Votre avis sur The Disaster Artist ?
3,5
Publiée le 11 mars 2018
Un film sur un film. Et quel film ! Personnellement, je ne connaissais pas ni le film ni l'histoire de "The Room" (2003). Au début, je me suis irrité de ce réalisateur qui fait tout, excentrique et narcissique, et qui véhicule quelque peu l'image agacée que j'ai assez souvent du cinéma américain (il est vrai que certains sont un peu comme ça, cherchez dans vos références cinématographiques !). Des films qui finissent parfois à... Cannes (mais si, mais si !). Toutefois, totalement neuf par rapport au sujet, j'ai fini par prendre plaisir à cette caricature tout en comprenant qu'elle n'était pas du tout volontaire. Le film dans le film c'est toujours un peu périlleux : qu'est ce qui va être traité ? Le film qui raconte le film ? Ou le film qui justifie qu'on le raconte ? L'équilibre est ici bien trouvé, de sorte qu'on ne s'ennuiera pas ni d'un aspect ni de l'autre. Mais pour autant, ça ne me donne pas envie de voir "The Room". Vraiment pas !
3,0
Publiée le 11 mars 2018
C'est assez difficile de noter ce film car il tout à fait particulier, hors de sentiers battus.
Mais dans l'ensemble j'ai bien aimé.
L'acteur James Franco, par ce film, a souhaité raconter une histoire véridique.
Ce n'était pas forcément nécessaire de faire connaître aux gens cette histoire, mais son souhait se respecte et le résultat final est pas mal.
Voilà l'histoire racontée : Cela parle d'un type qui s'appelle Tommy Wiseau, mais son âge, son lieu de naissance et l’origine de ses moyens financiers restent inconnus. Son allure gothique, cheveux noirs très longs, teint pâle, dégaine de hard-rocker, ne peut passer inaperçue. Surtout, il possède un étrange titre de gloire. Au début des années 2000, sans producteur ni réseau, il a financé lui-même, à Los Angeles, un long métrage au budget non négligeable (6 millions de dollars), "The Room", dont il est à la fois le scénariste, le réalisateur et l’acteur principal. Il a aussi assuré les frais de sortie et de publicité de ce mélodrame, shakespearien à ses yeux, mais qui a fait se tordre de rire des salles entières par son amateurisme, au point de susciter un culte moqueur pendant des années, notamment à Hollywood, car ce film fut un immense bide très risible.
Voilà, comme je le disais James Franco a souhaité nous raconter cela et même si on s'en fout un peu, ce souhait est tout à fait respectable, d'autant que c'est assez réussi et marrant.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 11 mars 2018
Vous avez vu les notes de la presse et des premiers spectateurs ? Ils ont ouvert les yeux pendant la séance ?
Il faut être décadent, snob, complètement masochiste pour acheter des billets pour voir ce film. Qui n’est pas nul, ni même « Z », mais rien, moins que rien.
Le vocabulaire n’atteint pas 500 mots. Le seul suspense du scénario reste : d’où Wiseau tenait tant d’argent pour bullshiter aussi grave, et comment les Franco ont fait pour trouver un producteur. Le mystère, non divulgué, est entier. Un remake des deux dans 30 ans, où on le saurait à la fin ?
Je vais toutes les semaines au cinéma et il y a plus de 5 ans que je n’avais pas vu an so « incredible », « unbielivable » comme ils disent, ramassis de clichetons et d’invraisemblances.
Restons un chouïa constructif: Franco ainé a un potentiel de barge caractériel assez puissant. Mais autrement, Lord, ils n’ont même pas l’excuse d’avoir un régime d’intermittents pour gagner leur vie de façon si lamentable.
Je préfèrerais faire caissière à Carrefour que de jouer dans une nullité pareille, au moins je n’aurais pas honte !
