Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par La Rédaction
Le cinéaste joue davantage sur la terreur psychologique que sur les effets sanglants pour "Knock Knock". (...) Son drôle de film cruel jonglant avec les codes du cinéma d’horreur sur fond de puritanisme a tout pour faire passer des frissons dans le dos…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un architecte californien, qui mène une vie heureuse avec sa femme et ses deux enfants, reste seul à la maison un week-end. La nuit, on frappe à la porte : ce sont deux superbes filles qu’il invite à entrer. Et le cauchemar commence, dans ce qui, au-delà du film d’épouvante, se révèle un subversif saccage du rêve américain.
Voici
par La rédaction
Un délire féministe revanchard glonflé et flippant, éprouvant, mais réjouissant.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
La première moitié du film, assez brillante, laisse espérer un cauchemar polanskien (…). Pourquoi faut-il alors que le film se réfugie dans le puritanisme ?
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
"Knock Knock" nous entraine dans un jeu pervers plutôt mineur mais néanmoins immersif et sans temps mort.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce thriller à huis clos efficace et sans prétention, souvent drôle, à prendre au second degré, épingle l’hypocrisie qui règne dans une Amérique puritaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Fonctionnant a priori sur la hantise de l'invasion d'un espace domestique par des intrus mal intentionnés, "Knock Knock" dépasse les strictes conventions du thriller paranoïaque pour tourner à la comédie noire et à la fable morale particulièrement vacharde et vengeresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Même si, une fois qu'il a brillamment posé ses enjeux, Eli Roth retrouve ses penchants sagouins (et sa terrible direction d'acteur), il réussit là un délectable jeu de lassacre qui le replace sur la carte de l'horreur.
Mad Movies
par Cédric Delelée
Parfois réjouissant, mais un peu trop sage et confus dans ses propos.
Paris Match
par Yannick Vely
Eli Roth a du talent: sa mise en scène élégante et une certaine perversité permettent à "Knock Knock" de dépasser le tout-venant de ce que l'on appelait avant le Direct-to-Video. Espérons que la prochaine fois il aura un sujet.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Il y a beaucoup d'ironie et d'ambiguïté dans ce thriller amusant mais qui ne dévoile jamais son jeu, entre fable morale pseudo-féministe et dénonciation sarcastique d'une génération capable de ruiner une réputation en postant simplement une photo prise avec un téléphone portable.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une comédie horrifique qui manifeste le tempérament exalté d'un clip de Miley Cyrus, tout en se cherchant du côté du thriller dérangé, où le vétéran Keanu Reeves s'amuse comme il faut, chez un Eli Roth décidément très assagi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Si "Knock Knock" témoigne d'une volonté de Roth de faire un pas de côté et ne pas se laisser enfermer dans la cage du cinéma gore (...), il accuse aussi un manque d'ambition que ni son savoir-faire ni son vernis subversif ne parviennent à masquer complètement.
Critikat.com
par Juliette Goffart
"Knock Knock" expérimente un genre moins sanglant, au propos bien moins corrosif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par La Rédaction
Remake de "Death Game" (1977), le film d’Eli Roth est un McDo de cinéma. C’est du fast-cinoche préfabriqué, à voir le samedi soir après une ‘tite bouffe entre copains, juste pour le fun. Car faut être juste : les deux salopes (Lorenza Izzo, Ana de Armas) sont craquantes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Metro
par Mehdi Omaïs
Gentiment médiocre, cette série B semi-transgressive, portée par un Keanu Reeves à contre-emploi, panache moments efficaces et péripéties grand-guignolesques. Idéal pour un samedi soir décérébré.
La critique complète est disponible sur le site Metro
La Croix
par La Rédaction
Ce thriller raté pointe involontairement les contradictions sur la société américaine sur la sexualité.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Dutrieux
Eli Roth propose un film de suspense qui fourmille d'idées sur notre société. Hélas, l'ensemble souffre d'une réalisation fade, sans tension ni enjeux, et est servi par des acteurs tout sauf convaincants et une écriture paresseuse.
Positif
par Philippe Rouyer
Bourré d'invraisemblances, le film manque cruellement de suspense puisque toutes les péripéties sont prévisibles.
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
Une série B, vaguement sexe, vaguement sanglante, totalement ratée. Elle devrait faire peur, elle fait juste pleurer d'ennui.
