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Votre avis sur The D-Train ?
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FaRem
Un film difficile à cerner, car on est plus proche du drame que de la simple comédie avec les deux personnages qui jouent sur le paraître pour tromper l'autre et font semblant d'être épanouie alors que ça se voit que non. Ça commence d'une manière assez classique, c'est bon enfant jusqu'à cette nuit où tout change entre les deux personnages et à partir de là, le film devient assez bizarre et j'ai un peu décroché, car je n'ai pas trop compris où voulait en venir le réalisateur, mais malgré ça, c'est quand même un film qui se laisse regarder sans déplaisir.
Félix F
Jack Black nous avait habitué à mieux. Même si son rôle de prof loser lui colle bien, cette comédie aux allures de déjà vu peine à convaincre dans l'ensemble tant c'est prévisible et peu amusant.
gabdias
Que Jack Black soit un super acteur personne n'en doute, il le prouve ici dans des situations qui ne le mettent pas forcément en valeur. Mais le film se perd dans les méandres de la comédie, puis du drame sans jamais savoir où il finira. Trop de bons sentiments trop de blabla pour finalement un film décevant.
Sur le papier, The D-Train s'apparente à une énorme blague. Le synopsis doublé de la présence de Jack Black suffise pour imaginer une immense farce sur fond de loosers en puissance. Bien entendu, cela ne garanti en rien la franche rigolade. Si les histoires de réunions annuelles d'anciens d'un lycée sont légions et bien souvent prétexte à de véritables bouses cinématographiques, The D-Train a au moins le mérite de se démarquer de ses successeurs par bien des points. Oubliez la comédie pour teenagers décérébrés, ici, on navigue perpétuellement dans une atmosphère perturbante entre humour et léger malaise. Les réalisateurs ont voulu une comédie noire et ils l'ont. Jack Black est d'ailleurs véritablement surprenant car au delà de ses mimiques, il réussit à incarner un personnage insondable, perturbé et perturbant dans ses réactions. L'histoire ne mérite pas qu'on crie au génie mais la forme du film, sa mise en scène, sa bande originale, ses "rebondissements", ses situations, ses personnages principaux et cette ambiance insondable réussissent à nous garder jusqu'au final regrettable baigné de psychologie de comptoir.
Une comédie américaine avec le trés sympathique Jack Black qui se débat dans les injonctions culturelles de la culture de son pays, être le plus beau, être le plus fort, le plus populaire, le plus aimé, le plus "winner", en somme, vouloir être à tout prix autre chose que ce que l'on est et devoir pour ça tricher, mentir et s’engouffrer dans les pires pièges.
Difficile de se sentir concerné par ce fond culturel trés "U.S" qui n'est heureusement pas le notre, mais les personnages sont attachant, les situations parfois compliquées crées un bon suspens et le spectateur se dit " comment va-t-il s'en sortir ?" Un humour classique de ce type de comédie qui demeure au niveau du "pipi caca", Une comédie drôle, mais pas si légère que ça. Un film pas si mal. Bien réalisé. Un bon moment à passer.
Difficile de se sentir concerné par ce fond culturel trés "U.S" qui n'est heureusement pas le notre, mais les personnages sont attachant, les situations parfois compliquées crées un bon suspens et le spectateur se dit " comment va-t-il s'en sortir ?" Un humour classique de ce type de comédie qui demeure au niveau du "pipi caca", Une comédie drôle, mais pas si légère que ça. Un film pas si mal. Bien réalisé. Un bon moment à passer.
Poussive, peu drôle et caricaturale qualifient parfaitement The D-Train.. La popularité d'un ancien élève devient l'atout principal du comité des anciens pour amener du peuple à leur soirée des... anciens. Stop, n'en dites pas plus ! Nous savons comment ça se termine.. Et bien non, nous ne pouvons imaginer la tournure que va prendre cette mascarade.. Si au moins cette comédie était sympathique et marrante, ça la sauverait du naufrage.
