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    Battle of the Sexes
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    Carlos Stins
    Carlos Stins

    80 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2017
    Biopic sur le match qui a révolutionné la place de la femme dans le sport, "Battle of the sexes" est un film très abouti qui a su me convaincre. Jonathan Dayton et Valérie Faris forment un superbe duo de réalisateurs, proposant un univers très personnel mais qui reste facilement accessible. C'est bête à dire mais on sent que les réalisateurs prennent un plaisir dingue à réaliser ce films et qu'ils s'investissent à fond dans leur sujet, parvenant à dégager de leur long-métrage une énergie particulière qui embarque le spectateur. J'ai adoré le travail de mise en scène effectué sur ce film, une mise en scène à la fois stylisée et porteuse se sens. Chaque plan, en plus d'être agréable à l’œil, rappelle une symbolique et permet de prolonger le propos du long-métrage. Le duo se révèle tout aussi à l'aise dans l'écriture, livrant une oeuvre étonnamment subtile et pleine de nuances. Quand il aborde la problématique du féminisme, le film ne tombe jamais dans la facilité et le manichéisme, se révélant très pertinent dans la manière dont il construit ses personnages. Ces derniers sont d'ailleurs très bien interprétés, notamment par le duo Steve Carell/Emma Stone qui fait des étincelles. J'ai tout de même préféré la première heure du film à la seconde, cette dernière souffrant à mon sens d'un manque d’intensité notamment dans le match en lui même. La mise en scène est alors beaucoup moins inspirée et le film sombre un peu trop dans le romanesque à mon goût.. Cela ne m'a empêché de ressortir charmé de "Battle of the sexes, un film .qui s'est révélé à la hauteur de mes importantes attentes et qui mérite d'être vu.
    papalou
    papalou

