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Un visiteur
4,0
Publiée le 26 mars 2019
Très bon. On y retrouve une Jennifer Aniston dans un rôle où elle arriverait presque à nous faire lâcher des larmes. En tout cas pour ma part j'ai eu du mal à les contenir...
Dans Cake, on découvre qu'Aniston peut être une vraie actrice.. En dehors de cette information relativement nouvelle‚ on découvre un drame peut être un peu trop fin qu'il faut réellement suivre pour comprendre. L'explication vient petit à petit de façon aléatoire parfois alambiquée. L'humour‚ noir‚ est néanmoins présent à certain moment. Dans l'ensemble ça se laisse regarder.
Dans une mise en scène très maladroite, Daniel Barnz raconte l’histoire d’une femme bloquée physiquement et surtout psychiquement depuis un accident tragique. Tentant au mieux de vivre avec, elle transpose son histoire sur celle d’une femme qu’elle ne connaît pas. Interprété par une Jennifer Aniston qui surprend, le personnage principal est gratuitement complexe. En effet, si l’actrice donne le meilleur d’elle-même, son rôle stagne à cause d’une avancée chronologique trop fade. Le fantôme de Nina sonne faux et gâche l’ensemble à cause d’une Anna Kendrick trop candide. Enfin on regrette les trop courtes présences de Felicity Huffman et de William H. Macy qui sont ici, semblent-ils seulement pour l’affiche. Cake aurait pu être un beau drame, mais le réalisateur a abusivement sophistiqué l’ensemble. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Depuis la fin de son aventure avec Friends, Jennifer Aniston aura mis des années avant de pouvoir prouver qu'elle est une grande actrice. Ce film le démontre et rappelle qu'un bon film ne repose pas uniquement sur la prestation de ses acteurs mais aussi et surtout sur la qualité de son scénario. Jennifer Aniston a su la déceler. Espérons qu'elle continuera sur cette voie.
J'ai été emporté par ce film boulversant. Avec les larmes aux yeux un beau film sur une quarantenaire dépressive qui a se drogue aux anti dépresseurs a cause de la perte de quelqu'un d'important. Anna Kendrick est magnifique et superbe comme d'habitude dommage qu'elle ai un rôle très secondaire. En bref ce film est magnifique et entrainant. Un chef d'oeuvre absolu
Certes Jennifer Anniston nous prouve qu'elle est une bonne actrice, mais ce n'est pas pour autant que le film est réussi. Long, ennuyant, un sentiment de déjà vu indéniable. Un bon point pour le casting.
Mon avis concernant ce film reste très partagé. L'histoire en elle même ne sort pas des sentiers battus et été revisité maintes maintes fois. La mise en scène est trop légère voir totalement inexistante et quelques scènes sont lassantes. Cependant, on notera l'excellente performance de Jennifer Aniston qui est le gros point positif de ce film. Petite reine des comédies romantiques, elle nous embarque dans le récit éprouvant de Claire Bennett, une femme aigrie et dépressive qui se questionne sur la vie et la mort. Elle a pris de gros risques pour ce rôle et le résultat est convaincant.
N'hésitez pas à regarder ma critique filmé de ce film pour plus de développement.
Jenifer Aniston prouve qu'elle est une grande actrice, malheureusement Cake se perd dans un scénario trop hésitant pour nous emporter avec lui. Dommage.
J'aurais dû lire les critiques presses - qui étaient mauvaises - au lieu de m'embarquer dans cette galère. On tourne en rond ! Au bout d'une heure l'action s'est limitée à une coucherie avec le jardinier et une expédition dans une pharmacie mexicaine pour acheter des anti-douleur. Film d'un ennui absolu.
Bref, on découvre avec plaisir ce que l’actrice a à nous offrir en terme de jeu et de drama en étant assez cash dans son interprétation et très efficace avec son humour noir. Son personnage, Claire, est juste la parfaite californienne détestable avec un cynisme décapant!Mais là où ça pêche, c’est du côté du rythme, de la mise en scène et de l’histoire en elle même.
Côté rythme, c’est LENT…. Pourquoi? Car entre être allongée dans sa voiture et vautrée sur son lit, on ressent vite de la claustrophobie et de l’ennui. Ok, Claire est déprimée, mais encore?
Claire est dans la souffrance psychique et physique donc elle passe la plupart de son temps à soupirer, se courber, s’agripper de douleur. Tout mouvement est souffrance mais cela parasite vite le film. Est-ce que d’autres scènes auraient pu remplacer certains de ces moments? Des scènes plus impactantes sur l’évolution du personnage?
Heureusement d’autres protagonistes (lire la suite le blog)
Jennifer Aniston change de registre et s’attaque au drame. Dans Cake, elle incarne Claire Bennett, une quarantenaire accro aux anti-douleurs et fascinée par le suicide d’une des membres de son groupe de soutien. Un événement qui la pousse enfin hors de son lit et qui pourrait indirectement lui permettre de sortir de sa dépression. Déjà en 2002 avec The Good Girl, Jennifer Aniston essaye vainement de casser son image de sympathique Girl next door, image cristallisée par le personnage de Rachel Green dans Friends. Elle retourne alors très vite aux comédies potaches qui ont achevé de faire d’elle une véritable star auprès du public. Avec Cake qu’elle co-produit, l’actrice tente de nouveau le coup et s’en sort bien mieux. En fait, on imagine pas une autre personne dans ce rôle très attachant et dont la douleur ne l’empêche pas d’être...
Venez découvrir ma critique dans son intégralité sur mon site ScreenReview !
Une grande partie du mérite de ce film poignant repose sur la performance de Jennifer Aniston, dans un registre dramatique que l'on ne connaissait pas. Sans effets superflus, sans gros sabots, le réalisateur nous expose les effets d'une profonde dépression sur une jeune mère de famille qui vient de connaître la douleur de perdre son jeune fils. Pas de pathos, pas de mouchoir, mais le mal de vivre de chaque instant parmi ses fantômes. Il ne se passe pas grand chose dans ce film, mais la progression de la narration par petites touches, par des rencontres successives, nous emmène peu à peu dans le tréfonds de l'âme de cette Américaine vivant dans un monde privilégié et qui a tout perdu. Du grand art.
Le pitch de "Cake" est à vomir : une mère (Jennifer Aniston) fait le deuil de son fils. On imagine sans peine la quadra en pleine dépression, les flash-back nimbés de lumière et l'épilogue courageux. Cake déjoue la plupart de ces pronostics cyniques : un épilogue hélas hyper-prévisible mais pas de flash-back larmoyants. Et une quadra dont la dépression est à la fois plus réaliste et plus émouvante qu'on le craignait. Car non contente d'être dépressive, Jennifer Aniston (sans maquillage et le visage couturé de cicatrices) est méchante : méchante avec sa psy qu'elle terrifie, méchante avec sa bonne mexicaine qu'elle exploite (Adriana Barrazza qui jouait à peu près le même rôle dans Babel), méchante avec son ex qu'elle a viré .... Cette méchanceté fait rire - jaune - et réfléchir sur les ressorts du deuil.
Le film est décevant et ennuyeux. Jennifer Aniston que j'aime beaucoup ne m'a pas convaincu. Je ne comprends pas les notes aussi élevées des cinéphiles ! (3.8 de moyenne au moment où je suis allé le voir...)