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Un visiteur
4,0
Publiée le 10 mai 2019
Bien que je ne me souviennes pas d’avoir déjà vu un épisode de la série télévisée d’origine, je me souviens en revanche que j’avais beaucoup aimé la première adaptation cinématographique de « Equalizer ». Du coup, je n’ai pas beaucoup hésité lorsque j’ai eu l’occasion de découvrir « Equalizer 2 ».
Toujours aussi efficace, cette suite reprends globalement les mêmes ingrédients que son prédécesseur. On a le droit à de l’action ultra efficace le tout avec une intrigue qui aime prendre son temps même si l’issue semble prévisible. Qu’importe, cette nouvelle aventure m’a en tout cas bien divertit.
Devant la caméra, Denzel Washington (Robert McCall) reprend la peau d’un de ses personnages pour la première fois de sa prolifique carrière et cela lui va comme un gant. Pas de grandes nouveautés à l’horizon, un jeu plutôt classique (par moment j’ai même eu envie de revoir l’excellent « Man of fire ») mais cela reste très efficace. Charismatique, j’ai pris mon pied à le revoir botter des fesses. Pour remplacer Chloë Grace Moretz dans la peau du jeune de service à aider, Ashton Sanders (Miles Whittaker) s’en sort bien. Son personnage est classique et caricatural mais j’ai réussi à avoir de la sympathie pour lui. J’ai bien aimé aussi retrouver Melissa Leo (Susan Plummer) et je trouve dommage d’avoir au casting un acteur de la trempe de Bill Pullman (Brian Plummer) et de ne pas l’exploiter plus que cela. J’ai moins accroché au jeu de Pedro Pascal (Dave York) qui a même un peu de mal à s’imposer en tant que chef dans son équipe à l’écran.
Ce n’est pas le meilleur film des quatre réalisations à ce jour qu’Antoine Fuqua à fait avec Denzel Washington (c’est peut-être même celui des quatre que « j’aime le moins ») mais le réalisateur nous livre une nouvelle fois une mise en scène qui fonctionne. En même temps, il n’a pas eu besoin de beaucoup se forcer puisque l’on retrouve dans cette suite exactement les même éléments qu’auparavant. Tant que ça fonctionne, je ne vais pas bouder mon plaisir même si je dois avouer avoir quand même eu un peu de mal avec la scène finale sous la pluie que je trouve par moment un peu brouillonne.
« Equalizer 2 » est une excellente suite en tout cas même si cette dernière ne se foule pas beaucoup. Le long métrage d’Antoine Fuqua reste sur ses acquis, il est même un poil moins percutant que son prédécesseur, mais le plaisir est toujours intact chez moi. Porté par un très bon Denzel Washington, ce film d’action très académique m’a en tout cas fait passer un excellent moment et lui aussi, je pourrais le revoir sans soucis. A noter que je trouve ça plutôt bien le fait qu’on puisse voir cette suite sans forcément avoir vu le premier volet même si ce dernier est un tantinet meilleur.
À l'instar de Neeson qui continue sa saga « Taken », Washington continue sa saga « Equalizer ». Nous ne sommes pas étonnés de tomber sur une oeuvre dénuée de toute personnalité surfant sur la franchise établie. Le film jouit d'une bonne grosse production ! Les acteurs et le réalisateur n'ont donc pas grand-chose à faire, ils se laissent porter, le succès leur tendra les bras et ils le savent... Pourquoi se fouler ? Absence totale d'idée, du business cinématographique sans âme, sans raffinement. Le parfait exemple qui démontre que notre civilisation recule plutôt que d'avancer.
Une suite moins brillante, on se rend compte que le résultat aurait pu être largement mieux que ce thriller policier correct mais sans originalité. Par ailleurs, le film prend vraiment trop son temps pour entrer dans le vif du sujet ça donne quelques longueurs. Le final est en revanche très bien réalisé. Bref moins bien que le premier mais ça se regarde.
Denzel Washington reprend son rôle d’ « Equalizer » pour Antoine Fuqua. Ce second volet a le même problème de rythme que son aîné et ne parvient jamais à s’affranchir de son maigre scénario.
Une suite qui se laisse voir, qui ne tourne pas trop autour du pot. Elle manque toutefois cruellement d'émotion. Les séquences d'action, ponctuelles, n'offrent pas de grande excitation. En dehors de quelques longueurs (je trouve la relation avec "le jeune" un peu inutile finalement), ce film n'a pas de vilain défaut qui nous ferait fuir carrément fuir.
Là où certains films d'action de seconde zone arrivent parfois à tirer leur épingle du jeu par ne serait-ce qu'une scène un peu originale ou quelques dialogues "punchline" qui font sourire, Equalizer 2 respecte doctement les stéréotypes les plus vus et revus du genre sans aucun écart avec les standards imposés ; le premier opus n'étant qu'un prétexte pour attirer le spectateur en salle.
