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POUR - Ce film, plus viscéral, violent et émouvant que l’adaptation de Robert Wise, est aussi plus politique. La confrontation sociale au cœur du récit ne s’embarrasse pas des artifices de la comédie musicale. Sans fard, elle révèle toute sa cruauté et son chaos. C’est d’ailleurs face à ce désordre du monde que l’harmonie amenée par le genre musical est un beau contrepoint, et fait exister une bouleversante utopie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Steven Spielberg relit le plus grand des musicals et tombe à point nommé pour raconter notre époque divisée par la peur de l’autre et les injustices sociales.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le génie du film tient dans l’exploration de cette veine spectrale sans rien sacrifier à la promesse portée par la comédie musicale de l’invention d’une forme d’hétérotopie – « a place for us ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ce nouveau West Side Story est un pari fou, magnifiquement exécuté. Animé d'une passion et d'une excitation qui traversent l'écran, Steven Spielberg livre un de ses longs-métrages les plus sincères, qui n'aura aucun mal à s'imposer parmi les meilleurs films de l'année, et de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Deux heures et trente-six minutes plus tard, on sort de là chaviré, les yeux étincelants, le cœur égaré dans les décombres du West Side, là-bas. Enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Entouré d'un jeune casting, Steven Spielberg revisite un classique de la comédie musicale pour signer le parfait spectacle de fin d'année et le retour du grand cinéma hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
C’est l’éternel roman d’un amour naissant sur fond de rixes entre bandes rivales dans le New York de 1957 : le remake vintage de West Side Story par Steven Spielberg raconte quelque chose de l’époque.
Réalisé avec brio par Steven Spielberg, sur un scénario intelligemment écrit par le prix Pulitzer Tony Kushner, West Side Story garde son sens social, mais reste une fête musicale.
Se mesurant à un classique du genre, dont il offre une relecture volontiers crépusculaire, Steven Spielberg signe à 74 ans sa première comédie musicale tout en envolées virtuoses et scènes d’anthologie, en dépit d’un casting masculin défaillant et de dialogues parfois naïfs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
On pouvait redouter un inutile rabâchage. Le West Side Story de 2021, à la fois grand spectacle trépidant et film puissant sur l’Amérique d’hier et d’aujourd’hui, vaut beaucoup mieux que cela.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
La version Spielberg est très réussie, sans pour autant effacer de notre mémoire celle de Wise-Robbins. Remake ou pas, on l’aura compris, ce qui compte vraiment c’est que West Side Story porte la marque d’un cinéaste qui met sa virtuosité au service d’une ambition sociohistorique.
Spielberg a donc réussi l’impensable. Sa version du mythe n’éclipsera bien-sûr pas le chef-d’œuvre original, son évident pessimisme plaide même contre une éventuelle postérité. Elle s’ajoute simplement à un corpus cohérent malgré son apparente disparité, où la lumière souveraine permet de tenir le monde à peu près debout.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecrit sous Trump par Tony Kushner, auteur du script Lincoln, ce West Side Story poursuit avec ferveur le grand œuvre de Spielberg sur la puissance des mythes pour éclairer les zones d’ombres de l’histoire américaine.
Avec une direction artistique flamboyante, fidèle aux couleurs des années 1950, Spielberg ajoute une noirceur contemporaine et alerte sur l’exclusion et la haine qui rongent toujours l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C’est l’écueil d’un hommage combiné à une entreprise de redressement : maintes fois, la mise à jour discursive éclipse la subversion potentielle du chant et de la danse et, plus simplement, l’émotion.
