Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Écrit, filmé et photographié avec raffinement, "Belles familles" file à toute allure sans jamais confondre énergie et précipitation, au fil d’une intrigue fertile en coups de théâtre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Avec "Belles Familles", le cinéaste signe à 83 ans son film le plus émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Alain Masson
La province, l'héritage, la maison familiale qu'il faut vendre, les retrouvailles et les disputes, le souvenirs des amours anciennes : c'est un genre de sujet ancien et fréquent dans le cinéma français. Rappeneau le renouvelle allègrement.
Première
par Christophe Narbonne
"Belles Familles" propose une réflexion profonde, brillante et touchante sur la famille, ses valeurs, la mémoire et sur cette encombrante mélancolie qui renvoie de façon entêtante aux blessures de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
Son magnétisme envoûtant injecte une belle dose de jeunesse dans ce beau film qui, espérons-le, offrira un nouveau départ à son réalisateur...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Florence Ben Sadoun
D’André Dussollier à Marine Vacth en passant par Gilles Lellouche et Karin Viard, les acteurs de Jean-Paul Rappeneau sont tous incroyablement justes dans cette partition écrite pour eux sur mesure.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un retour riche en surprises et en émotions, dans un film choral au casting impressionnant et dont le rythme, un peu lent, ménage de beaux moments de nostalgie et de fantaisie.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Comédie sophistiquée, un brin trop fabriquée, mais agréable à suivre grâce à son casting (avant tout Mathieu Amalric et Marine Vacth) et à l'élégance de sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Plus encore que "Bon voyage", "Belle famille" est une belle réussite. Pourquoi ? Un sujet actuel (des fratries, des amitiés, des couples qui éclatent et se recomposent autour de l'héritage d'une demeure familiale), du style (oui, une fois de plus), de la joie et de la tristesse (l'amour qui finit, l'enfance qui remonte), mais une tristesse qui ne s'exprime jamais aux dépens de la comédie.
Marianne
par Danièle Heymann
C'est un film heureux. Qui rend heureux.
Télé 7 Jours
par La rédaction
Jean-Paul Rappeneau convie des comédiens talentueux dans cette comédie chorale douce-amère : Mathieu Amalric, Karin Viard et Marine Vatch, dont la beauté illumine l'écran.
Télérama
par Jacques Morice
Rendu gracieux, pourtant. Léger. Vif. Par la mise en scène, tout en ellipses et en rebonds. Le tempo, la musicalité des déplacements, Rappeneau a ça dans le sang, depuis que, dans sa jeunesse, il s'est nourri de ces comédies loufoques de l'âge d'or du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Une œuvre rare et unique, obsédée par la beauté, motivée par l’amour des femmes.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une façon de faire qui date un peu, mais un classicisme éprouvé et efficace.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Bizarrement, et malgré une fine opposition entre tradition, le film offre peu de surprises, se reposant sur des situations boulevardières convenues. (...) Même si le film reste d'une élégance et d'une ambition rythmique trop rares dans le paysage de l'actuelle comédie française.
TF1 News
par Yves Grosjean
Un étincelant "bal des acteurs" pour le réalisateur de "Cyrano de Bergerac". Un ensemble séduisant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Quentin Le Goff
On se sent moins invités dans cette grande maison familiale déserte, que tolérés, tenus à l’écart d’une intimité qui ne nous concerne pas.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Sur le ton d'une comédie sophistiquée comme savait le faire Rappeneau, mais dont les enjeux dramatiques sont à ce point inexistants que le film glisse sur la toile cirée. La mise en scène est élégante, certes, mais elle ne rattrape pas grand-chose.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Chaque scène est un précipité de rythme et d’esprit. Ça pétille comme un champagne, ça crépite comme un feu entretenu par un maître malicieux (...) D’où vient alors l’impression que le dispositif mis en place avec tant de savoir-faire et d’élégance tourne vaguement à vide ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si le charme ingénu et sensuel de Marine Vacth opère, Gilles Lellouche en amoureux jaloux, Karin Viard en veuve spoliée, Nicole Garcia en mère énervée et Guillaume de Tonquédec en frère pas net en font tous un peu trop. Dommage
Le Monde
par Thomas Sotinel
Après 12 ans d'absence, le cinéaste néglige la fantaisie au profit du conformisme.
Metro
par Marilyne Letertre
L’image est certes léchée mais le huitième film du metteur en scène, atone et old school, manque de souffle romanesque, d’émotion et d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Voici
par La rédaction
Ce n'est pas désagréable, mais l'interprétation manque de sobriété, et l'ensemble laisse une impression de sitcom de luxe.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
"Belles familles" est une comédie de notables aux ressorts moisis, aux rebondissements éventés, où l’imaginaire bourgeois se frotte aux tensions néo-beaufs.