Si "Equalizer 2" n'est pas l'amorce d'une franchise, cela lui ressemble fortement. Galvanisée par le succès du premier segment inspiré d'une série américaine qui s'était étirée sur quatre saisons et 88 épisodes de 1985 à 1989 sans réel écho en France, toute l'équipe s'est naturellement dévouée pour remettre le couvert. La tentative a été couronnée de succès, le film ayant rapporté trois fois son budget initial. Deux raisons essentielles à cet engouement. Denzel Washington semble avoir trouvé l'emploi idéal qui convient parfaitement à ce qu'il dégage à l'écran. Idem pour le concept assez facile à dupliquer de l'ancien agent du FBI reconverti en bon samaritain vengeur suite à l'assassinat de sa femme qui a tout pour plaire durablement au public. L'agent McCall doit cette fois-ci faire spoiler: le ménage au sein de son ancienne équipe dont certains membres suite à sa dislocation se sont reconvertis en mercenaires sans foi ni loi . L'attrait du film repose essentiellement sur le contraste entre la rage de l'ancien agent redevenant une véritable bête de combat à la limite du super-héros et la placidité débonnaire du civil sorte de Saint Vincent de Paul au sein de son quartier même s'il est mis quelquefois en relief par Fuqua avec une habilité un peu trop voyante car frisant avec une certaine complaisance. En ces temps eux-mêmes contrastés, parions que nous reverrons Denzel Washington trouer à nouveau la paillasse de ses adversaires en retournant leurs propres armes contre eux-mêmes (spécialité de l'agent McCall directement reprise de la série) juste après avoir conduit une vieille dame à l'hôpital et avant de retourner s'occuper de l'éducation d'un jeune délinquant. Denzel Washington a certes beaucoup de talent mais l'on peut se demander si le procédé ne finira pas, à moins que cela ait déjà commencé, par tourner en rond. Parions tout de même sur quatre à cinq épisodes avant que le filon ne s'épuise. En attendant, "Equalizer 1 et 2" se sont révélés tout à fait distrayants.
Suite des aventures de Denzel Washington en justicier solitaire ,et toujours d Antoine fuqua , equalizer 2 suit les actions de sauvetages sans lien pendant un peu plus d une demi heure.
L acteur campe parfaitement cet homme isolé ayant perdu sa femme. Mais tout va basculer quand sa seule amie est sauvagement agresse et tuée à Bruxelles ! Le rythme fait penser aux films des années 90 où on prend le temps de poser les personnages et l intrigue.
On voit tous les talents d acteur de Denzel dans ses rapports avec le jeune qu il tente de sauver, histoire pas si secondaire que ça . Il a une faculté à passer du sentiment de compassion au sentiment de haine et d agressivité dans la même minute en nous faisant peur ou en lui donnant le bon dieu sans confession .
C est rondement mené et la scène finale sous forme de combat d ultimate fight conclut bien le film .
Avis personnel. Pour ce second "Equalizer, j'ai été nettement moins accroché. On retrouve le même acteur Denzel Washington/Robert, toujours aussi taciturne, toujours aussi efficacement "serviable" pour rendre service aux victimes de salop.rds à sa manière: des poings d'acier au bout d'un cœur d'or. Notre héros est peut-être aussi un peu trop niaisement moralisateur et, à force de trop vouloir traduire son calme et son impassibilité, on se retrouve avec un film qui, pour moi, finit par manquer un peu de tonus et de dynamisme, surtout que les méchants sont ici moins percutants dans leurs rôles et leur personnalité. Par contre, j'ai particulièrement apprécié la BO qui donne un décor sonore très fort. La caméra nous propose pas mal de plans rapprochés intéressants et de fugitifs flashbacks illustrant adroitement les pensées du héros. La lumière, elle, est souvent sombre à l'excès, selon moi, surtout lors de la longue séquence finale. Celle-ci m'est apparue d'autant plus longue qu'elle ne permet d'attendre aucune surprise et qu'il est difficile de suivre l'affrontement entre le héros, le grand vilain et ses sbires: on ne distingue pratiquement que des ombres. Je ne me suis pas ennuyé mais...
McCall est toujours aussi sobre, méthodique et efficace. Et les scènes d’actions aussi bien filmées que dans le premier opus. En revanche l’intrigue est très (trop) prévisible. Dès le meurtre de l’amie de McCall, mes soupçons se sont portés sur la bonne personne. Ceci étant, l’essentiel du film n’est pas dans la résolution de l’affaire mais plus dans le châtiment que réserve McCall aux responsables de ce meurtre. Et de ce point de vue, on n’est pas déçu. A noter qu’on en apprend un peu plus sur le personnage central, McCall, et sur sa vie antérieure.
Ce second long-métrage est globalement de la quantité du premier. Le film se regarde sans grande difficulté mais il n’a clairement rien d’exceptionnel. Denzel Washington continue à jouer son rôle de fine gâchette qui ne laisse rien passer.
Quelle déception !!! La seule étoile que je donne à ce film est pour le jeu d'acteur de Denzel Washington sinon c'est d'une monotonie et d'une longueur sans appel. Je me suis ennuyée du début à la fin et n'a jamais trouvé ce à quoi me raccrocher pour être captivé dans l'histoire.. j'ai, de nombreuses fois, voulu éteindre la télé et ça a été difficile de tenir jusqu'à la fin.
Suite du premier volet que j'ai vraiment apprécier . Denzel est vraiment toujours tres bon mais sur ce 2eme m as moins convaincu . Il y avait mieux a faire même si le film est une bonne suite on sent le concept un peu trop étiré par les bords .