Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Closer
par La rédaction
Une jolie comédie !
Positif
par Michel Cieutat
Des dialogues pertinents (...), une réalisation très soignée (...), un rythme bien soutenu... et une interprétation hors pair des rôles secondaires (...) contribuent à la réussite de cette fort sympathique comédie, qui, non réaliste en soi, est néanmoins justement ancrée dans la réalité sociale de son temps.
Public
par Florence Roman
On rit, on pleure, on s'enthousiasme pour cette drôle de famille recomposée où les enfants sont beaucoup plus raisonnables que les adultes.
Gala
par Nicolas Deschamps
"Dans Une famille à louer", les comédiens permettent au spectateur de ne pas s'ennuyer malgré un scénario où les rebondissement sont loin d'être aussi surprenants que l'on aurait pu l'espérer.
La critique complète est disponible sur le site Gala
La Croix
par Arnaud Schwartz
Derrière l’affiche un peu mièvre de cette comédie pas si légère se cache une œuvre non seulement drôle, mais touchante, authentique et parfois âpre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un homme fortuné (...) décide de louer la famille d’une jeune femme, menacée d’expulsion avec ses deux enfants. Ce qui ne va pas sans un certain nombre de situations délicates à gérer, ce que font avec entrain Virgine Efira et Benoît Poelvoorde, parfaits en couple mal assorti.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
"Une famille à louer", dont l’intrigue manque un brin d’originalité, n’a pas le charme des Émotifs anonymes, mais son réalisateur s’acquitte de sa tâche la plus importante : nous faire rire. Visiblement, l’humour sied aux âmes tristes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un scénario sur le mode bons sentiments dans lequel Benoît Poelvoorde et Virginie Efira sont à l'aise.
Télérama
par Frédéric Strauss
Les scénaristes font preuve d'audace, mais s'en effraient hélas eux-mêmes : ils consacrent l'essentiel de cette comédie à déminer le terrain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Une proposition de départ sympa et originale mais qui, passée la première confrontation, pêche par trop de caricature et de prévisibilité. Mais le duo fonctionne bien.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Très fraîche et très sympathique, Une Famille à Louer se fait tranquillement sa place parmi les quelques comédies revigorantes de l'été.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par La rédaction
Une comédie sans prétention.
L'Express
par Thierry Chèze
Le film ne dépasse jamais son résumé. Car la sensibilité qui faisait le charme des "Emotifs anonymes" laisse place à une succession de scènes jamais vraiment drôles ni émouvantes, où le cinéaste a le défaut de forcer toujours un peu trop le trait.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les décors pimpants, (...) le rythme sautillant, la déconnexion délibérée d'avec la réalité font d"Une famille à louer" un film sans gravité ni atmosphère dans lequel dérive le corps du grand comédien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Une redite assez délavée des “Émotifs anonymes”, mais toujours portée par la sincérité d'Améris et le talent de Poelvoorde
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une comédie sociale pas drôle qui sonne faux. (...) Outre des personnages factices et mal définis, il y a une vraie confusion au cœur de cette farce romantique et pseudosociale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Isabelle Danel
Tout s’enchaîne avec une régularité de métronome et une absence de surprises. (...) Il y avait pourtant là matière à faire un film piquant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Las, Jean-Pierre Améris nous sert un sous Pretty Woman sans surprise. Il avait pourtant du potentiel sous la main.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le scénario s’applique laborieusement (...), au moyen d’effets prévisibles et de retournements convenus. Tout le monde, acteurs compris, s’est mis pour l’occasion en mode pantouflard. Le spectateur serait bien inspiré d’en faire autant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Une fois les enjeux posés, le film fait du surplace. Reste le duo Poelvoorde-Efira, sensass.
Closer
Une jolie comédie !
Positif
Des dialogues pertinents (...), une réalisation très soignée (...), un rythme bien soutenu... et une interprétation hors pair des rôles secondaires (...) contribuent à la réussite de cette fort sympathique comédie, qui, non réaliste en soi, est néanmoins justement ancrée dans la réalité sociale de son temps.
Public
On rit, on pleure, on s'enthousiasme pour cette drôle de famille recomposée où les enfants sont beaucoup plus raisonnables que les adultes.
Gala
"Dans Une famille à louer", les comédiens permettent au spectateur de ne pas s'ennuyer malgré un scénario où les rebondissement sont loin d'être aussi surprenants que l'on aurait pu l'espérer.
La Croix
Derrière l’affiche un peu mièvre de cette comédie pas si légère se cache une œuvre non seulement drôle, mais touchante, authentique et parfois âpre.
Le Dauphiné Libéré
Un homme fortuné (...) décide de louer la famille d’une jeune femme, menacée d’expulsion avec ses deux enfants. Ce qui ne va pas sans un certain nombre de situations délicates à gérer, ce que font avec entrain Virgine Efira et Benoît Poelvoorde, parfaits en couple mal assorti.
Le Journal du Dimanche
"Une famille à louer", dont l’intrigue manque un brin d’originalité, n’a pas le charme des Émotifs anonymes, mais son réalisateur s’acquitte de sa tâche la plus importante : nous faire rire. Visiblement, l’humour sied aux âmes tristes.
Ouest France
Un scénario sur le mode bons sentiments dans lequel Benoît Poelvoorde et Virginie Efira sont à l'aise.
Télérama
Les scénaristes font preuve d'audace, mais s'en effraient hélas eux-mêmes : ils consacrent l'essentiel de cette comédie à déminer le terrain.
Voici
Une proposition de départ sympa et originale mais qui, passée la première confrontation, pêche par trop de caricature et de prévisibilité. Mais le duo fonctionne bien.
aVoir-aLire.com
Très fraîche et très sympathique, Une Famille à Louer se fait tranquillement sa place parmi les quelques comédies revigorantes de l'été.
Femme Actuelle
Une comédie sans prétention.
L'Express
Le film ne dépasse jamais son résumé. Car la sensibilité qui faisait le charme des "Emotifs anonymes" laisse place à une succession de scènes jamais vraiment drôles ni émouvantes, où le cinéaste a le défaut de forcer toujours un peu trop le trait.
Le Monde
Les décors pimpants, (...) le rythme sautillant, la déconnexion délibérée d'avec la réalité font d"Une famille à louer" un film sans gravité ni atmosphère dans lequel dérive le corps du grand comédien.
Les Fiches du Cinéma
Une redite assez délavée des “Émotifs anonymes”, mais toujours portée par la sincérité d'Améris et le talent de Poelvoorde
Les Inrockuptibles
Une comédie sociale pas drôle qui sonne faux. (...) Outre des personnages factices et mal définis, il y a une vraie confusion au cœur de cette farce romantique et pseudosociale.
Première
Tout s’enchaîne avec une régularité de métronome et une absence de surprises. (...) Il y avait pourtant là matière à faire un film piquant.
Télé 7 Jours
Las, Jean-Pierre Améris nous sert un sous Pretty Woman sans surprise. Il avait pourtant du potentiel sous la main.
L'Obs
Le scénario s’applique laborieusement (...), au moyen d’effets prévisibles et de retournements convenus. Tout le monde, acteurs compris, s’est mis pour l’occasion en mode pantouflard. Le spectateur serait bien inspiré d’en faire autant.
Studio Ciné Live
Une fois les enjeux posés, le film fait du surplace. Reste le duo Poelvoorde-Efira, sensass.