La Voix du Nord
Écrit, filmé et photographié avec raffinement, "Belles familles" file à toute allure sans jamais confondre énergie et précipitation, au fil d’une intrigue fertile en coups de théâtre.
Le Point
Avec "Belles Familles", le cinéaste signe à 83 ans son film le plus émouvant.
Positif
La province, l'héritage, la maison familiale qu'il faut vendre, les retrouvailles et les disputes, le souvenirs des amours anciennes : c'est un genre de sujet ancien et fréquent dans le cinéma français. Rappeneau le renouvelle allègrement.
Première
"Belles Familles" propose une réflexion profonde, brillante et touchante sur la famille, ses valeurs, la mémoire et sur cette encombrante mélancolie qui renvoie de façon entêtante aux blessures de l’enfance.
20 Minutes
Son magnétisme envoûtant injecte une belle dose de jeunesse dans ce beau film qui, espérons-le, offrira un nouveau départ à son réalisateur...
Elle
D’André Dussollier à Marine Vacth en passant par Gilles Lellouche et Karin Viard, les acteurs de Jean-Paul Rappeneau sont tous incroyablement justes dans cette partition écrite pour eux sur mesure.
Le Dauphiné Libéré
Un retour riche en surprises et en émotions, dans un film choral au casting impressionnant et dont le rythme, un peu lent, ménage de beaux moments de nostalgie et de fantaisie.
Les Fiches du Cinéma
Comédie sophistiquée, un brin trop fabriquée, mais agréable à suivre grâce à son casting (avant tout Mathieu Amalric et Marine Vacth) et à l'élégance de sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
Plus encore que "Bon voyage", "Belle famille" est une belle réussite. Pourquoi ? Un sujet actuel (des fratries, des amitiés, des couples qui éclatent et se recomposent autour de l'héritage d'une demeure familiale), du style (oui, une fois de plus), de la joie et de la tristesse (l'amour qui finit, l'enfance qui remonte), mais une tristesse qui ne s'exprime jamais aux dépens de la comédie.
Marianne
C'est un film heureux. Qui rend heureux.
Télé 7 Jours
Jean-Paul Rappeneau convie des comédiens talentueux dans cette comédie chorale douce-amère : Mathieu Amalric, Karin Viard et Marine Vatch, dont la beauté illumine l'écran.
Télérama
Rendu gracieux, pourtant. Léger. Vif. Par la mise en scène, tout en ellipses et en rebonds. Le tempo, la musicalité des déplacements, Rappeneau a ça dans le sang, depuis que, dans sa jeunesse, il s'est nourri de ces comédies loufoques de l'âge d'or du cinéma américain.
VSD
Une œuvre rare et unique, obsédée par la beauté, motivée par l’amour des femmes.
Ouest France
Une façon de faire qui date un peu, mais un classicisme éprouvé et efficace.
Studio Ciné Live
Bizarrement, et malgré une fine opposition entre tradition, le film offre peu de surprises, se reposant sur des situations boulevardières convenues. (...) Même si le film reste d'une élégance et d'une ambition rythmique trop rares dans le paysage de l'actuelle comédie française.
TF1 News
Un étincelant "bal des acteurs" pour le réalisateur de "Cyrano de Bergerac". Un ensemble séduisant.
Critikat.com
On se sent moins invités dans cette grande maison familiale déserte, que tolérés, tenus à l’écart d’une intimité qui ne nous concerne pas.
L'Express
Sur le ton d'une comédie sophistiquée comme savait le faire Rappeneau, mais dont les enjeux dramatiques sont à ce point inexistants que le film glisse sur la toile cirée. La mise en scène est élégante, certes, mais elle ne rattrape pas grand-chose.
L'Obs
Chaque scène est un précipité de rythme et d’esprit. Ça pétille comme un champagne, ça crépite comme un feu entretenu par un maître malicieux (...) D’où vient alors l’impression que le dispositif mis en place avec tant de savoir-faire et d’élégance tourne vaguement à vide ?
Le Journal du Dimanche
Si le charme ingénu et sensuel de Marine Vacth opère, Gilles Lellouche en amoureux jaloux, Karin Viard en veuve spoliée, Nicole Garcia en mère énervée et Guillaume de Tonquédec en frère pas net en font tous un peu trop. Dommage
Le Monde
Après 12 ans d'absence, le cinéaste néglige la fantaisie au profit du conformisme.
Metro
L’image est certes léchée mais le huitième film du metteur en scène, atone et old school, manque de souffle romanesque, d’émotion et d’humour.
Voici
Ce n'est pas désagréable, mais l'interprétation manque de sobriété, et l'ensemble laisse une impression de sitcom de luxe.
Cahiers du Cinéma
"Belles familles" est une comédie de notables aux ressorts moisis, aux rebondissements éventés, où l’imaginaire bourgeois se frotte aux tensions néo-beaufs.