Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par La Rédaction
Ce film magnifique a été l’un des grands oubliés au Palmarès du Festival de Cannes. (...) On se laisse emporter dans un univers onirique dont la beauté ne torpille pas l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Paolo Sorrentino nous présente ses meilleurs vieux dans un film tout à la fois spectaculaire, délicieusement drôle et très émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Caroline Veunac
Comme ses précédentes réalisations, Youth ne fait pas dans l’ascèse, et ça marche.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Croix
par Arnaud Schwartz
Derrière le clinquant de cette œuvre, qui indispose certains, se cache une manière d’autoportrait, riche des questions d’un cinéaste de 45 ans qui semble déjà venir de si loin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un vrai bain de septième art ! Monstrueusement cinématographique. Opératique et allégorique. Insolite et excentrique. Drôle et cruel. Touchant mais pas pleurnichard. Si finement dialogué.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La vie, l’amour, la mort, l’art, l’amitié : un film qui ne craint pas d’être ambitieux, porté par un duo d’acteurs exceptionnels.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène, flamboyante, ausculte les corps et les âmes au moyen d’instantanés impressionnistes tout en accordant une place prépondérante à la musique. Un récit très émouvant, qui fait rimer nostalgie avec cynisme, poésie avec humour, sans oublier l’apparition fracassante et jubilatoire de Jane Fonda.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Michael Caine et Harvey Keitel sont magistraux dans le chef-d'oeuvre de Paolo Sorrentino, sur le destin, injustement recalé à Cannes.
Le Point
par Thomas Mahler
Le réalisateur de "La Grande Bellezza" nous régale avec "Youth".
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Marilyne Letertre
Youth est une merveille de malice et de tendresse, doublée d’une réflexion pertinente et amusante sur les egos artistiques et les affres de la création.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Dans une mise en scène inventive et surprenante, Paolo Sorrentino célèbre les vertus de l'éternelle jeunesse avec un allant contagieux.
Paris Match
par Alain Spira
Pleine d’ingrédients passionnants (la vieillesse, la beauté, la jeunesse, le cinéma, l’amour, le désir, le sexe…) où trempe une brochette d’acteurs d’élite (Michael Caine et Harvey Keitel en tête), la marmite Sorrentino déborde d’idées et d’émotions.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Gala
par Jean-Christian Hay
Quelle belle idée que d’avoir réuni le so british Michael Caine et le très ricain Harvey Keitel ! Réuni à l’écran, le tandem est souvent très drôle comme lors de la scène de la piscine, qui devrait devenir culte.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Positif
par Christian Viviani
Film étrange, tantôt bouleversant, tantôt pris au piège de sa forme stylisée, Youth n'en est pas moins une oeuvre signifiante chez un cinéaste conscient de ses maîtres (le film est dédié à Francesco Rosi) mais profondément personnel.
Première
par Frédéric Foubert
C’est un opus mineur, celui où son auteur se laisse aller à quelques facilités qu’on ne pardonnerait pas à d’autres. (...) Malgré les scories, Youth se regarde donc avec un plaisir monstre. C’est du cinéma, oui, et ça se voit. Du cinéma qui cherche à chaque instant à éclabousser la rétine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
POUR : Après "La Grande Belleza", oeuvre felliniesque sur la laideur, Paolo Sorrentino livre au contraire, avec "Youth", un film plus simple, plus émouvant sur le temps qui passe. On sort la gorge serrée de ce constat tendre-amer qui pose des questions essentielles: a-t-on fait les bons choix?