Plus fidèle à la version scénique de 1957, l’adaptation de Spielberg est toutefois plus longue, moins flamboyante et émouvante que celle de 1961. Restent les airs entêtants de Leonard Bernstein et un America endiablé, mené par la révélation du film, Ariana DeBose dans le rôle d’Anita.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
CONTRE - C’est trop d’esbroufe (talentueuse, c’est vrai), et les mouvements dansés s’y égarent dans des raccords où on ne voit plus toujours l’ensemble. Alors oui, Spielberg est parvenu à « refaire » en plus chic et plus cher. Et peut-être les « nouveaux spectateurs » y trouveront-ils leur compte… Mais une espèce d’aquoibonisme nous saisit.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
À la fin de la séance, nous voilà guère plus avancés. Il y a beaucoup plus de linge qui sèche aux fenêtres. À part ça, en gros, il s’agit de la même chose, en moins bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Pourquoi s'emparer d'un tel chef d'œuvre, récompensé par dix oscars, et en dénaturer l'essence même en ne respectant ni la chorégraphie originale de Jerome Robbins, ni le livret d'Arthur Laurents, ni le scénario d'Ernest Lehman ?
Le film est calqué sur la comédie musicale, la musique de Leonard Bernstein et les paroles des chansons de Stephen Sondheim sont les mêmes… Alors à quoi bon ? Mieux vaut revoir ou découvrir l’œuvre d’origine, justement de nouveau proposée en salles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
Un grand film virtuose et émouvant.
Bande à part
POUR - Ce film, plus viscéral, violent et émouvant que l’adaptation de Robert Wise, est aussi plus politique. La confrontation sociale au cœur du récit ne s’embarrasse pas des artifices de la comédie musicale. Sans fard, elle révèle toute sa cruauté et son chaos. C’est d’ailleurs face à ce désordre du monde que l’harmonie amenée par le genre musical est un beau contrepoint, et fait exister une bouleversante utopie.
CinemaTeaser
Steven Spielberg relit le plus grand des musicals et tombe à point nommé pour raconter notre époque divisée par la peur de l’autre et les injustices sociales.
Critikat.com
Le génie du film tient dans l’exploration de cette veine spectrale sans rien sacrifier à la promesse portée par la comédie musicale de l’invention d’une forme d’hétérotopie – « a place for us ».
Ecran Large
Ce nouveau West Side Story est un pari fou, magnifiquement exécuté. Animé d'une passion et d'une excitation qui traversent l'écran, Steven Spielberg livre un de ses longs-métrages les plus sincères, qui n'aura aucun mal à s'imposer parmi les meilleurs films de l'année, et de sa carrière.
Filmsactu
Magique et inespéré. On était loin d'imaginer être autant happé et envoûté par ce West Side Story 2021. Un grand grand Spielberg.
L'Obs
Deux heures et trente-six minutes plus tard, on sort de là chaviré, les yeux étincelants, le cœur égaré dans les décombres du West Side, là-bas. Enthousiasmant.
LCI
Un grand moment de cinéma.
La Voix du Nord
Un film flamboyant, tragique et virtuose.
Les Echos
Entouré d'un jeune casting, Steven Spielberg revisite un classique de la comédie musicale pour signer le parfait spectacle de fin d'année et le retour du grand cinéma hollywoodien.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette nouvelle adaptation du classique de Broadway, Spielberg livre une splendide démonstration chorégraphique.
Ouest France
Pourquoi faire un remake d'un classique du cinéma ? Pour en faire un chef-d'oeuvre et rappeler la modernité de ce drame social.
Paris Match
Un film magistral, parti sur les traces d'un chef-d'oeuvre pour en offrir un nouveau.
aVoir-aLire.com
Remettre en scène le film mythique de 1961, sous la houlette musicale de Bernstein, était un pari fou. Steven Spielberg le remporte avec brio.
CNews
Le cinéaste de 74 ans, qui signe son tout premier film musical, offre une version lumineuse et dynamique, portée par une sublime photographie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est l’éternel roman d’un amour naissant sur fond de rixes entre bandes rivales dans le New York de 1957 : le remake vintage de West Side Story par Steven Spielberg raconte quelque chose de l’époque.
Elle
Un West Side Story plus sombre, mais toujours aussi palpitant.
Franceinfo Culture
Sincère et inventif, Steven Spielberg remporte son pari.