    16 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 décembre 2017
    Film efficace, normalement développé, bien joué par Emma stone et Steve Carel.
    Néanmoins ses qualités font ses défauts: cela restera un film assez lisse, avec peu d'enjeu, où les thémes sont très tendance et de plus en plus Consensuelles : le féminisme, la différence de traitement entre les hommes et les femmes dans le sport, l'homosexualité féminine.
    Au final, ce qu'il y a de terrible dans ce type de films, c'est qu'on a pas grand-chose à penser de plus de ce que le film nous montre.
    Dommage parce que ces femmes là sont de très grandes championnes . Notamment Margaret Court l'australienne qui possède le important palmarès de victoire en grand chelem 24 victoires non encore égalé par les redoutables sœurs Williams avec 23 chacune.
    L'entraînement y est peu montré, et vous remarquerez que ces dames dévorent des frites en guise de dîner pendant les compétitions.... Et sont sponsorisés par une marque de cigarette... Cela a bien changé.
    Par contre elles ont déjà une coiffeuse pour leurs coupes de cheveux.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 366 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 décembre 2017
    Aïe aïe aïe… Ces derniers temps j’aimais bien ce qu’il faisait ce duo Jonathan Dayton / Valerie Faris (« Little Miss Sunshine », « Elle s’appelle Ruby »), mais là, j’avoue que je suis passé totalement à côté… C’était même tellement violent que ce fut une question que je me suis régulièrement posée durant la projection. « Mais pourquoi je ne suis pas dedans là ? C’est quoi qui bloque ? » Parce que bon, difficile de reprocher au duo Dayton / Faris de faire des fautes de goût. On a affaire ici à un casting de choix, à une histoire assez insolite et tout cela au service d’une question sociétale d’actualité... Etrange, ça devrait marcher… Sauf que non, en fait, quand j’y réfléchis bien, le cinéma, ça ne marche pas comme ça. Il ne suffit pas d’additionner des trucs sympas pour que ça donne un ensemble cool. L’ensemble ne deviendra cool que s’il y a cet élément-clef qui fera que l’amalgame va se constituer et fonctionner. Et ce n’est pas évident de définir quel est cet élément-clef, mais pour moi c’est évident que « Battle of the sexes » ne l’a pas du tout. Quand j’ai vu ce film, je n’ai pas vu l’histoire incroyable de Billy Jean King. J’ai vu Emma Stone portant une perruque et des lunettes en train de jouer Billy Jean. J’ai vu le duo Dayton / Faris filmer le tout avec la photo et le classicisme des années 70, et j’ai vu chacun lire péniblement les lignes d’un scénario qui était là pour nous expliquer scolairement à quel point c’est pas cool et pas juste que les femmes soient moins payées que les hommes ; à quel point les arguments justifiant ces inégalités sont fallacieux ; et surtout à quel point Billy Jean était une héroïne pour son époque… Ah oui et puis ce n’est pas tout ! C’était aussi super cool que Billy Jean elle soit aussi lesbienne et qu’elle ait finie par l’assumer ! Rah ça ! Quelle héroïne en avance sur son temps ! Au regard des combats d’aujourd’hui, il semblait effectivement indispensable de faire un film sur elle pour rappeler à quel point les acquis d’aujourd’hui et/ou de demain, on les doit grâce à ce genre de personnages et de combats ! …Alors moi, je ne demande qu’à être convaincu. A dire vrai je l’étais déjà avant de voir le film. Pourtant ce film m’a gonflé comme jamais parce que, malheureusement, je pense qu’il ne se réduit qu’à ça. C’est un propos et une cause à défendre qu’on s’est simplement contenté de mettre en image sans avoir su trouver le petit ingrédient qui allait permettre à cette intrigue de vraiment prendre vie. Parce que si on prend les deux précédents films du duo, « Little Miss Sunshine » et « Elle s’appelle Ruby », il y avait certes un propos dans les deux films ; l’un sur le rejet du conformisme au modèle américain, l’autre sur les attentes portées sur une relation amoureuse. Mais si ces deux propos ont fonctionné sur moi, c’est surtout parce qu’il avait su prendre vie au travers d’un artifice qui me permettait de cheminer dedans. « Little Miss Sunshine » nous avait embarqué dans un mini-van peuplé de personnages excentriques que j’étais amené à découvrir et – indirectement – à juger. Face à ce film, j’étais dans un processus dynamique. Et le fait que chaque personnage oscillait en permanence entre le pathétisme et une authenticité touchante, cela rendait notre jugement difficile. On était sans cesse en train de reconsidérer la chose. Bref, on était en train de VIVRE à l’intérieur de cet univers. Et même chose pour « Elle s’appelle Ruby » au fond ! En nous plaçant dans la peau de l’écrivain qui a la possibilité de réécrire sa relation amoureuse et – mieux encore – de choisir les caractéristiques de sa partenaire, il nous pose face à une question qui nous interpelle forcément tous : « nous, que chercherions nous à faire en pareille situation ? » Dans cette situation aussi, nous sommes également actifs. Nous prenons PART dans l’intrigue. Ici, dans cette « Battle of the sexes », il n’y a aucun artifice qui nous permet de questionner ou de vivre quoi que ce soit. Bah oui, Billy Jean a l’air d’être une fille chouette : à aucun moment j’ai envie de discuter sa position. Bah oui, elle est légitime dans son combat. Bah ouais, elle est légitime dans son orientation sexuelle… Si bien que tout le film se déroule sans qu’il nous offre la possibilité de nous impliquer dedans. Il n’est plus une expérience sensorielle ou intellectuelle, il est juste du discours… ET quand on me cale près de deux heures d’un discours sans aspérité, auquel je n’ai rien à redire, eh bah moi je m’ennuie grave. C’est tout le problème selon moi à faire des films-plaidoyers comme celui-ci : comme on ne veut surtout pas donner des arguments aux détracteurs de ceux qui s’opposeraient à la cause qu’on entend défendre, alors on a tendance à faire un film univoque, sans relief, sans marge laissée au spectateur pour qu’il questionne, juge, ressente… Pour moi, ce film, il reproduit une erreur classique et répandue ; une erreur qui le rend à mes yeux totalement insignifiant et inintéressant au possible. Dommage… Venant de Jonathan Dayton et de Valerie Faris, je m’attendais à bien mieux… Après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    105 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2017
    Ceux qui n'aiment pas le tennis pourront apprécier ce film. Ce n'est pas un film sur le tennis MAIS sur l'égalité des droits. Certes, la conclusion est connue mais le scénario est intéressant et intelligent. Les acteurs s'effacent au profit de leur rôle cela signifie (souvent) et ici en particulier que l'on rentre bien dans la psychologie des personnages. Inspirée d'une histoire vraie j'ai apprécié l'absence de manichéisme et l'ouverture d'esprit des protagonistes. Je recommande ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 décembre 2017
    Un biopic bien sympathique et bien dans l'air du temps. L'Amérique des années 70 vulgaire, machiste mais aussi marrante, est bien campée. Une description sensible de la découverte de l'homosexualité. Quelques poncifs qu'on retrouve dans nombreux film sociétaux. Carrel je suis fan.
    Antoine D.
    Antoine D.

    42 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 décembre 2017
    Le film retrace l'évolution personnelle de Billie Jean King, une évolution sentimentale et professionnelle. On sent le style des réalisateurs de Little Miss Sunshine. Steve Carell est superbe et incroyablement ressemblant à Bobby Riggs. On sent qu'il s'amuse dans ce rôle de faux macho.