Après une petite traversée du désert Jack Black revient fidèle à lui-même dans ce film de copains où il impose sa marque de fabrique: rendre crédible des situations impossibles, créant un humour surréaliste. Je crois que ce n'est pas un rôle de composition, c'est pour ça qu'il est populaire. Il représente un archétype d'américain moyen, d'où un effet comique particulier pour nous français. Il est gauche mais rien ne lui fait peur, et les dernières techniques sont ancrées dans son mode de vie, dans ce film il navigue sur internet, uploadant sur facebook comme s'il avait appris ça dans son berceau. James Marsden est un partenaire de taille, l'antagonisme total des deux stars faisant la réussite de cette buddy comedy. Jack Black va le chercher à Los Angeles pour qu'il participe à la réunion des anciens élèves du lycée, mais ça tourne plutôt mal. Je ne peux pas en dire plus sans dévoiler l'histoire qui tourne autour d'une relation homosexuelle, avec des dialogues parfois crus. Il n'est donc pas adapté aux moins de 14 ans.
The D-Train est une comédie originale mais pas franchement drôle. Il est très difficile de comprendre et d’accepter le comportement et la mentalité du personnage joué par Jack Black. Il a un sérieux problème qui n'a rien de comique.
RedArrow
On pense mettre les pieds dans une bonne grosse comédie américaine dont on connaît tous les rouages par avance et puis, non, "The D-Train" nous surprend de la meilleure des manières en se révélant bien plus malin qu'il n'y paraît.
On nous présente bien sûr le personnage de Dan (Jack Black) en appuyant sur les ressorts comiques de son côté pathétique mais le film l'aborde avant tout très intelligemment de façon plus dramatique. Il y a en effet quelque chose d'infiniment triste à le voir toujours se retourner vers le passé pour revivre ses années de lycée à travers cette réunion d'anciens élèves qu'il tente désespérément d'organiser. Dan est tellement persuadé d'avoir loupé le coche d'une vie meilleure qu'il néglige son couple, pense que son fils est voué à revivre ses propres échecs et met en danger sa carrière professionnelle pour partir retrouver Oliver (James Marsden), l'ancienne star de son lycée devenu un acteur raté à Los Angeles. L'aveuglement de Dan lorsqu'il se retrouve entraîné dans une bromance avec ce play-boy loser, complètement obnubilé par le fait qu'il ait tourné dans une publicité ridicule (symbole pour lui d'une réussite ultime), achève de nous montrer à quel point le personnage s'est enfermé dans cette idée que sa vie rangée n'a aucun intérêt. Il faudra un électrochoc très surprenant à la fois pour lui et le spectateur (la fameuse nuit) pour qu'enfin il décide d'ouvrir les yeux sur ses frustations les plus profondes.
Le reste du film sera de facture plus classique (Dan touchera le fond avant d'assumer ses fautes) mais conservera toujours ce ton si particulier permettant de vrais moments de comédie au milieu d'une intrigue aux enjeux bien plus profonds qu'on aurait pu le penser.
Et "The D-Train" bénéficie pour ça du meilleur des atouts : Jack Black ! D'une aisance parfaite pour passer d'un registre à un autre, le comédien nous rappelle qu'il excelle aussi dans des tonalités plus dramatiques avec toujours ce talent déconcertant à naviguer entre le rire et le malaise dans une situation qui ne le laissait pas forcément envisager. Il faut aussi souligner la qualité des dialogues et le reste de la distribution toute aussi excellente (James Marsden, Jeffrey Tambor ou encore Kathryn Hahn).
Bien qu'inabouti (la dernière partie aurait pu connaître de plus amples développements), "The D-Train" surprend en déjouant les pronostics de la farce américaine habituelle pour mieux traiter ses personnages attachants aux espoirs malmenés par la vie.
Une "dramédie" peut-être pas incontournable mais plus que plaisante.
