AlloCiné
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Votre avis sur Knock Knock ?
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Toutes les notes
Un thriller psychologique cauchemardesque sur le thème de la tentation, de l'horreur malsain à l'humour glauque, laissant notre personnage principal prisonnier sous son propre toit.. un concept intéressant et prenant mais qui aurait mérité mieux avec des passages un peu longuet, et il manque une vraie tension qui scotcherai le spectateur une fois pour toute au risque de l'endormir si il ne rentre pas complétement dans le film.
je viens a l instant de le regarder en vostfr!! ca reste un thriller unique et derangeant par certaines scenes,le film mele humour,scenes tres hot,violence!! le malaise s installe petit a petit et prend par la suite un role majeure,qu on plaint keanu reeves!! la fin reste correcte meme si on reste sur notre faim,en tout cas on est prevenu ne pas ouvrir la porte a deux charmantes jeunes filles!!
L'Info Tout Court
Eli Roth, qui s'est fait un nom grâce à un cinéma forçant sur les doses d'hémoglobine, revient ici en instaurant un rapport de force où la torture devient psychologique. Dans ce plan à trois cauchemardesque, quelque chose manque pourtant. Malgré une peur présente tout au long du film, cette retenue inhabituelle du cinéaste gêne et dérange. Dommage ! Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
🎬 RENGER 📼
Evan est comblé, il a une famille aimante et un métier qu’il adore. Tout va pour le mieux jusqu’au jour où sa femme et ses enfants quittent le domicile le temps d’un week-end, pensant pouvoir mettre à profit ce temps libre pour travailler, il va faire la connaissance de deux jeunes femmes…
Eli Roth s’est attelé au remake du lénifiant Ça peut vous arriver demain (1977) de Peter S. Traynor. Le principe reste le même, un riche père de famille se retrouve seul le temps d’une nuit dans sa luxueuse demeure et va avoir le malheur d’ouvrir sa porte à deux parfaites inconnues, deux séduisantes demoiselles, aussi entreprenantes que démoniaques…
On pouvait s’attendre au pire de la part du réalisateur (qui n’est pas connu pour faire preuve de finesse), sauf qu’il en sera tout autre puisque Knock Knock (2015) s’avère être un très sympathique thriller psychologique. Certes, cousu de fils blancs (sans même avoir vu l’original), le film n’en demeure pas moins palpitant jusque dans ses derniers rebondissements. Le film offre à Keanu Reeves un rôle-titre à contre-emploi (après le bourrin John Wick - 2014), aux côtés d’un très joli trio d’actrices (deux chiliennes : Lorenza Izzo & Ignacia Allamand et une cubaine : Ana de Armas).
Il en résulte un séduisant home invasion entre un père de famille (qui a eu le malheur de ne pas avoir su dire non) et deux prédatrices sexuelles (et accessoirement détraquées). Enfin, pour la petite anecdote, l’une des héroïnes du film d’origine (Colleen Camp) y fait une apparition (dans le rôle de Vivian).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Eli Roth s’est attelé au remake du lénifiant Ça peut vous arriver demain (1977) de Peter S. Traynor. Le principe reste le même, un riche père de famille se retrouve seul le temps d’une nuit dans sa luxueuse demeure et va avoir le malheur d’ouvrir sa porte à deux parfaites inconnues, deux séduisantes demoiselles, aussi entreprenantes que démoniaques…
On pouvait s’attendre au pire de la part du réalisateur (qui n’est pas connu pour faire preuve de finesse), sauf qu’il en sera tout autre puisque Knock Knock (2015) s’avère être un très sympathique thriller psychologique. Certes, cousu de fils blancs (sans même avoir vu l’original), le film n’en demeure pas moins palpitant jusque dans ses derniers rebondissements. Le film offre à Keanu Reeves un rôle-titre à contre-emploi (après le bourrin John Wick - 2014), aux côtés d’un très joli trio d’actrices (deux chiliennes : Lorenza Izzo & Ignacia Allamand et une cubaine : Ana de Armas).
Il en résulte un séduisant home invasion entre un père de famille (qui a eu le malheur de ne pas avoir su dire non) et deux prédatrices sexuelles (et accessoirement détraquées). Enfin, pour la petite anecdote, l’une des héroïnes du film d’origine (Colleen Camp) y fait une apparition (dans le rôle de Vivian).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
ConFucAmuS
Il a une belle vie, cet Evan. Une merveilleuse femme, de superbes enfants, et une chouette baraque. Il est architecte, a une rente assurée et jouit d'à peu près tous les biens que puisse offrir l'existence.