2,5
Publiée le 11 mars 2018
Personnellement, je ne suis pas fan de James Franco, l'acteur comique. Il en fait des caisses, ose tout certes, mais il a des problèmes de rythme, il aligne les répliques incongrues en espérant faire mouche et il cannibalise l'écran et l'attention pour créer du vide. Sa synergie en tant que pendnt comique de Seth Rogen joue en sa défaveur je trouve, tant Rogen, qui est lui un pur comique, fait de chaque réplique un délice quand Franco peine à tirer l'ordinaire vers le sublime (l'apanage du comique donc). Mais là, Franco a trouvé un modèle qui lui convient parfaitement. Son interprétation de Tommy Wiseau est particulièrement convaincante. Caricature du vrai Wiseau, Franco s'en donne à cœur joie et son côté excentrique, qui sonne sifaux d'habitude, est ici pleinement pertinent et mis en valeur. Son accent improbable, sa dégaine louche, son regard torve, son look too much, Franco est parfait de bout en bout, incarnant ce personnage avec à la fois du recul et une bonne dose de 1er degré. Et James Franco étant un bien meilleur acteur que Tommy Wiseau, cela donne une excellente interprétation. Narrativement, le scénario est fluide, sans flashback, prenant quelques libertés inévitables avec la réalité et se concentre presque exclusivement sur le duo. C'est donc une comédie plutôt drôle, qui se rit de ses personnages principaux, distillant quelques gags réussis mais on peut aussi légitimement se demander ce qui est vraiment drôle là-dedans. En effet, le film se moque du film et de Wiseau, mais la plupart des éléments comiques viennent de l'histoire vraie en majorité. Quel est donc l'apport du film sur ce qu'on sait déjà ? Franco et son équipe sont parvenu à refaire 20 minutes du film original, en copiant le style visuel et la gestuelle des acteurs, mais au fond, pourquoi ? Cela donne un parallèle intéressant à la fin mais quel est le but de tout ça ? Le fait de reposer la question nous emmène à la réponse suivante : nul part. La mise en scène de Franco est bien trop lisse, trop illustrative, jamais il ne semble apporter un point de vue sur cette aventure, jamais il ne semble vouloir dévier des faits réels. Wiseau a validé, selon les dires de James Franco, 99,9% du film. On est bien loin de la fable acide qu'on pouvait nous vendre. On se retrouve donc face à une hagiographie certes drôle mais jamais subversive. Franco et ses scénaristes ne comblent aucun trou, ne cherche jamais à remettre en cause le comportement du personnage, ils le jugent ridicule et inapte à faire du cinéma, tout simplement. Même la petite pointe d'émotion finale ne fonctionne pas. On ne ressent pas, dans la mise en scène, l'effondrement du personnage. On rit de voir ce pauvre homme se planter, on est content de voir les coulisses de certaines scènes devenues cultes mais on est jamais complètement avec lui. Franco se bornant à l'imitation, il n'en a que l'apparat, jamais sincère dans le fond. Le numéro est réjouissant j'en conviens, mais reste vain et superficiel. Et c'est là où la comparaison avec « Ed Wood » est douloureuse. Tim Burton est un meilleur réalisateur que Franco, c'est une cause entendue, mais il y avait de l'amour sincère pour Burton envers ce héros malheureux de l'histoire du cinéma, qui aimait profondément le cinéma. Là, Wiseau n'étant pas un cinéphile mais juste un mec plein aux as désirant percer à Hollywood, ça donne un film cynique, parfois désagréable et méchant, qui fait de la psychologie sommaire (encore une histoire d'amitié entre hommes traitée sur un mode crypto-gay !) et qui se contente de rires faciles. Le film n'est pour autant pas désagréable à suivre, il est mené à un bon rythme et on peut le trouver hilarant, mais il lui manque une flamme, l'étincelle de passion sincère qui aurait dû guider l'auteur. En résulte donc une comédie propre mais mesquine, qui vaut surtout pour quelques numéros d'acteurs et la découverte sans doute fascinante pour ceux qui ne connaissaient pas l'histoire ou bien des fans, apparemment satisfaits de retrouver ces moments gênants reprendre vie devant eux. Mais là encore, dans quel but ? D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
5,0
Publiée le 11 mars 2018
Golden Globe du meilleur acteur de comédie, James Franco était également nominé au Golden Globe de la meilleur comédie. Un film superbe, une mise en abime d'une mise en abime qui en dit tant sur ce qu'est un artiste. Encore une fois bien dommage qu'il soit si peu distribué.
