Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Culturopoing.com
par Antoine Heraly
Ce film étrange à rebours du temps et de la vraisemblance est une déclaration d’amour au membre fantôme, aux disparus. Une épopée au pouvoir lacrymogène insoupçonnable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une histoire incroyable, extraordinaire, fantastique, comme on rêverait que le cinéma d’animation en fasse souvent : avec une infinie tendresse et délicatesse, avec une immense conséquence et intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
Travaillé à l'os, ce premier film frôle la perfection.
L'Express
par Antoine Le Fur
Bref, c'est inclassable. Et inoubliable.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Virtuose et sensible : un film d’animation étonnant.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Jérémy Clapin signe un superbe long-métrage, qui fait se rencontrer, avec une remarquable fluidité, le fantastique et la chronique réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Jérémie Clapin aborde précisément sa charpente narrative avec une minutie artisanale, qui contribue à éloigner encore un peu plus "J'ai perdu mon corps" du tout-venant de l'animation contemporaine, et à l'imposer au-delà de son format comme une oeuvre essentielle des années 2010.
Positif
par Gilles Ciment
Cadrages savants et poursuites frénétiques au ras du sol dans les rues de Paris alternent avec des moments de pur onirisme ou d’une grande douceur, sur la solitude et le passage à la maturité. Une fois de plus, on oublie la technique pour saluer la naissance d’un cinéaste de talent.
Première
par Christophe Narbonne
C’est bien simple : on n’a pas vu une mise en scène aussi racée dans le cinéma français depuis Jacques Audiard. À l’instar des films d’animation japonais pour adultes, J’ai perdu mon corps place la barre très haut à tous les niveaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par E.M.
Une pépite d'animation, emplie d'espoir et d'une sensibilité inouïe.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un thriller animé virtuose et saisissant, plein de drôlerie et de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Une animation réaliste, loin du cartoon, d'où émanent une sensibilité, une émotion et une poésie magnifiques.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Surprenant, ce premier long-métrage. Un film d’animation, oui, mais dont on oublie la création de toutes pièces, tant il saisit par sa force d’identification. L’histoire d’une quête, d’une nécessité, et le croisement galvanisant des genres. Un flirt avec les précipices. Une ode au lien.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Il faut peu de temps pour percevoir l’originalité prometteuse de J’ai perdu mon corps, et à peine plus pour comprendre que le premier long métrage de Jérémy Clapin ouvre une voie passionnante.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
J’ai perdu mon corps est un conte à la fois cruel et candide dont les paradoxes émerveillent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
D'une richesse et d'une intensité émotionnelle rares, "J'ai perdu mon corps" est une proposition d'animation techniquement accompli et tout simplement un des meilleurs films de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
L'élégance du trait, la subtilité des couleurs, la qualité des dialogues installent un climat très prenant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Véritable odyssée sentimentale et physique, "J’ai perdu mon corps" évoque le réalisme poétique de Carné et Prévert. Une très belle réussite de l’animation française.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cette adaptation du roman « Happy Hand » de Guillaume Laurant est un pur triomphe de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Ce formidable film d’animation à la mise en scène virtuose interroge la notion de destinée à travers l’odyssée d’une main sectionnée qui cherche à retrouver son corps.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
A la fois poétique et mélancolique, cette pépite indépendante et ambitieuse entretient le suspense et voit culminer l’émotion grâce à la musique sublime de Dan Lévy.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette complexité du récit et des situations est rendue limpide par la beauté que Jérémy Clapin donne à des paysages généralement peu propices à l’émotion. Les palettes (celle des séquences consacrées à la main n’est pas celle des flashback) sont économes, mais l’élégance des compositions et du trait, et la musique de Dan Levy leur confèrent une ampleur inattendue.
Les Fiches du Cinéma
par Astrid Jansen
Le premier long métrage de Jérémy Clapin fait preuve d’un sens remarquable du rythme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
L'inventivité et l'audace formelle de ces séquences sont réjouissantes. Rarement film d'animation sera parvenu à nous tenir en haleine comme si nous étions devant le dernier "Mission : Impossible". Si la rotoscopie confère au film une impression de réalisme qui sert les séquences d'action, elle lui permet aussi de se doter d'une extraordinaire capacité à restituer les sensations.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
On y voit enfin le superbe graphisme, à la fois fluide, précis et ample de cette partition où se croisent les techniques (digital et dessin), les tonalités, et les temps de narration, chaque élément venant enrichir l’autre et aboutissant à une superbe complétude.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
[...] une intrigue habile et superbe, métaphore poétique d'un société fracturée.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un film d’animation d’une rare originalité, à la fois éloge du mouvement et de la sensualité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par Catherine Balle
Parfois un peu lent, ce récit nous touche par sa poésie et sa mélancolie (l'homme à la main coupée rêvait d'être astronaute ou pianiste). Et l'on se laisse totalement bercer par son graphisme très fluide, ses belles lumières et son travail sur le son.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marius Chapuis
A son meilleur lorsqu’il montre sans verbaliser, le film caresse les dédales de Charles Burns ou de Quentin Dupieux. Mais à mesure que "J’ai perdu mon corps" se fixe dans une intrigue (en l’occurrence une romance) et qu’il élargit son cadre en délaissant ses plans très serrés, le film semble se dévitaliser, se figeant jusqu’à la calcification dans une poésie très convenue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
Ce film étrange à rebours du temps et de la vraisemblance est une déclaration d’amour au membre fantôme, aux disparus. Une épopée au pouvoir lacrymogène insoupçonnable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une histoire incroyable, extraordinaire, fantastique, comme on rêverait que le cinéma d’animation en fasse souvent : avec une infinie tendresse et délicatesse, avec une immense conséquence et intelligence.
