Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Pour ce qui fut son dernier film, Wajda exalte ce qui fut le thème central de son premier, “Kanal” : l’esprit de résistance, bouclant de façon magnifique la boucle d’une oeuvre tout entière portée par l’exigence morale et la liberté.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
L’ultime chef-d’œuvre de Wajda : un testament magnifique et poignant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Oriane Jeancourt Galignani
"Les Fleurs bleues" est un magnifique testament qui fait rimer peinture et politique.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
L’apothéose de la carrière d’un grand réalisateur, qui dépeint dans un film exceptionnel l’agonie d’un artiste confronté à un régime totalitaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Toute la poésie des "Fleurs bleues" est dans la façon d'être au monde de cette grande petite Nika.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
À l’image de ses nombreux longs métrages dont "L’Homme de marbre" (1977) ou "Danton" (1982), l’art et la politique se rencontrent, voire s'affrontent, dans ce bel hommage au destin tragique du plus grand peintre polonais du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Sandra Benedetti
Le dernier film de Wajda, comme une mise en miroir tragiquement réelle. "Les Fleurs bleues" sont un testament sec et cruel, bouleversant de non-dits.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Avec un lyrisme sombre et contenu, Wajda écrit d'un même mouvement une page d'histoire de l'art et d'histoire politique. Sa mise en scène décrit précisément les rouages de la machine totalitaire. Tout se tient.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Wajda prend son héros dans un chromatisme crépusculaire, entre-tissant la vie privée du peintre et sa déchéance politique dans des scènes puissamment dramatiques. Une dernière fois, le cinéaste fait vibrer dans ses images l’histoire amère de la Pologne et la bravoure de son peuple.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Andrzej Wajda, dont les représentants du PiS au conseil municipal de Gdansk avaient refusé qu’il soit fait citoyen d’honneur de la ville, laisse ainsi, avec un très beau dernier film, un avertissement nourri de décennies d’expérience.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
De superbes plans émaillent ce drame de facture classique, d'autant plus pertinent qu'il résonne avec notre époque.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sous sa facture très classique voire vieillotte, le film, admirablement photographié par Pawel Edelman ("le Pianiste"), bascule de la lumière (la peinture) au crépuscule (le stalinisme). Un film testamentaire qui sort à une époque où les conservatismes liberticides sont de retour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une réalisation élégante et austère met à l’image la grisaille du perpétuel hiver sur un pays asphyxié. Wajda a privilégié une approche romantique plus que psychologique pour brosser le portrait d’un artiste héroïque et intègre, impitoyablement broyé par le pouvoir communiste, et boucler sa propre boucle artistique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Récit lourd de sens conté par Andrzej Wajda qui n’a rien perdu de son sens du cinéma. Tout juste déplorera-t-on des dérapages sentimentaux – sa fille, ses ardents disciples – qu’on ne lui connaissait guère ainsi qu’un lâcher de lest relatif au jeu des jeunes acteurs pressés d’en faire trop.
Télérama
par Pierre Murat
Peut-être manque-t-il à ce film la fougue et le lyrisme du Wajda des débuts, de "Kanal" et de "Cendres et diamant", à la fin des années 1950. Mais ce peintre qui chute sans l'ombre d'un espoir, sa fillette dans son éternel manteau rouge et ses étudiants, enlevés un à un dans des voitures noires par des hommes gris, restent d'une force certaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
Pour ce qui fut son dernier film, Wajda exalte ce qui fut le thème central de son premier, “Kanal” : l’esprit de résistance, bouclant de façon magnifique la boucle d’une oeuvre tout entière portée par l’exigence morale et la liberté.
Les Fiches du Cinéma
L’ultime chef-d’œuvre de Wajda : un testament magnifique et poignant.
Transfuge
"Les Fleurs bleues" est un magnifique testament qui fait rimer peinture et politique.
aVoir-aLire.com
L’apothéose de la carrière d’un grand réalisateur, qui dépeint dans un film exceptionnel l’agonie d’un artiste confronté à un régime totalitaire.
Charlie Hebdo
Toute la poésie des "Fleurs bleues" est dans la façon d'être au monde de cette grande petite Nika.
Franceinfo Culture
À l’image de ses nombreux longs métrages dont "L’Homme de marbre" (1977) ou "Danton" (1982), l’art et la politique se rencontrent, voire s'affrontent, dans ce bel hommage au destin tragique du plus grand peintre polonais du XXe siècle.
L'Express
Le dernier film de Wajda, comme une mise en miroir tragiquement réelle. "Les Fleurs bleues" sont un testament sec et cruel, bouleversant de non-dits.
Le Figaro
Avec un lyrisme sombre et contenu, Wajda écrit d'un même mouvement une page d'histoire de l'art et d'histoire politique. Sa mise en scène décrit précisément les rouages de la machine totalitaire. Tout se tient.
Le Figaroscope
Wajda prend son héros dans un chromatisme crépusculaire, entre-tissant la vie privée du peintre et sa déchéance politique dans des scènes puissamment dramatiques. Une dernière fois, le cinéaste fait vibrer dans ses images l’histoire amère de la Pologne et la bravoure de son peuple.
Le Monde
Andrzej Wajda, dont les représentants du PiS au conseil municipal de Gdansk avaient refusé qu’il soit fait citoyen d’honneur de la ville, laisse ainsi, avec un très beau dernier film, un avertissement nourri de décennies d’expérience.
Studio Ciné Live
De superbes plans émaillent ce drame de facture classique, d'autant plus pertinent qu'il résonne avec notre époque.
L'Obs
Sous sa facture très classique voire vieillotte, le film, admirablement photographié par Pawel Edelman ("le Pianiste"), bascule de la lumière (la peinture) au crépuscule (le stalinisme). Un film testamentaire qui sort à une époque où les conservatismes liberticides sont de retour.
La Croix
Une réalisation élégante et austère met à l’image la grisaille du perpétuel hiver sur un pays asphyxié. Wajda a privilégié une approche romantique plus que psychologique pour brosser le portrait d’un artiste héroïque et intègre, impitoyablement broyé par le pouvoir communiste, et boucler sa propre boucle artistique.
La Voix du Nord
Récit lourd de sens conté par Andrzej Wajda qui n’a rien perdu de son sens du cinéma. Tout juste déplorera-t-on des dérapages sentimentaux – sa fille, ses ardents disciples – qu’on ne lui connaissait guère ainsi qu’un lâcher de lest relatif au jeu des jeunes acteurs pressés d’en faire trop.
Télérama
Peut-être manque-t-il à ce film la fougue et le lyrisme du Wajda des débuts, de "Kanal" et de "Cendres et diamant", à la fin des années 1950. Mais ce peintre qui chute sans l'ombre d'un espoir, sa fillette dans son éternel manteau rouge et ses étudiants, enlevés un à un dans des voitures noires par des hommes gris, restent d'une force certaine.