Pas de chance, il est le premier rôle d'un thriller psychologique chaud comme la braise.
Il faut croire que Eli Roth n'aime rien tant que titiller nos bas instincts pour mieux les retourner contre nous (cf. Hostel 1 & 2). Jusque-là, le cinéaste peinait selon moi à transformer ses idées, faute d'une réelle maîtrise à dépasser le cadre de l'horreur graphique pour questionner les tréfonds de l'âme humaine. Et Knock Knock ne va pas déroger à la règle.
C'est franchement pénible, puisque le film fait un sans-faute pendant sa première moitié. 50 minutes qui diffusent leur venin l'air de rien jusqu'à ce que le piège délicieusement pervers se referme sur le malheureux Evan. La bonhomie naturelle de Keanu Reeves rencontre le charme sulfureux du duo Lorenza Izzo/Ana de Armas, et ça fait de belles étincelles. Si vous êtes client.e.s de thriller (dé)culotté type Sexcrimes, vous serez ravi.e.s.
Une fois que la paire de succubes révèle son petit jeu, Knock Knock vacille. Thriller jusqu'au jusqu'au-boutiste ou moralement inoffensif ? Je pencherai pour la deuxième solution, et c'est ennuyeux puisqu'il avait les moyens de pousser la partie bien plus loin. On se trouve loin d'un Funny Games de Michael Haneke ou même d'un Phone Game de Joel Schumacher, qui tenaient leurs concepts jusqu'au bout. Là, on sent que E. Roth se bride et ne veut pas se montrer trop subversir, hors c'est bien dans cette zone d'incertitudes que le genre peut se dépasser.
On en restera donc au plaisir coupable du samedi soir qu'on oubliera le week-end terminé.
Pas de chance, il est le premier rôle d'un thriller psychologique chaud comme la braise.
Il faut croire que Eli Roth n'aime rien tant que titiller nos bas instincts pour mieux les retourner contre nous (cf. Hostel 1 & 2). Jusque-là, le cinéaste peinait selon moi à transformer ses idées, faute d'une réelle maîtrise à dépasser le cadre de l'horreur graphique pour questionner les tréfonds de l'âme humaine. Et Knock Knock ne va pas déroger à la règle.
C'est franchement pénible, puisque le film fait un sans-faute pendant sa première moitié. 50 minutes qui diffusent leur venin l'air de rien jusqu'à ce que le piège délicieusement pervers se referme sur le malheureux Evan. La bonhomie naturelle de Keanu Reeves rencontre le charme sulfureux du duo Lorenza Izzo/Ana de Armas, et ça fait de belles étincelles. Si vous êtes client.e.s de thriller (dé)culotté type Sexcrimes, vous serez ravi.e.s.
Une fois que la paire de succubes révèle son petit jeu, Knock Knock vacille. Thriller jusqu'au jusqu'au-boutiste ou moralement inoffensif ? Je pencherai pour la deuxième solution, et c'est ennuyeux puisqu'il avait les moyens de pousser la partie bien plus loin. On se trouve loin d'un Funny Games de Michael Haneke ou même d'un Phone Game de Joel Schumacher, qui tenaient leurs concepts jusqu'au bout. Là, on sent que E. Roth se bride et ne veut pas se montrer trop subversir, hors c'est bien dans cette zone d'incertitudes que le genre peut se dépasser.
On en restera donc au plaisir coupable du samedi soir qu'on oubliera le week-end terminé.
NEXT DOOR. Des friandises ou un sortilège. Tremblez John Wick. Pourtant c'était marqué sur l'affiche, surtout n'ouvrez pas la porte !!! Les diablesses sont là. Il pleut berger, rentre tes blanches brebis. Soit gore, soit sexy, soit drôle choisi ton camp, tout est partagé mais rien n'est exploité. Epuisant....les pauvres.
Napoléon
Un film simple dans un peu tout les côtés, mais qui grâce à de bons acteurs, au fait qu'il parle d'un sujet tabou, il reste efficace.
