Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Flōrens PAB
87 abonnés
614 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 6 avril 2020
Denzel Washington, le bon samaritain aux méthodes musclées, est de retour pour un nouvel affrontement et cette fois-ci c'est personnel : il doit affronter son ancienne unité coupable de meurtres et surtout celui de sa seule amie (Melissa Leo). Autant dire que ça va péter dans le ventilo ! Cependant je reste dubitatif en ce qui concerne le climax : un décalque de celui du premier opus, seul le lieu change.
C’est encore une fois un grand film qui se présente devant nous. J’avais peur que cette suite ne soit ratée, comme de nombreuse le sont mais non ! Denzel Washington continue d’interpréter son ancien agent de la CIA mais je le trouve plus sombre que dans le premier. Il faut dire cette fois nous n’avons plus le côté attendrissant de Chloë Grace Moretz. Ici, ce sera Ashton Sanders le protégé de Denzel. Ce jeune acteur a vraiment un truc à part entière. Il avait déjà fait forte impression dans MOONLIGHT. Pour apporter un peu d’équilibre à ce volet plus noir, quelques blagues sont mises par parcimonie, faisant souvent mouche. Niveau scènes d’action, on est dans le même rail que le précédent. Petit ralenti qui passe bien avant l’action puis ça enchaîne. J’ai trouvé les affrontements un peu plus variés cette fois-ci. Et comme le premier, vous aurez droit à une grosse séquence de combat à la fin. On réutilise les mêmes ingrédients mais en changeant le contexte psychologique de ce personnage et son positionnement par rapport à la mission qu’il se donne. Le renouvellement est donc tel qu’on ne sent pas le réchauffer. Vous aviez appris à découvrirRobert McCall dans EQUALIZER, dans le second vous verrez un personnage plus tourmenté. Si vous avez aimé le un, foncez courir voir EQUALIZER 2.
J'ai adoré le 1 er . . . Quelques longueurs sur le 2 eme. . .Dommage . . . Un peu moins bien à mon goût . . L'interprétation reste exceptionnelle . . La VF également. .
Un deuxième opus qui est efficace et où c'est la première suite pour Denzel Washington. Robert McCall continue toujours à défendre les opprimés. Seulement il reprend les armes lorsque spoiler: son amie Suzanne est tuée . On retrouve les ingrédients du premier. Il y a plus de combats que le premier, il est plus brutal et plus violent. Denzel Washington incarne toujours à la perfection ce veuf inconsolable, qui ne tourne pas la page de la perte de sa femme. Le personnage gagne ainsi en profondeur. Il analyse toujours avant d'agir. On passe un bon moment dans ce deuxième opus qui est dans la lignée du premier, et de voir et d'apprécier la prestance charismatique de Denzel Washington.spoiler:
Que dire de ce film cousu de fil blanc ? Pas besoin de présenter le personnage puisqu'on le connaît depuis le premier volet, donc on entre directement dans le cœur de l'action. L'introduction étant zappée, on pourrait se dire que le film dure 30 minutes de moins, mais non : on aura bien le droit à deux heures de baston. J'exagère, évidemment, et à la limite j'aurais préféré dire vrai, à la condition que les scènes de combat soient de qualité, mais ça n'est pas vraiment le cas, et il y a un paquet de longueurs. Et puis, à aucun moment on a peur pour Robert, le personnage principal, ni pour son poulain. Tout est téléphone et se regarde facilement. Aussi vu, aussitôt oublié. Rien de spécialement bon ni mauvais, c'est juste un produit standardisé.
Le premier Equalizer faisait partie de ces plaisirs coupables qu’offre périodiquement le cinéma d’action américain. Adapté d’une série télé des années 80, Denzel Washington y incarnait Robert McCall un agent des services secrets à la retraite, qui ne résistait jamais à l’envie de s’improviser redresseur de torts, en aidant anonymement et gratuitement les humbles tourmentées par les puissants.. La différence est de taille par rapport à ‘John Wick’ par exemple, qui poursuivait des objectifs strictement personnels. Le seul problème, c’est qu’au spectateur qui aime s’inquiéter et frémir pour la survie du héros, Equalizer n’avait pas grand chose à offrir : Denzel Washington y étaitt tellement efficace, tellement compétent, tellement expérimenté qu’il n’était jamais véritablement mis en difficulté par ses adversaires et possédait toujours deux ou trois coups d’avance sur eux, en plus d’avoir une classe naturelle incroyable et cette stature de vieux sage solitaire, silencieux et philosophe, qui évoque certains polars de Jean-Pierre Melville. Cette fois, à part qu’il a laissé tomber le magasin d’outillage pour faire le taxi, rien n’a changé dans les prémices du second volet, qui cède à la tentation de contextualiser le vigilante, de lui inventer un passé, de s’intéresser à ses quelques relations sociales, d’expliquer pourquoi ses ennemis mortels sont des ennemis mortels. Ce n’est pas que ‘Equalizer 2’ traite ces variables plus mal qu’un autre, c’est juste qu’on aime voir Denzel Washington méditer silencieusement sur ses souvenirs, qu’on aime évidemment le voir casser des doigts et des poignets, mais qu’on n’avait pas vraiment besoin d’éléments sur-explicatifs. ‘Equalizer 2’ donne donc l’impression de traîner parfois en longueur, sans vraiment y gagner côté atmosphère, mais une séquence finale d’une efficacité totale, dans un village côtier balayé par une tempête, fera rapidement oublier ce petit désagrément.
Le scénario part un peu dans tous les sens dans une sorte de fourre-tout bordélique. Cela reste un film d'action efficace avec une Denzel Washington convaincant. La scène finale vaut le coup d'œil.
Participer au concept facile sur un film (pas si mal fait que ça) passe encore, mais sombrer dans une suite insipide est indigne de cet acteur. Steven Seagal aurait suffit...
Le script n'est pas à la hauteur du premier opus, mais il n'empêche que cette suite se visionne avec plaisir grâce au charisme légendaire de Denzel Washington et pour la mise en scène pleine d'énergie de la part d'Antoine Fuqua qui nous propose des scènes d'action rondement mener.
Cet épisode est si froid que ce qu'il dégage sortit de la salle et le côté sombre. Un partit pris loin d'être détestable qui donne tout le charme à ce film. Ce parti pris le rend mieux que le premier sur beaucoup d'aspects, mais le fait perdre sur le côté affectueux du personnage.. J'attends le troisième.
Quelle déception ce deuxième opus, en opposition totale avec le premier volet surprenant et prenant. Je ne suis jamais entré dans ce film, on le survol tel une série B ou il ne se passe guère de choses que ce soit en dialogue en scénario ou même en actions. Méme l’excellent Denzel N’arrive pas à sortir le film de sa médiocrité. A oublier.
Aïe aïe aïe Équaliseur 1 est excellent J'attendais donc avec impatience la suite avec le même réalisateur notamment Patatras tout l'intérêt du 1 est complètement annihile dans cette suite Antoine fuqua tombe dans les clichés et le côté sombre du personnage se transforme en un héros qui prend plaisir à tuer Decevant