Le Dauphiné Libéré
Réalisé avec brio par Steven Spielberg, sur un scénario intelligemment écrit par le prix Pulitzer Tony Kushner, West Side Story garde son sens social, mais reste une fête musicale.
Les Inrockuptibles
West Side Story produit un émerveillement qui n’est certes pas permanent, mais qui subjugue à chaque fois qu’il réveille ses forces.
Libération
Se mesurant à un classique du genre, dont il offre une relecture volontiers crépusculaire, Steven Spielberg signe à 74 ans sa première comédie musicale tout en envolées virtuoses et scènes d’anthologie, en dépit d’un casting masculin défaillant et de dialogues parfois naïfs.
Marianne
On pouvait redouter un inutile rabâchage. Le West Side Story de 2021, à la fois grand spectacle trépidant et film puissant sur l’Amérique d’hier et d’aujourd’hui, vaut beaucoup mieux que cela.
Positif
La version Spielberg est très réussie, sans pour autant effacer de notre mémoire celle de Wise-Robbins. Remake ou pas, on l’aura compris, ce qui compte vraiment c’est que West Side Story porte la marque d’un cinéaste qui met sa virtuosité au service d’une ambition sociohistorique.
Première
Spielberg a donc réussi l’impensable. Sa version du mythe n’éclipsera bien-sûr pas le chef-d’œuvre original, son évident pessimisme plaide même contre une éventuelle postérité. Elle s’ajoute simplement à un corpus cohérent malgré son apparente disparité, où la lumière souveraine permet de tenir le monde à peu près debout.
Transfuge
Ecrit sous Trump par Tony Kushner, auteur du script Lincoln, ce West Side Story poursuit avec ferveur le grand œuvre de Spielberg sur la puissance des mythes pour éclairer les zones d’ombres de l’histoire américaine.
Télé 7 Jours
Du grand cinéma.
Télérama
Avec une direction artistique flamboyante, fidèle aux couleurs des années 1950, Spielberg ajoute une noirceur contemporaine et alerte sur l’exclusion et la haine qui rongent toujours l’Amérique.
Cahiers du Cinéma
C’est l’écueil d’un hommage combiné à une entreprise de redressement : maintes fois, la mise à jour discursive éclipse la subversion potentielle du chant et de la danse et, plus simplement, l’émotion.
La Croix
Plus fidèle à la version scénique de 1957, l’adaptation de Spielberg est toutefois plus longue, moins flamboyante et émouvante que celle de 1961. Restent les airs entêtants de Leonard Bernstein et un America endiablé, mené par la révélation du film, Ariana DeBose dans le rôle d’Anita.
Bande à part
CONTRE - C’est trop d’esbroufe (talentueuse, c’est vrai), et les mouvements dansés s’y égarent dans des raccords où on ne voit plus toujours l’ensemble. Alors oui, Spielberg est parvenu à « refaire » en plus chic et plus cher. Et peut-être les « nouveaux spectateurs » y trouveront-ils leur compte… Mais une espèce d’aquoibonisme nous saisit.
Le Figaro
À la fin de la séance, nous voilà guère plus avancés. Il y a beaucoup plus de linge qui sèche aux fenêtres. À part ça, en gros, il s’agit de la même chose, en moins bien.
Le Journal du Dimanche
Pourquoi s'emparer d'un tel chef d'œuvre, récompensé par dix oscars, et en dénaturer l'essence même en ne respectant ni la chorégraphie originale de Jerome Robbins, ni le livret d'Arthur Laurents, ni le scénario d'Ernest Lehman ?
Le Monde
Une adaptation sombre et figée du chef-d'oeuvre de Robert Wise.
Le Parisien
Le film est calqué sur la comédie musicale, la musique de Leonard Bernstein et les paroles des chansons de Stephen Sondheim sont les mêmes… Alors à quoi bon ? Mieux vaut revoir ou découvrir l’œuvre d’origine, justement de nouveau proposée en salles.
Sud Ouest
S’il y a une chose mélancolique dans cette version, c’est bien l’idée d’un bonheur promis à tous – qui hélas, n’est pas venu.