L'Ecran Fantastique
Travaillé à l'os, ce premier film frôle la perfection.
L'Express
Bref, c'est inclassable. Et inoubliable.
Le Dauphiné Libéré
Virtuose et sensible : un film d’animation étonnant.
Le Figaro
Jérémy Clapin signe un superbe long-métrage, qui fait se rencontrer, avec une remarquable fluidité, le fantastique et la chronique réaliste.
Mad Movies
Jérémie Clapin aborde précisément sa charpente narrative avec une minutie artisanale, qui contribue à éloigner encore un peu plus "J'ai perdu mon corps" du tout-venant de l'animation contemporaine, et à l'imposer au-delà de son format comme une oeuvre essentielle des années 2010.
Positif
Cadrages savants et poursuites frénétiques au ras du sol dans les rues de Paris alternent avec des moments de pur onirisme ou d’une grande douceur, sur la solitude et le passage à la maturité. Une fois de plus, on oublie la technique pour saluer la naissance d’un cinéaste de talent.
Première
C’est bien simple : on n’a pas vu une mise en scène aussi racée dans le cinéma français depuis Jacques Audiard. À l’instar des films d’animation japonais pour adultes, J’ai perdu mon corps place la barre très haut à tous les niveaux.
Télé Loisirs
Une pépite d'animation, emplie d'espoir et d'une sensibilité inouïe.
Télérama
Un thriller animé virtuose et saisissant, plein de drôlerie et de poésie.
Voici
Une animation réaliste, loin du cartoon, d'où émanent une sensibilité, une émotion et une poésie magnifiques.
Bande à part
Surprenant, ce premier long-métrage. Un film d’animation, oui, mais dont on oublie la création de toutes pièces, tant il saisit par sa force d’identification. L’histoire d’une quête, d’une nécessité, et le croisement galvanisant des genres. Un flirt avec les précipices. Une ode au lien.
Cahiers du Cinéma
Il faut peu de temps pour percevoir l’originalité prometteuse de J’ai perdu mon corps, et à peine plus pour comprendre que le premier long métrage de Jérémy Clapin ouvre une voie passionnante.
Critikat.com
J’ai perdu mon corps est un conte à la fois cruel et candide dont les paradoxes émerveillent.
Ecran Large
D'une richesse et d'une intensité émotionnelle rares, "J'ai perdu mon corps" est une proposition d'animation techniquement accompli et tout simplement un des meilleurs films de l'année.
Femme Actuelle
L'élégance du trait, la subtilité des couleurs, la qualité des dialogues installent un climat très prenant.
Franceinfo Culture
Véritable odyssée sentimentale et physique, "J’ai perdu mon corps" évoque le réalisme poétique de Carné et Prévert. Une très belle réussite de l’animation française.
L'Obs
Cette adaptation du roman « Happy Hand » de Guillaume Laurant est un pur triomphe de cinéma.
La Croix
Ce formidable film d’animation à la mise en scène virtuose interroge la notion de destinée à travers l’odyssée d’une main sectionnée qui cherche à retrouver son corps.
Le Journal du Dimanche
A la fois poétique et mélancolique, cette pépite indépendante et ambitieuse entretient le suspense et voit culminer l’émotion grâce à la musique sublime de Dan Lévy.
Le Monde
Cette complexité du récit et des situations est rendue limpide par la beauté que Jérémy Clapin donne à des paysages généralement peu propices à l’émotion. Les palettes (celle des séquences consacrées à la main n’est pas celle des flashback) sont économes, mais l’élégance des compositions et du trait, et la musique de Dan Levy leur confèrent une ampleur inattendue.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de Jérémy Clapin fait preuve d’un sens remarquable du rythme.
Les Inrockuptibles
L'inventivité et l'audace formelle de ces séquences sont réjouissantes. Rarement film d'animation sera parvenu à nous tenir en haleine comme si nous étions devant le dernier "Mission : Impossible". Si la rotoscopie confère au film une impression de réalisme qui sert les séquences d'action, elle lui permet aussi de se doter d'une extraordinaire capacité à restituer les sensations.
Sud Ouest
On y voit enfin le superbe graphisme, à la fois fluide, précis et ample de cette partition où se croisent les techniques (digital et dessin), les tonalités, et les temps de narration, chaque élément venant enrichir l’autre et aboutissant à une superbe complétude.
Télé 7 Jours
[...] une intrigue habile et superbe, métaphore poétique d'un société fracturée.
aVoir-aLire.com
Un film d’animation d’une rare originalité, à la fois éloge du mouvement et de la sensualité.
Le Parisien
Parfois un peu lent, ce récit nous touche par sa poésie et sa mélancolie (l'homme à la main coupée rêvait d'être astronaute ou pianiste). Et l'on se laisse totalement bercer par son graphisme très fluide, ses belles lumières et son travail sur le son.
Libération
A son meilleur lorsqu’il montre sans verbaliser, le film caresse les dédales de Charles Burns ou de Quentin Dupieux. Mais à mesure que "J’ai perdu mon corps" se fixe dans une intrigue (en l’occurrence une romance) et qu’il élargit son cadre en délaissant ses plans très serrés, le film semble se dévitaliser, se figeant jusqu’à la calcification dans une poésie très convenue.