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murrat
Paolo Sorrentino va d'un personnage à l'autre, imaginant, autour de chacun, des saynètes révélant, en un éclair, la stupidité de l'un, la générosité de l'autre. (...) Il y a de la hauteur dans sa démarche, de l'orgueil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film doux-amer et élégant, mais qui n'évite pas certaines lourdeurs.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Virtuose et exaspérant à la fois, Youth manque de cette modestie qui ferait à n’en pas douter passer le cinéma de Sorrentino pour étincelant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Tout cela pourrait constituer un passionnant cas critique si Sorrentino n’était à ce point un indécrottable cynique (...) et un misanthrope contemplant de haut ses personnages avec une goguenardise écœurante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Jérôme Garcin
Ces deux rois fainéants qui se regardent tantôt le nombril et tantôt la prostate ont inspiré au réalisateur clinquant d’"Il Divo" et de "la Grande Bellezza" une fable loufoque (...) dont on préconise la diffusion thérapeutique dans les services de gériatrie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Franck Nouchi
La présence de deux formidables acteurs, Michael Caine et Harvey Keitel, n'y change rien : c'est très long.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sud Ouest
par Sophie Avon
Fred est narquois, pudique, pince-sans-rire, Mick est tendre, émotif, candide. De quoi entretenir des dialogues de qualité. Ils le sont parfois. Un peu trop, du reste, pour ne pas sonner à la façon de mots d'auteur. Cette obsession de la formule gâche un peu le plaisir, d'autant que l'auteur de "La Grande Bellezza", stimulé par son sujet, semble pousser sa virtuosité au-delà de la modestie minimale.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
TF1 News
par Romain Le Vern
Malgré quelques éclats de bizarrerie (les fugues mentales) et de drôlerie (les répliques acerbes), "Youth" se révèle moins surprenant que les précédents longs métrages de Paolo Sorrentino : abrasif au début puis de moins en moins, un peu trop dans la vénération de ses stars pour les bousculer.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
L’ennui qui gagne au fil des croassements des personnages, comme la monotonie des gazons et des moquettes d’hospice, font presque regretter la grandiloquence criarde et éberluée des précédents navets de Sorrentino, "This Must Be the Place" ou "La Grande Bellezza".
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sorrentino semble souffrir d'une vieillesse dont il ne projette que des clichés désuets et baveux.
Libération
par Didier Péron
Entre Resnais pour les nuls et et Fellini-quattro formaggi, tambouillant d’un œil pétillant son magma entropique d’images surléchées pour pub de parfum et ses effets de manches (souvent étonnamment approximatifs) de visionnaire en surchauffe, Sorrentino trahit à sa façon un certain état du cinéma d’auteur international frappé de boursouflure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
CONTRE : Sorrentino filme un monde et des personnages dévitalisés et peine à entrer dans le dur. Sa caméra ne cesse de papillonner dans l'espace pour éviter de se confronter à l'humain. C'est un aveu d'échec.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
Ce film magnifique a été l’un des grands oubliés au Palmarès du Festival de Cannes. (...) On se laisse emporter dans un univers onirique dont la beauté ne torpille pas l’émotion.
Franceinfo Culture
Paolo Sorrentino nous présente ses meilleurs vieux dans un film tout à la fois spectaculaire, délicieusement drôle et très émouvant.
GQ
Comme ses précédentes réalisations, Youth ne fait pas dans l’ascèse, et ça marche.
La Croix
Derrière le clinquant de cette œuvre, qui indispose certains, se cache une manière d’autoportrait, riche des questions d’un cinéaste de 45 ans qui semble déjà venir de si loin.
La Voix du Nord
Un vrai bain de septième art ! Monstrueusement cinématographique. Opératique et allégorique. Insolite et excentrique. Drôle et cruel. Touchant mais pas pleurnichard. Si finement dialogué.
Le Dauphiné Libéré
La vie, l’amour, la mort, l’art, l’amitié : un film qui ne craint pas d’être ambitieux, porté par un duo d’acteurs exceptionnels.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène, flamboyante, ausculte les corps et les âmes au moyen d’instantanés impressionnistes tout en accordant une place prépondérante à la musique. Un récit très émouvant, qui fait rimer nostalgie avec cynisme, poésie avec humour, sans oublier l’apparition fracassante et jubilatoire de Jane Fonda.
Le Parisien
Michael Caine et Harvey Keitel sont magistraux dans le chef-d'oeuvre de Paolo Sorrentino, sur le destin, injustement recalé à Cannes.
Le Point
Le réalisateur de "La Grande Bellezza" nous régale avec "Youth".
Metro
Youth est une merveille de malice et de tendresse, doublée d’une réflexion pertinente et amusante sur les egos artistiques et les affres de la création.
Ouest France
Dans une mise en scène inventive et surprenante, Paolo Sorrentino célèbre les vertus de l'éternelle jeunesse avec un allant contagieux.
Paris Match
Pleine d’ingrédients passionnants (la vieillesse, la beauté, la jeunesse, le cinéma, l’amour, le désir, le sexe…) où trempe une brochette d’acteurs d’élite (Michael Caine et Harvey Keitel en tête), la marmite Sorrentino déborde d’idées et d’émotions.