TF1 News
par Romain Le Vern
Plus roublard que jamais, Eli Roth ne fait pas grand-chose de son postulat de base sexy (Keanu Reeves face à deux nymphettes aussi séduisantes que des succubes) et décline les codes du home invasion. C'est aussi explosif qu'un pétard mouillé.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jérémie Couston
Fétichiste du cinéma bis comme son ami Quentin Tarantino, Eli Roth signe une potacherie au sadisme racoleur. Un genre de Funny Games sauce barbecue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le cinéaste joue davantage sur la terreur psychologique que sur les effets sanglants pour "Knock Knock". (...) Son drôle de film cruel jonglant avec les codes du cinéma d’horreur sur fond de puritanisme a tout pour faire passer des frissons dans le dos…
Le Dauphiné Libéré
Un architecte californien, qui mène une vie heureuse avec sa femme et ses deux enfants, reste seul à la maison un week-end. La nuit, on frappe à la porte : ce sont deux superbes filles qu’il invite à entrer. Et le cauchemar commence, dans ce qui, au-delà du film d’épouvante, se révèle un subversif saccage du rêve américain.
Voici
Un délire féministe revanchard glonflé et flippant, éprouvant, mais réjouissant.
Cahiers du Cinéma
La première moitié du film, assez brillante, laisse espérer un cauchemar polanskien (…). Pourquoi faut-il alors que le film se réfugie dans le puritanisme ?
L'Ecran Fantastique
"Knock Knock" nous entraine dans un jeu pervers plutôt mineur mais néanmoins immersif et sans temps mort.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller à huis clos efficace et sans prétention, souvent drôle, à prendre au second degré, épingle l’hypocrisie qui règne dans une Amérique puritaine.
Le Monde
Fonctionnant a priori sur la hantise de l'invasion d'un espace domestique par des intrus mal intentionnés, "Knock Knock" dépasse les strictes conventions du thriller paranoïaque pour tourner à la comédie noire et à la fable morale particulièrement vacharde et vengeresse.
Les Inrockuptibles
Même si, une fois qu'il a brillamment posé ses enjeux, Eli Roth retrouve ses penchants sagouins (et sa terrible direction d'acteur), il réussit là un délectable jeu de lassacre qui le replace sur la carte de l'horreur.
Mad Movies
Parfois réjouissant, mais un peu trop sage et confus dans ses propos.
Paris Match
Eli Roth a du talent: sa mise en scène élégante et une certaine perversité permettent à "Knock Knock" de dépasser le tout-venant de ce que l'on appelait avant le Direct-to-Video. Espérons que la prochaine fois il aura un sujet.
Première
Il y a beaucoup d'ironie et d'ambiguïté dans ce thriller amusant mais qui ne dévoile jamais son jeu, entre fable morale pseudo-féministe et dénonciation sarcastique d'une génération capable de ruiner une réputation en postant simplement une photo prise avec un téléphone portable.
aVoir-aLire.com
Une comédie horrifique qui manifeste le tempérament exalté d'un clip de Miley Cyrus, tout en se cherchant du côté du thriller dérangé, où le vétéran Keanu Reeves s'amuse comme il faut, chez un Eli Roth décidément très assagi.
Charlie Hebdo
Si "Knock Knock" témoigne d'une volonté de Roth de faire un pas de côté et ne pas se laisser enfermer dans la cage du cinéma gore (...), il accuse aussi un manque d'ambition que ni son savoir-faire ni son vernis subversif ne parviennent à masquer complètement.
Critikat.com
"Knock Knock" expérimente un genre moins sanglant, au propos bien moins corrosif.
L'Obs
Remake de "Death Game" (1977), le film d’Eli Roth est un McDo de cinéma. C’est du fast-cinoche préfabriqué, à voir le samedi soir après une ‘tite bouffe entre copains, juste pour le fun. Car faut être juste : les deux salopes (Lorenza Izzo, Ana de Armas) sont craquantes.
Metro
Gentiment médiocre, cette série B semi-transgressive, portée par un Keanu Reeves à contre-emploi, panache moments efficaces et péripéties grand-guignolesques. Idéal pour un samedi soir décérébré.
La Croix
Ce thriller raté pointe involontairement les contradictions sur la société américaine sur la sexualité.
Les Fiches du Cinéma
Eli Roth propose un film de suspense qui fourmille d'idées sur notre société. Hélas, l'ensemble souffre d'une réalisation fade, sans tension ni enjeux, et est servi par des acteurs tout sauf convaincants et une écriture paresseuse.
Positif
Bourré d'invraisemblances, le film manque cruellement de suspense puisque toutes les péripéties sont prévisibles.
Studio Ciné Live
Une série B, vaguement sexe, vaguement sanglante, totalement ratée. Elle devrait faire peur, elle fait juste pleurer d'ennui.
TF1 News
Plus roublard que jamais, Eli Roth ne fait pas grand-chose de son postulat de base sexy (Keanu Reeves face à deux nymphettes aussi séduisantes que des succubes) et décline les codes du home invasion. C'est aussi explosif qu'un pétard mouillé.
Télérama
Fétichiste du cinéma bis comme son ami Quentin Tarantino, Eli Roth signe une potacherie au sadisme racoleur. Un genre de Funny Games sauce barbecue.