    Malheureusement ce sont des nouveaux réalisateurs qui se cassent les dents sur le tennis. Après Hitchock (L'inconnu du nord express), Woody Allen (Match point) ou même Janus Metz Pedersen (Borg vs Mac Enroe, sorti il y a 2 semaines) c'est maintenant aux deux compagnons de présenter un match pas très convaincant malgré les doublures et la mise en scène très dynamique.

    Le film sort dans un contexte parfait avec les nombreux harcèlements sexuels notamment ceux de Weinstein.

    Mon plan préféré est sans aucun doute le plan avant le début du match entre Bobby Riggs et Billie Jean King dans l'escalator.
    SuperJS
    SuperJS

    35 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 décembre 2017
    Ce film est tout simplement magnifique ! De l'émotion, du suspense (si on ne connaît pas la vraie issue du match bien sûr avant d'aller voir ce film), une belle histoire d'amour (c'est par contre le petit bémol : on ne parle pas de ce qu'est devenue ce premier flirt lesbienne), un réalisme crédible, des touches d'humour pertinentes. Le féminisme est présenté sans excès (comme j'avais peur avant d'y aller), et la psychologie des personnages est très Bien approfondie, évitant le caricatural. Emma Stone est magistrale, Steve Carrel également et les seconds rôles aussi. À voir absolument !
    Blanche G.
    Blanche G.

    8 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2017
    la plus belle partie du film c’est bien évidemment la finale. les rôles sont tous très bien tenus mais il manque un « je ne sais quoi » dans presque la 1ère moitié du film. c’est timide ! dommage.
    Marie L
    Marie L

    12 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2017
    Bonne surprise.
    Je trouve que la partie liée à l'homosexualité est de trop mais fait aussi partie de la période de la libération des femmes. Film à l'honneur des femmes mais pas féministes.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    707 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2018
    Le film vaut surtout pour son du d'acteurs qui donnent un véritable rythme au long métrage. Les passages tennistiques sont passionnants et bien réalisés, mais ce biopic manque d'originalité et est trop timide pour sortir des carcans lourdingues du genre.

    https://m.facebook.com/la7emecritique/

    https://polartsite.wordpress.com/2017/12/02/critique-battle-of-sexes-oeuvre-feminine/
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    191 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2017
    Battle of the Sexes fait partie de ces films intéressants, qui ne brille pas par sa réalisation mais qui permet de découvrir un bout de notre histoire, un passage qui a marqué une étape. Ici, on est face à un combat pour l'égalité des sexes, avec également un engagement pour la communauté LGBT au sein de la fédération de Tennis. Emma Stone et Steve Carell, deux acteurs que nous aimons beaucoup, ne nous ont pas encore déçus, ils ont l'art l'interpréter leurs personnages avec brio, ils donnent vraiment vie à ces stars de Tennis en offrant de la profondeur aux personnages. Pour le reste, ça reste plutôt simple, sans extravagance, avec quelques baisses de rythme, mais assez accrocheur pour nous tenir jusqu'au final. Bref, un film convaincant même si pas marquant, et avant tout instructif, et ça c'est sympa aussi de temps en temps !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 novembre 2017
    C'était vraiment dommage car je trouve que le match final n'était pas convaincant ... dans le sens BJK s'entraînait à fond pour se préparer alors que lui il fait la fête et prenait des vitamines et tout ... c'est pour donner une excuse au mec ? En tout cas le message n'est pas très bien transmit ..
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    154 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2017
    Les biopics sont un peu moins à la mode cette année, il faut dire qu’à force, ça devient difficile de trouver des histoires humaines intéressantes qui n’ont pas encore été traitée au cinéma.
    Quelques semaines après le très intéressant « Borg vs. McEnroe », le tennis est de nouveau à l’honneur avec « Battle of the Sexes ». Mais si la balle jaune est présente tout au long du film, c’est surtout le combat de Billie Jean King qui est mis en avant. Elle qui a eu l’audace, le courage et la ténacité de se battre afin d’obtenir plus d’égalité de traitement entre les sportifs masculins et féminins.
    Bien entendu, il s’agit d’aspect financier, mais aussi et surtout, de reconnaissance pure et dure du sport féminin alors jugé comme particulièrement inférieur, voir inintéressant. Par extension, il va de soi qu’il s’agit aussi de la perception de la femme de façon générale.
    Une fois de plus, Hollywood trouve une histoire singulière et vraie à porter sur grand écran. Si le film est de facture très classique aussi bien dans le montage que la réalisation, il n’en reste pas moins agréable visuellement de par l’utilisation du 35mm avec son grain et sa saturation des couleurs typique des années 70. La reconstitution d’époque est excellente, des voitures aux coupes de cheveux en cheveux en passant par les iconiques « blue suede shoes » (refaites pour l’occasion par la marque aux trois bandes) : tout est plus vrai que nature !
    Le scénario est un peu trop sage et convenu, mais il parvient tout même à nous tenir en haleine jusqu’au dénouement du match aussi improbable que fondateur entre Billie Jean King et Bobby Riggs.
    Le film est multicouches et il ratisse peut être un peu trop large : entre le tennis, la politique, le sponsoring, l’argent dans le sport, l’homophobie, les machos… Certaines parties sont inégales et un peu bancales (voir fausses comme dans tout biopic me direz-vous) mais l’essentiel est préservé : prouver à la masse que les femmes ne comptent pas pour des prunes, même dans le sport.
    Ce film à une résonnance toute particulière à l’heure actuelle, hasard du planning, et il constitue une bonne base pour voir le chemin parcouru et celui qu’il reste à faire pour l’égalité et le respect des femmes. 44 ans après, la bataille est loin d’être gagnée et certains acquis sont encore menacés…
    Requiemovies
    Requiemovies