Gala
Quelle belle idée que d’avoir réuni le so british Michael Caine et le très ricain Harvey Keitel ! Réuni à l’écran, le tandem est souvent très drôle comme lors de la scène de la piscine, qui devrait devenir culte.
Positif
Film étrange, tantôt bouleversant, tantôt pris au piège de sa forme stylisée, Youth n'en est pas moins une oeuvre signifiante chez un cinéaste conscient de ses maîtres (le film est dédié à Francesco Rosi) mais profondément personnel.
Première
C’est un opus mineur, celui où son auteur se laisse aller à quelques facilités qu’on ne pardonnerait pas à d’autres. (...) Malgré les scories, Youth se regarde donc avec un plaisir monstre. C’est du cinéma, oui, et ça se voit. Du cinéma qui cherche à chaque instant à éclabousser la rétine.
Studio Ciné Live
POUR : Après "La Grande Belleza", oeuvre felliniesque sur la laideur, Paolo Sorrentino livre au contraire, avec "Youth", un film plus simple, plus émouvant sur le temps qui passe. On sort la gorge serrée de ce constat tendre-amer qui pose des questions essentielles: a-t-on fait les bons choix?
Télérama
Paolo Sorrentino va d'un personnage à l'autre, imaginant, autour de chacun, des saynètes révélant, en un éclair, la stupidité de l'un, la générosité de l'autre. (...) Il y a de la hauteur dans sa démarche, de l'orgueil.
Les Fiches du Cinéma
Un film doux-amer et élégant, mais qui n'évite pas certaines lourdeurs.
aVoir-aLire.com
Virtuose et exaspérant à la fois, Youth manque de cette modestie qui ferait à n’en pas douter passer le cinéma de Sorrentino pour étincelant.
Critikat.com
Tout cela pourrait constituer un passionnant cas critique si Sorrentino n’était à ce point un indécrottable cynique (...) et un misanthrope contemplant de haut ses personnages avec une goguenardise écœurante.
L'Obs
Ces deux rois fainéants qui se regardent tantôt le nombril et tantôt la prostate ont inspiré au réalisateur clinquant d’"Il Divo" et de "la Grande Bellezza" une fable loufoque (...) dont on préconise la diffusion thérapeutique dans les services de gériatrie.
Le Monde
La présence de deux formidables acteurs, Michael Caine et Harvey Keitel, n'y change rien : c'est très long.
Sud Ouest
Fred est narquois, pudique, pince-sans-rire, Mick est tendre, émotif, candide. De quoi entretenir des dialogues de qualité. Ils le sont parfois. Un peu trop, du reste, pour ne pas sonner à la façon de mots d'auteur. Cette obsession de la formule gâche un peu le plaisir, d'autant que l'auteur de "La Grande Bellezza", stimulé par son sujet, semble pousser sa virtuosité au-delà de la modestie minimale.
TF1 News
Malgré quelques éclats de bizarrerie (les fugues mentales) et de drôlerie (les répliques acerbes), "Youth" se révèle moins surprenant que les précédents longs métrages de Paolo Sorrentino : abrasif au début puis de moins en moins, un peu trop dans la vénération de ses stars pour les bousculer.
Cahiers du Cinéma
L’ennui qui gagne au fil des croassements des personnages, comme la monotonie des gazons et des moquettes d’hospice, font presque regretter la grandiloquence criarde et éberluée des précédents navets de Sorrentino, "This Must Be the Place" ou "La Grande Bellezza".
Les Inrockuptibles
Sorrentino semble souffrir d'une vieillesse dont il ne projette que des clichés désuets et baveux.
Libération
Entre Resnais pour les nuls et et Fellini-quattro formaggi, tambouillant d’un œil pétillant son magma entropique d’images surléchées pour pub de parfum et ses effets de manches (souvent étonnamment approximatifs) de visionnaire en surchauffe, Sorrentino trahit à sa façon un certain état du cinéma d’auteur international frappé de boursouflure.
Studio Ciné Live
CONTRE : Sorrentino filme un monde et des personnages dévitalisés et peine à entrer dans le dur. Sa caméra ne cesse de papillonner dans l'espace pour éviter de se confronter à l'humain. C'est un aveu d'échec.