmontées la voie pour assumer les duretés de la vie.
Les Inrockuptibles
par Aurélien Allin
Précision de mise en scène, belles idées de montage, séquences animées vintage illustrant avec poésie la morbidité des peurs enfantines, décor intemporel et universel : Juan Antonio Bayona démontre un brio de chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Bien conscient de naviguer à vue, sans intrigue véritable, le réalisateur conjure le sort en proposant à son public une oeuvre protéiforme (...) mais totalement cohérente, dont la perspective volontairement faussée n'empêche pas l'épilogue d'imposer une vision d'ensemble satisfaisante.
Paris Match
par Yannick Vely
(...) on est frappé à quel point le cinéaste catalan affronte son sujet à bras la caméra, ose le fracas des sentiments, filme tout au premier degré, avec une telle foi dans le médium cinéma qu’il gomme (...) toutes les réserves que l’on pourrait émettre sur le caractère un peu trop forcé et évident de la métaphore.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Florence Roman
Ce film aux effets spéciaux impressionnants est une merveilleuse fable philosophique au message bouleversant.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Sublimé par les performances de Sigourney Weaver, Felicity Jones et du jeune Lewis MacDougall - une révélation -, ce conte noir recèle une intensité émotionnelle rare.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Quelques minutes après minuit frappe juste, sans toutefois totalement parvenir à affirmer son réel statut d’œuvre hybride, au croisement des sensibilités et des souffrances. Reste un travail d’artisan visionnaire qui doit être salué à sa juste valeur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Alternant entre une mise en scène très soignée et fluide à la Spielberg et quelques courtes séquences particulièrement réussies en animation, "Quelques minutes après minuit" est un beau film sur l’enfance, original tout en étant conforme aux canons du genre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
"Quelques minutes après minuit" peine parfois à se détacher d’une forme assez convenue (…) Mais il y a bien longtemps qu’un blockbuster enfantin n’avait abordé de manière si prosaïque et sophistiquée une telle charge de morbidité et de tristesse.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Dans la lignée de "L’orphelinat", Bayona approfondit son exploration de la relation mère-fils et ajoute aux thématiques du deuil et de la séparation une réflexion sur la transmission.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Tout juste reprochera-t-on à Juan Antonio Bayona d’actionner le turbo sentimental et une propension à l’effet grandiloquent. Histoire sans doute d’exprimer son admiration démesurée pour Steven Spielberg. Personne n’est parfait !
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Entre mélodrame et conte initiatique, "Quelques minutes après minuit" est en quelque sorte un film d’horreur destiné au jeune public à partir de 12 ans. Émouvant.
Le Monde
par Noémie Luciani
Cet excès de pédagogie est heureusement compensé en partie par un casting tout en relief et en nuances. Le jeune Lewis MacDougall distille intelligemment sa rage d’endeuillé futur, Felicity Jones sa détresse coupable de mère tentée de lâcher prise.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Conte spielbergien s’il en est, le troisième long métrage de J.A. Bayona, maîtrisé, parfois brillant, peine toutefois à aller au-delà de l’exercice de style.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Une fable mélancolique aux belles images mais qui manque de rythme.
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans ce mélange audacieux d'intimisme et de spectaculaire, les larmes et les effets spéciaux pèsent parfois plus qu'ils ne devraient. Mais l'ensemble dégage une poésie et une noirceur tout droit sorties de l'univers des contes, où l'impossible prend forme pour nous apprendre la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un conte terrifiant pour ados, visuellement très beau mais qui s'étire un peu en longueur.
L'Express
par Eric Libiot
Les effets spéciaux - magnifiques, il est vrai - prennent trop le pas sur une histoire convenue.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Désireux d'être fidèle au livre, Juan Antonio Bayona s'égare sans réussir à nous faire prendre les rêves pour la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
"Quelques Minutes après minuit" peint un beau portrait d'enfant malheureux, bien interprété par Lewis MacDougall. (...) Mais on a du mal à croire à cette histoire de monstre, en images de synthèse. Et la deuxième partie se veut larmoyante et moralisatrice qu'elle plombe l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Adaptation visuellement splendide d'un best-seller sur le deuil, le troisième film de Juan Antonio Bayona fait tout pour nous toucher. Sans succès.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Sa façon raffinée de jouer sur la disparité et la variété des plans, son filmage luxueux de détails infinitésimaux ou de rêves, agrémenté de tombereaux d'effets spéciaux, est la seule plus-value du film.
Positif
par Philippe Rouyer
(...) le troisième film de Juan Antonio Bayona se retrouve bientôt victime de son scénario programmatique, celui qu'édicte la créature-arbre dès sa première apparition au protagoniste.
Ouest France
Dans un style mêlant réalisme blafard et fantaisie débridée, J. A. Bayona construit une oeuvre déchirante, à la fois réflexion sur le deuil, parabole du passage à l'adolescence et ode à la puissance consolatrice de la fiction et de l'imaginaire.
20 Minutes
Ce conte cruel coproduit par Guillermo Del Toro envoûte par sa façon d’évoquer des sujets graves avec un sens rare de la poésie macabre. Il n’est pas inutile de prévoir des mouchoirs en papier avant la séance.
Critikat.com
(...) la pleine réussite de "Quelques minutes après minuit" repose sur un équilibre fragile entre sobriété et baroque, trouvant un espace où peuvent co-exister une forme de retenue dans la narration et une série d’expérimentations visuelles réellement spectaculaires.
Ecran Large
Juan Antonio Bayona nous propose une fable incroyablement émouvante, d'une pureté narrative et technique qui laisse sans voix.