Je pense qu'il n'y a pas grand monde à avoir compris à quel point ce film est une critique féroce de toutes les pseudo-féministes, pour qui les hommes sont tous fondamentalement des agresseurs, et pour qui les femmes sont forcement des victimes.
Pour comprendre le message du film, il faut essayer de comprendre pourquoi ces deux jeunes femmes très sexy s'en prennent à un homme on ne peu plus respectable, mari aimant, et bon père de deux enfants.
Sa seule "faute", c'est d'avoir cédé aux avances très très présentes de ces deux jeunes femmes très sexy (et il n'y a pas beaucoup d'hommes sur Terre qui résisterait à de telles avances).
Au cours du film je me suis vraiment posé ces questions, mais pourquoi font-elles cela ? Et pourquoi de cette façon ?
Mais c'est quoi leur logique ? spoiler: (spoil : vu qu'elles ne font pas cela pour de l'argent)
Et j'ai compris, elles ne sont pas simplement "folles", elles font exactement comme toutes les pseudo-féministes quand elles ont un homme dans leur collimateur (comme DSK ou Polanski). Peu importe pour elles que l'homme soit coupable ou pas des faits qu'on lui reproche, puisque pour elles, les hommes sont tous fondamentalement des agresseurs, elles ne conçoivent pas qu'ils puissent être innocents.
C'est forcement l'homme qui est un gros porc, et c'est forcement la femme qui est une blanche colombe.
Et en partant de ce postulat totalement biaisé, elles se sentent légitimes dans tous leurs actes contre les hommes.
spoiler: spoil : comme tout saccager, humilier, torturer, tuer, mettre du "Revenge porn" sur les réseaux sociaux...
Leurs "délires" rappellent d'ailleurs ceux de certaines femen , spoiler: spoil : comme le fait qu'elles se déguisent de façon provocante, qu'elles dégradent des œuvres d'art... on comprend mieux aussi la fin, leur sentiment d'impunité, et leur désir de faire la "morale" aux hommes.
Pour ma part, j'ai beaucoup aimé ce film, mais je crains hélas qu'il ne soit que trop bien le reflet de notre époque...
Pour comprendre le message du film, il faut essayer de comprendre pourquoi ces deux jeunes femmes très sexy s'en prennent à un homme on ne peu plus respectable, mari aimant, et bon père de deux enfants.
Sa seule "faute", c'est d'avoir cédé aux avances très très présentes de ces deux jeunes femmes très sexy (et il n'y a pas beaucoup d'hommes sur Terre qui résisterait à de telles avances).
Au cours du film je me suis vraiment posé ces questions, mais pourquoi font-elles cela ? Et pourquoi de cette façon ?
Mais c'est quoi leur logique ? spoiler: (spoil : vu qu'elles ne font pas cela pour de l'argent)
Et j'ai compris, elles ne sont pas simplement "folles", elles font exactement comme toutes les pseudo-féministes quand elles ont un homme dans leur collimateur (comme DSK ou Polanski). Peu importe pour elles que l'homme soit coupable ou pas des faits qu'on lui reproche, puisque pour elles, les hommes sont tous fondamentalement des agresseurs, elles ne conçoivent pas qu'ils puissent être innocents.
C'est forcement l'homme qui est un gros porc, et c'est forcement la femme qui est une blanche colombe.
Et en partant de ce postulat totalement biaisé, elles se sentent légitimes dans tous leurs actes contre les hommes.
spoiler: spoil : comme tout saccager, humilier, torturer, tuer, mettre du "Revenge porn" sur les réseaux sociaux...
Leurs "délires" rappellent d'ailleurs ceux de certaines femen , spoiler: spoil : comme le fait qu'elles se déguisent de façon provocante, qu'elles dégradent des œuvres d'art... on comprend mieux aussi la fin, leur sentiment d'impunité, et leur désir de faire la "morale" aux hommes.
