Holodomor, la grande famine ukrainienne : Critique presse
Holodomor, la grande famine ukrainienne
Note moyenne
1,8
6 titres de presse
L'Obs
Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
Le Monde
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
George Mendeluk, réalisateur de télé (« Alfred Hitchcock présente »), a mis en scène ce film en 2017, et c’est le conflit actuel qui a permis à « Holodomor » de sortir en France. Terence Stamp, le bel ange de « Théorème », apparaît ici dans un rôle de papy nationaliste étonnamment crédible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par B. P.
Si ses scènes d'action sont assez réussies, aucun cliché ne nous est, hélas, épargné. Reste le mérite de mettre en lumière l'un des plus épouvantables épisodes du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Si le sujet est ô combien important, le film est trop lisse et impersonnel pour pouvoir transmettre l’ampleur de l’horreur des faits.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par J. Ma.
Tout le reste – l’aventure d’un jeune couple d’amants séparé par les événements, l’usage de la langue anglaise, la représentation du bien et du mal – relève d’une conception utilitariste de la fiction qui la réduit au simplisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Lou Hupel
Mais cette évocation perd de sa puissance au fil d’un récit fictionnel, mélo autour d’un couple déchiré par le collectivisme meurtrier de Staline gangréné par le côté trop archétypal de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce crime contre l’humanité prend ici les dimensions d’un drame familial où même la tragédie devient ronronnante, emportée dans un déluge de scènes convenues, amour naissant et amour brisé, héros torturé, évasion de prison… Une page d’histoire paresseusement trahie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
George Mendeluk, réalisateur de télé (« Alfred Hitchcock présente »), a mis en scène ce film en 2017, et c’est le conflit actuel qui a permis à « Holodomor » de sortir en France. Terence Stamp, le bel ange de « Théorème », apparaît ici dans un rôle de papy nationaliste étonnamment crédible.
Le Figaro
Si ses scènes d'action sont assez réussies, aucun cliché ne nous est, hélas, épargné. Reste le mérite de mettre en lumière l'un des plus épouvantables épisodes du XXe siècle.
Les Fiches du Cinéma
Si le sujet est ô combien important, le film est trop lisse et impersonnel pour pouvoir transmettre l’ampleur de l’horreur des faits.
Le Monde
Tout le reste – l’aventure d’un jeune couple d’amants séparé par les événements, l’usage de la langue anglaise, la représentation du bien et du mal – relève d’une conception utilitariste de la fiction qui la réduit au simplisme.
Première
Mais cette évocation perd de sa puissance au fil d’un récit fictionnel, mélo autour d’un couple déchiré par le collectivisme meurtrier de Staline gangréné par le côté trop archétypal de ses personnages.
Télérama
Ce crime contre l’humanité prend ici les dimensions d’un drame familial où même la tragédie devient ronronnante, emportée dans un déluge de scènes convenues, amour naissant et amour brisé, héros torturé, évasion de prison… Une page d’histoire paresseusement trahie.