    212 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2017
    Après Little Miss Sunshine et le moins heureux Elle s’appelle Ruby (un peu lourd et stéréotypé indé, made in Sundance) le duo peu prolifique Dayton-Farris revient sur grand écran avec Battle of the sexes (un film tous les 6 ans environ). Casting étoilé et retour de l’indispensable Steve Carell.
    Si la réussite de leur premier long-métrage n’est pas totalement au rendez-vous, le contrat est parfaitement rempli dans la catégorie feel good movie, ni plus ni moins.
    Le suspense d’un final évaporé dès le début du film (existence même du film, sinon, à quoi bon !?) les deux metteurs en scène se sont appuyés sur leur casting, Emma Stone et Steve Carell en vitrine, bien épaulé par pléthore de seconds rôles tous très bons dans leur rôles respectifs. Petite frustration de ne pas voir plus que ça le génial Fred Armisen dans un rôle quasi muet mais formidable de discrétion, Sarah Silverman qui ne semble pas jouer mais être elle-même, Bill Pullman grinçant à souhait qu’on voit de plus en plus en ce moment (et c’est tant mieux) et Alan Cumming qu’on avait pas vu aussi touchant depuis un moment. Car Battle of the sexes semble être avant tout un film d’acteurs, un film où l’étiquette « indépendant » est portée par des comédiens tous à leur affaire ici. Non pas que la mise en scène ne soit pas soignée (bien que brouillonne au début, pour être plus aventureuse dans sa deuxième moitié) mais elle n’apporte pas en soit un intérêt réel. C’est donc sur le casting et la direction d’acteurs que tout repose, et tout est réuni ici pour relater cette histoire vraie de personnages touchants à truculents.
    Evidemment c’est l’écho féministe, très en avant en ce moment qui sert d’étendard au film, représenté de manière assez délicate dans une Amérique seventies soigneusement reconstituée (décors, costumes, retransmissions TV). Battle of the sexes est tour à tour un libellé politique et une ode contre la discrimination (superbe séquence de 30 secondes entre Cumming et Stone) d’une certaine justesse mais qui manque un peu d’envergure, du moins proche de celle qui sur un autre sujet avait permis au duo de réaliser le touchant Little Miss Sunshine. Battle of the sexes est donc une belle reconstitution qui échappe avec finesse à pas mal de stéréotypes, portée par un excellent casting (Stone et Carell en tête) qui par la sincérité qu’il dégage rempli son postulat de départ, feel good movie classique, avec ses qualités et ses défauts, valeur sûre sur laquelle on ne prend que peu de risques notamment au cœur d’une mise en scène classique, mais sans jugement de valeurs.
    btravis1
    btravis1

    114 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 novembre 2017
    Ce film n'est pas une comédie contrairement à ce que laisse croire en partie la bande-annonce. En traitant du monde du tennis, de l'égalité homme-femme ou de l'homosexualité féminine ou du moins en survolant ces thèmes, le film dresse surtout le portrait de 2 personnages, une joueuse de tennis au sommet qui se bat pour faire reconnaître le tennis féminin dans un sport où les instances sont tenues par des hommes et un ancien joueur de tennis professionnel, joueur compulsif. qui cherche à renouer avec un quelconque succès. Et cette partie est intéressante et touchante, Emma Stone et Steve Carell étant parfaits dans leurs rôles respectifs. Film correct.
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