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Avoine M.
60 abonnés
279 critiques
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2,0
Publiée le 26 août 2015
Sur le thème déjà bien usé de l'attirance des contraires, Améris, dont on avait bien aimé le précédent film, signe ici une comédie languissante, aux rebondissements (très amortis) prévisibles et redondants, faute d'un scénario inconsistant qu'une distribution pourtant impeccable - Virginie Efira en tête - n'arrive jamais à sublimer, et ce, jusqu'à un happy end quasi-contractuel, aussi gentillet qu'improbable.
Toute la réussite du film tient dans l'incarnation de son très bon casting. L'histoire est hyper facile, très caricaturale et très peu politiquement correct (ce qui explique sûrement le peu de promo dont a bénéficié ce film). Mais si on se laisse prendre au jeu le divertissement reste franchement correct. A voir une fois
Jean-Pierre Améris aime à alterner comédies grand public avec des projets personnels comme « Marie Heurtin » ou « L’Homme qui rit ». Un plan de carrière louable qui alterne également réussites et ratés. Disons-le d’emblée, « Une famille à louer », si sympathique soit-il, n’a pas la beauté et l’émotion qui faisaient toute la réussite des « Émotifs anonymes » dans les long-métrages qui peuplent la première catégorie citée de sa filmographie. Le réalisateur a beau reprendre Benoit Poelvoorde dans un rôle qui lui va comme un gant et où il n’en fait – étonnamment – jamais trop, la réussite est moindre et le charme opère de manière plus sporadique. Pourtant, le pitch est imparable mais beaucoup ignorent que c’est un peu la copie, pour ne pas dire le plagiat, d’un film américain de 2004 avec Ben Affleck méconnu en France intitulé… « Famille à louer ». Le principe était le même : un jeune homme seul décide de rémunérer les occupants de sa maison d’enfance pour qu’ils soient sa famille durant les fêtes de Noël. C’est peu ou prou pareil mais on fera comme si on ne savait pas pour profiter de cette variante à la française. La première partie est drôle sans pour autant être à mourir de rire et le scénario se joue bien des clivages sociaux entre le nouvel arrivant millionnaire et sa nouvelle famille prolétaire sans que l’on saute pieds joints dans le cliché. La seconde partie verse, quant à elle, davantage dans l’émotion jamais forcée mais pas toujours opérante. On passe un bon moment mais le problème est que tout cela est tellement attendu du début à la fin que seuls quelques passages intermédiaires peuvent à la limite nous surprendre. De plus, on sent la volonté de plaire à tout le monde et que rien ne dépasse, ce qui est forcément préjudiciable pour qui va souvent au cinéma. On aurait aimé également des seconds rôles plus étoffés, notamment François Morel qui aurait pu être source de gags bienvenus. Et ne parlons pas de la réalisation, fonctionnelle et télévisuelle au possible. Mais la bonne humeur ambiante et le charme des interprètes emportent durablement le morceau surtout que l’on ne s’ennuie pas un seul instant.
J'avais hâte de voir ce film depuis que j'avais vu la bande annonce. C'est un excellent divertissement populaire et sympathique. Un film digne des bonnes comédies des années 70 et 80 que j'ai connues quand j'étais enfant.
Surtout pour le pire, je dirai! Une soit disant comédie, qui n'en a que le nom, et d'un ennui insondable! Il ne se passe rien, les situations sont grotesques, les dialogues proprement ineptes! Pas un seul rire durant 1h35, quant à la réalisation et à l'interprétation, no comment!
Pour moi ce film est d'une nullité incommensurable. J'espérais passer un bon moment et rien, aucune scène ne m'a fait sourire. Tout est caricaturé, on n'y croit pas un instant. Seul le petit garçon parvient à être attachant. Tous les grands acteurs ont tourné des films alimentaires, mais là le talent habituel de Benoît Poelvoorde est totalement inexistant. A mon avis, ce film est à éviter absolument
Le genre de film cucu la praline, pourtant j'avais bien aimé " les Emotif anonymes". Le mec riche qui ne sait pas quoi faire de son argent, qui voit à la télé la petite pauvre, sorte de clone de Pretty Woman, qui le fait rêver en parlant de ses enfants ....On regarde ça sans y croire, sans rire, sans sourire, sans pleurer, sans rien quoi.
Très déçue par cette bleuette ennuyeuse et sans intérêt . Ok Virginie Effira est toute en beauté et joue un max de sa plastique aguicheuse ...Benoit Poolvorde surjoue son rôle de pauvre gosse riche .....Mais cela ne suffit pour relever ce film au scénario mince et terne ..
Benoît Poelvoorde incarne un riche homme dépressif vivant isolé. Il propose à une jeune mère en difficulté d’intégrer temporairement sa famille contre rémunération, afin de voir si ça peut le faire aller mieux. J’ai été extrêmement déçu par ce film. Là où je m’attendais à quelque chose de drôle, avec le décalage qu’il aurait pu y avoir entre Benoît Poelvoorde et Virginie Efira, il n’y avait en réalité qu’une histoire romantique plutôt sinistre enchaînant des situations gênantes. J’ai trouvé la plupart des personnages antipathiques. L’évolution du scénario était prévisible dès le départ. Au final, je n’ai pas compris où le film voulait en venir.
Le Synopsis était plutôt aguichant mais c'est mou, il ne se passe pas grand chose, aucune pointe d'humour, et je me demande aussi, comment elle est tombé sous le charme de cet homme.. Magnifique Virginie Efira mais j'ai pas trouvé cela terrible 1.5/5
Avec la bande annonce on avait presque vu tout le film. Deux personnes que tout opposent. Ils vont tombés amoureux. Des le début de la bande annonce nous nous en doutions. Mais la finalité du film même conventionnelle aurait pu être traitée de façon plus humoristique. Plus de dynamite verbale, Même l'adolescente est dans la retenue.
Donc aucun dynamisme, aucun rythme.
Le jeu des acteurs est juste mais l'émotion n'est pas au rendez vous sauf pour la jouvence du jules.
Le seul point positif peut être Qui chante cette jolie chanson qui a elle seule résume bien l'ambiance qui aurait du être drolatique.
Un bon film montrant les différences entre richesse et précarité ainsi qu'entre la vie de famille et celle d'un célibataire sans enfant. J'ai passé un agréable moment en suivant l'idylle naissante entre Virginie Efira et Benoît Poelvoorde.