Franceinfo Culture
Un superbe conte filmique, sur un sujet grave - le rapport de l’enfance à la mort -, mais sur un mode ludique qui rappelle Steven Spielberg, tout en ayant de la personnalité.
L'Obs
Cette ode au pouvoir de l'imaginaire et à l'art qui aide à vivre est un tire-larmes dévastateur, à peine gâté par les violons de sa bande-son. Ainsi s'épanouit le génie spielbergien du réalisateur de "l'Orphelinat", Juan Antonio Bayona.
Le Dauphiné Libéré
L’adaptation réussie d’un beau livre pour ados, où l’imaginaire trouve dans les peurs surmontées la voie pour assumer les duretés de la vie.
Les Inrockuptibles
Précision de mise en scène, belles idées de montage, séquences animées vintage illustrant avec poésie la morbidité des peurs enfantines, décor intemporel et universel : Juan Antonio Bayona démontre un brio de chaque instant.
Mad Movies
Bien conscient de naviguer à vue, sans intrigue véritable, le réalisateur conjure le sort en proposant à son public une oeuvre protéiforme (...) mais totalement cohérente, dont la perspective volontairement faussée n'empêche pas l'épilogue d'imposer une vision d'ensemble satisfaisante.
Paris Match
(...) on est frappé à quel point le cinéaste catalan affronte son sujet à bras la caméra, ose le fracas des sentiments, filme tout au premier degré, avec une telle foi dans le médium cinéma qu’il gomme (...) toutes les réserves que l’on pourrait émettre sur le caractère un peu trop forcé et évident de la métaphore.
Première
Ce film aux effets spéciaux impressionnants est une merveilleuse fable philosophique au message bouleversant.
Télé 7 Jours
Sublimé par les performances de Sigourney Weaver, Felicity Jones et du jeune Lewis MacDougall - une révélation -, ce conte noir recèle une intensité émotionnelle rare.
aVoir-aLire.com
Quelques minutes après minuit frappe juste, sans toutefois totalement parvenir à affirmer son réel statut d’œuvre hybride, au croisement des sensibilités et des souffrances. Reste un travail d’artisan visionnaire qui doit être salué à sa juste valeur.
Bande à part
Alternant entre une mise en scène très soignée et fluide à la Spielberg et quelques courtes séquences particulièrement réussies en animation, "Quelques minutes après minuit" est un beau film sur l’enfance, original tout en étant conforme aux canons du genre.
Cahiers du Cinéma
"Quelques minutes après minuit" peine parfois à se détacher d’une forme assez convenue (…) Mais il y a bien longtemps qu’un blockbuster enfantin n’avait abordé de manière si prosaïque et sophistiquée une telle charge de morbidité et de tristesse.
Culturopoing.com
Dans la lignée de "L’orphelinat", Bayona approfondit son exploration de la relation mère-fils et ajoute aux thématiques du deuil et de la séparation une réflexion sur la transmission.
La Voix du Nord
Tout juste reprochera-t-on à Juan Antonio Bayona d’actionner le turbo sentimental et une propension à l’effet grandiloquent. Histoire sans doute d’exprimer son admiration démesurée pour Steven Spielberg. Personne n’est parfait !
Le Journal du Dimanche
Entre mélodrame et conte initiatique, "Quelques minutes après minuit" est en quelque sorte un film d’horreur destiné au jeune public à partir de 12 ans. Émouvant.
Le Monde
Cet excès de pédagogie est heureusement compensé en partie par un casting tout en relief et en nuances. Le jeune Lewis MacDougall distille intelligemment sa rage d’endeuillé futur, Felicity Jones sa détresse coupable de mère tentée de lâcher prise.
Les Fiches du Cinéma
Conte spielbergien s’il en est, le troisième long métrage de J.A. Bayona, maîtrisé, parfois brillant, peine toutefois à aller au-delà de l’exercice de style.
Studio Ciné Live
Une fable mélancolique aux belles images mais qui manque de rythme.
Télérama
Dans ce mélange audacieux d'intimisme et de spectaculaire, les larmes et les effets spéciaux pèsent parfois plus qu'ils ne devraient. Mais l'ensemble dégage une poésie et une noirceur tout droit sorties de l'univers des contes, où l'impossible prend forme pour nous apprendre la vie.
Voici
Un conte terrifiant pour ados, visuellement très beau mais qui s'étire un peu en longueur.
L'Express
Les effets spéciaux - magnifiques, il est vrai - prennent trop le pas sur une histoire convenue.
Le Figaro
Désireux d'être fidèle au livre, Juan Antonio Bayona s'égare sans réussir à nous faire prendre les rêves pour la réalité.
Le Parisien
"Quelques Minutes après minuit" peint un beau portrait d'enfant malheureux, bien interprété par Lewis MacDougall. (...) Mais on a du mal à croire à cette histoire de monstre, en images de synthèse. Et la deuxième partie se veut larmoyante et moralisatrice qu'elle plombe l'ensemble.
Le Point
Adaptation visuellement splendide d'un best-seller sur le deuil, le troisième film de Juan Antonio Bayona fait tout pour nous toucher. Sans succès.
Les Inrockuptibles
Sa façon raffinée de jouer sur la disparité et la variété des plans, son filmage luxueux de détails infinitésimaux ou de rêves, agrémenté de tombereaux d'effets spéciaux, est la seule plus-value du film.
Positif
(...) le troisième film de Juan Antonio Bayona se retrouve bientôt victime de son scénario programmatique, celui qu'édicte la créature-arbre dès sa première apparition au protagoniste.
VSD
Emphatique mais répétitif.