On nous présente bien sûr le personnage de Dan (Jack Black) en appuyant sur les ressorts comiques de son côté pathétique mais le film l'aborde avant tout très intelligemment de façon plus dramatique. Il y a en effet quelque chose d'infiniment triste à le voir toujours se retourner vers le passé pour revivre ses années de lycée à travers cette réunion d'anciens élèves qu'il tente désespérément d'organiser. Dan est tellement persuadé d'avoir loupé le coche d'une vie meilleure qu'il néglige son couple, pense que son fils est voué à revivre ses propres échecs et met en danger sa carrière professionnelle pour partir retrouver Oliver (James Marsden), l'ancienne star de son lycée devenu un acteur raté à Los Angeles. L'aveuglement de Dan lorsqu'il se retrouve entraîné dans une bromance avec ce play-boy loser, complètement obnubilé par le fait qu'il ait tourné dans une publicité ridicule (symbole pour lui d'une réussite ultime), achève de nous montrer à quel point le personnage s'est enfermé dans cette idée que sa vie rangée n'a aucun intérêt. Il faudra un électrochoc très surprenant à la fois pour lui et le spectateur (la fameuse nuit) pour qu'enfin il décide d'ouvrir les yeux sur ses frustations les plus profondes.
Le reste du film sera de facture plus classique (Dan touchera le fond avant d'assumer ses fautes) mais conservera toujours ce ton si particulier permettant de vrais moments de comédie au milieu d'une intrigue aux enjeux bien plus profonds qu'on aurait pu le penser.
Et "The D-Train" bénéficie pour ça du meilleur des atouts : Jack Black ! D'une aisance parfaite pour passer d'un registre à un autre, le comédien nous rappelle qu'il excelle aussi dans des tonalités plus dramatiques avec toujours ce talent déconcertant à naviguer entre le rire et le malaise dans une situation qui ne le laissait pas forcément envisager. Il faut aussi souligner la qualité des dialogues et le reste de la distribution toute aussi excellente (James Marsden, Jeffrey Tambor ou encore Kathryn Hahn).
Bien qu'inabouti (la dernière partie aurait pu connaître de plus amples développements), "The D-Train" surprend en déjouant les pronostics de la farce américaine habituelle pour mieux traiter ses personnages attachants aux espoirs malmenés par la vie.
Une "dramédie" peut-être pas incontournable mais plus que plaisante.
J'adore Jack Black, il est souvent surprenant, mais la on voit son talent d'acteur au grand jour. Le film tient plus du drame que de la comédie, même si certaines situations m'ont fait rire, d'ailleurs, je me suis plus marré dans ce film que dans une vraie comédie... la raison à des situations d'un réalisme incroyable, qui font justement rire pour leur justesse. J'adore Hahn, ici enlaidie pour son rôle de mère ai foyer (la coupe de cheveux de la moche par excellence) : et on comprend vite pourquoi on l'a prit pour ce rôle : connue pour jouer les rôles difficiles. Bref, on sent le malaise tout au long du film, on comprend clairement que le personnage joué par JB est complètement perdu, tout comme Lawless qu'il avait mit sur un pied d'estale ! Du grand art ce film, à voir absolument, juste incroyable la crédibilité de JB dans ce film, c'est la qu'on voit les vrais grands acteurs... tout comme Jim Carrey ultra surprenant dans Le nombre 23 ! Un rôle à contre emploi qui lui va à merveille. JB powaaa !
Raphaël O
Une comédie interprétée par une bonne distribution mais un scénario léger, des situations poussives et jamais drôle. Y avait de quoi faire une bonne histoire mais finalement non.
3.5/5 Bon film avec un bon scénario et un casting riche. Le point fort le charisme des acteur le point faible "comédie" on rie oui mes sa ressemble plus a un drame.
The D Train est un film avec un sujet intéressant bien que d'une banalité à pleurer (l'obsession des américains pour leurs années de collège ou de lycée.........). Le début offre une montée en puissance dont on attend beaucoup..... mais après c'est la chute et le film tourne à vide comme un vélo sans pédalier......on regarde Jack Black s'enfoncer sans empathie car l'émotion n'est pas au rendez vous de cette fête des anciens..........
Comédie ou drame ? Ne sachant pas sur quel pied danser, le film se complaît dans une histoire ennuyeuse.
Un film assez étrange et difficile à cerner, entre comédie et drame : mais l'acteur Jack Black est tous simplement excellent dans son rôle et il joue à merveille.
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