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Les plus beaux moments des films d’HPG sont ainsi ceux où la fiction (territoire premier de la pornographie) s’arrête pour regarder, quelque peu hébétée, le réel en face.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cette ambivalence vis-à-vis de l’image filmée est d’autant plus surprenante que, pour le coup, HPG est un incroyable homme d’images (...). Mais tout ceci reste dans un genre jugé indigne : le film de boules. Et c’est cette infiltration des codes de la légitimité culturelle, et la difficulté à s’en dépêtrer, qui rendent d’autant plus touchant "Fils de".
La critique complète est disponible sur le site Libération
De manière intime, poétique et crue, HPG sonde ce qu'il y a de pathétique et de noble en nous pour parler d'héritage, de transmission, de l'usure mélancolique des corps - de son corps - et du rôle de père.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cette propension à mêler les strates font de cet autoportrait une figure toujours en mouvement, sujette aux remises en cause et aux débordements, traduisant une générosité permettant d’offrir des rapprochements incongrus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ce qui manque à ces quelques bordées, c’est une rigueur dans l’excentricité, un recul ou une rage bouffonne qui porteraient le film à une dimension véritablement comique, réflexive et formellement excitante, dimension vers laquelle il tend parfois sans vraiment pouvoir l’atteindre.
Les Inrockuptibles
La paternité, le couple, l’âge adulte : le hardeur-auteur HPG fait son 40 ans mode d’emploi. Farceur, poétique et, par éclats, très émouvant.
20 Minutes
Pas besoin de fréquenter les plateaux de films pornos pour se retrouver dans cette œuvre sincère et dépourvue de toute scène choquante.
Chronic'art.com
Les plus beaux moments des films d’HPG sont ainsi ceux où la fiction (territoire premier de la pornographie) s’arrête pour regarder, quelque peu hébétée, le réel en face.
Libération
Cette ambivalence vis-à-vis de l’image filmée est d’autant plus surprenante que, pour le coup, HPG est un incroyable homme d’images (...). Mais tout ceci reste dans un genre jugé indigne : le film de boules. Et c’est cette infiltration des codes de la légitimité culturelle, et la difficulté à s’en dépêtrer, qui rendent d’autant plus touchant "Fils de".
TF1 News
De manière intime, poétique et crue, HPG sonde ce qu'il y a de pathétique et de noble en nous pour parler d'héritage, de transmission, de l'usure mélancolique des corps - de son corps - et du rôle de père.
Critikat.com
Cette propension à mêler les strates font de cet autoportrait une figure toujours en mouvement, sujette aux remises en cause et aux débordements, traduisant une générosité permettant d’offrir des rapprochements incongrus.
Le Journal du Dimanche
Un portrait parfois maladroit, mais authentique, drôle et attachant.
Le Monde
"Fils de" retrouve par moments un naturalisme pertinent, puisant à la description d'une vie quotidienne sinon familière.
Les Fiches du Cinéma
HPG se raconte avec tendresse dans cette nouvelle autofiction. Touchant, mais sans surprise.
Positif
L'ensemble est assez foutraque, mais quand le film s'arrête, on se dit qu'on aurait bien aimé qu'il dure un peu plus longtemps.
aVoir-aLire.com
"Fils de" brille par son amateurisme mais au-delà de la forme c’est un autoportrait sincère, drôle et touchant.
Cahiers du Cinéma
Ce qui manque à ces quelques bordées, c’est une rigueur dans l’excentricité, un recul ou une rage bouffonne qui porteraient le film à une dimension véritablement comique, réflexive et formellement excitante, dimension vers laquelle il tend parfois sans vraiment pouvoir l’atteindre.
L'Humanité
Une entreprise un chouia égocentrique et minimaliste.
Première
(...) HPG fait peu d'éffort pour séduire le public...
Ouest France
Un exposé rasoir et complaisant.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
(...) La gratuité de trop de scènes nuit à cet ovni filmique assez informe.