Pour ma part, j'ai beaucoup aimé ce film, mais je crains hélas qu'il ne soit que trop bien le reflet de notre époque...
stallonefan62
Thriller sympa avec une histoire originale et complétement décalé !! Le suspense de ce huis clos est très bien maitrisé même si certaines scènes se répètent !! J'ai trouvé la fin inattendu mais assez réussi
Quand on apprécie un film, il est toujours un peu décevant de réaliser après coup que le long-métrage qu’on a aimé s’avère n’être que la copie (on dit au cinéma un remake) d’une oeuvre qui a déjà été tournée quelques années auparavant. C’est un peu ce qui m’est arrivé avec ce film, qui, je m’en suis aperçu a posteriori, est le remake d’un film de 1977, qu’on a remis au goût du jour avec l’insertion de ce qui n’existait pas il y a 40 ans : les réseaux sociaux. Alors, étant donné que je n’ai pas vu l’original (et je suis sûr que je suis loin d’être le seul !), le film s’avère quand même intéressant et d’une façon un peu tordue vaguement féministe. En effet, si le principal personnage est un homme, il se retrouve durant la presque totalité du film impuissant devant ces deux jeunes filles qui grâce à la séduction dans un premier temps et aux fruits du pécher dans un second vont faire de la vie parfaite de cet homme, bon mari, bon père et architecte comblé, un enfer. C’est frustrant et en même temps jouissif de voir Keanu Reeves se débattre pendant une heure quarante pour tenter d’échapper à ces deux nymphettes aussi aguichantes que démoniaques. Son personnage étant éminemment sympathique, on est tout de suite de son côté, mais en même temps on ne peut s'empêcher de se réjouir de voir ces deux femmes se jouer de lui d’abord par leurs charmes, puis par la force en utilisant toutes les ressources des conventions sociales qui, le personnage étant un homme respectable et respectueux de celles-ci, leur offrent une position de force a priori impossible sur le seul plan de la force physique. Ce huis clos se laisse regarder avec plaisir, même s’il faut avouer que ce n’est quand même pas le chef-d’oeuvre du genre. Un thriller qui, avec peu de moyens et peu de personnages, réussit à nous coller à notre siège pendant une heure quarante grâce à une intrigue vraiment bien écrite. À voir absolument.
Scènes trop longue qui a vraiment tendance à endormir le spectateur. Les acteurs ne sont pas crédibles j'ai vraiment été déçu
Une réécriture dans l'air du temps d'un "Funny Games" où deux jeunes femmes s'invitent chez un homme marié resté seul pour le week-end. Les demoiselles vont alors lui faire des avances toute la soirée jusqu'à ce qu'il craque. S'ensuit alors un chantage pour éviter de révéler à la femme l'infidélité, de la torture... Ce film marque par la dualité de sa morale : d'un côté le mari qui semble parfait au premier abord mais succombe, de l'autre les deux femmes qui le font culpabiliser mais dont les actions sont toutes plus immorales les unes que les autres. Si vous venez pour voir des scènes de sexe, vous êtes servis (Ana De Armas exceptionnelle encore). Si en revanche, vous venez voir un thriller sympathique, pas sur que vous y trouviez pleinement votre compte, car le propos final est assez intéressant mais mal amené et laisse un sentiment d'inachevé.
4 étoiles car j'ai passé un bon moment. J'ai du mal à comprendre toutes ces mauvaises critiques et je crois que les gens se prennent trop la tête! (Détendez-vous!) Ou bien, ils sont trop exigeants pour ce genre de film. Les acteurs sont bons. Il y a du suspense. On est dans un thriller pur. (Et oui, ce n'est pas un film d'horreur et donc, ce n'est pas "gore" malheureusement..Comme j'ai pu lire dans certaines critiques). Il y a de l'érotisme (Les actrices sont très sexy), de l'humour noir et acide. C'est malsain, un brin fou, ironique et cruel. Bref, tous les ingrédients pour passer un moment sympa. Ce n'est pas un chef-d'oeuvre mais c'est efficace.
C'est pas si mal.. un peu trop scripté plus ou moins ou cliché sur le fait que tout les mecs sont tous les mêmes mais bon.. à voir au moins une fois.
La fin aurait pu être mieux c'est dommage.
Mais bon, ce n'était qu'un jeux.
La fin aurait pu être mieux c'est dommage.
Mais bon, ce n'était qu'un jeux.
Thriller psychologique rondement mené de bout en bout; pas de fioritures ou de sorties de route excessives à déclarer. Reeves rempli parfaitement son rôle de victime expiatoire; humilié et pris au piège par deux perverses psychotiques et convaincantes.Peut être une mention spéciale pour la plus enjoué des deux allumeuses; Bel en l'occurrence; mais les deux caractères se complètent au final pour faire un bon duo infernal. Film vu en VO.
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