4,0
Publiée le 12 mars 2018
En voilà une très bonne surprise ! A l'instar de "Ed Wood" où Johnny Depp campait le rôle-titre du réalisateur atypique, "The Disaster Artist" raconte la folle histoire de Tommy Wiseau, personnalité mystérieuse et dingue venue d'une autre planète, qui décide de conquérir coûte que coûte Hollywood par son talent et son génie discutables. Malgré son ambition sans limites, ses rêves se voient rapidement compromis et l'idée folle de créer son propre film de A à Z émerge, créant ainsi le pire nanar de l'Histoire du cinéma : "The Room" ! Succulent, hilarant et fidèle à l'oeuvre originale et à son créateur, on est conquis dès les premières répliques de James Franco, qui interprète avec brio ce réalisateur totalement barré. Il ne faut pas oublier Dave Franco, son acolyte (mal)chanceux qui va le suivre aveuglément dans toute son aventure cinématographique. La force de cette amitié improbable est l'un des fils rouges de "Disaster Artist" ! Au delà de l'aspect comique, il y a ce personnage dont on ne sait rien, insensible et imprévisible, qui ne vit que pour réaliser ses rêves : métaphore de notre ambition exacerbée représentée par un pur outsider de la sphère hollywoodienne. Pour lui, ce qui nous fait mourir de rire est à prendre au premier degré, il croit sincèrement réaliser un chef-d'œuvre et c'est ce décalage énorme qui en fait un personnage attachant et touchant. James Franco donne une seconde vie à "The Room" en faisant l'éloge de sa création, de son origine à sa première, en suivant un chemin de traverse sinueux pour atteindre la célébrité tant convoitée. Les rebondissements s'enchainent, l'ensemble de la salle se marre, non pas à cause de gags mais à cause de cette folie foisonnante du pire acteur au monde. Sa ténacité, sa foi et son égocentrisme rendent le personnage de James Franco fascinant, dont la performance dépasse le pur mimétisme assistée de prothèses. L'Oscar lui serait revenu d'office, écrasant pour sur la performance de Gary Oldman. Cette vision jusqu'au-boutiste de ce perdant infini nous touche, remet en question nos rêves oubliés et notre ambition sans cesse remise en question ! Derrière ce portrait vouée à l'échec se cache un espoir et une folie créatrice qui fait le plus grand bien !
4,5
Publiée le 10 mars 2018
James Franco revient en pleine forme en incarnant Tommy Wiseau, réalisateur du célèbre nanar « The Room », sorte de triangle amoureux dramatique. On y découvre ainsi la rencontre entre Tommy et Greg, leurs espoirs de cinéma et leurs ambitions, puis le tournage et les coulisses du film, jusqu'à son avant-première officielle. Franco est complètement bluffant et surtout hilarant, ses scènes de tournage et son comportement sont à mourir de rire. Cependant, ces moqueries restent bienveillantes car on reste très touché par son rêve absolu de vouloir faire son propre film en y mettant toute sa volonté. C'est une personne autant étrange et caricaturale qu'elle en est émouvante et sensible. En bref, un film scotchant et amusant mené par une performance saluée de James Franco.

ciephile-critique.over-blog.com
3,5
Publiée le 10 mars 2018
En 1998, dans un cours de théâtre, Greg Sestero rencontre Tommy Wiseau, un type extravagant au look gothique. Tommy qui s'avère fortuné emmène Greg à Los Angeles afin qu'ils réalisent tous les deux leur rêve de devenir comédien.

Ce qui impressionne d'emblée dans le film, c'est que cette histoire est vraie. Le Tommy Wiseau en question a réalisé The Room, film qui fut longtemps considéré comme le plus mauvais de l'histoire du cinéma à tel point qu'il en est devenu culte à Hollywood. The Disaster Artist est adapté du livre dans lequel l'opportuniste Greg Sestero raconte sa rencontre avec Wiseau, le tournage et la sortie du film.

James Franco, tout en contant cette histoire farfelue, tente de percer l'énigme Tommy Wiseau qui, sous sa personnalité extravagante, entretient le mystère sur ses origines et celles de sa fortune. Le film est intrigant et drôle et les frères Franco sont tous deux excellents.

Au final, le  mystère reste entier : Tommy Wiseau est-il un débile profond ou un artiste mégalo un brin manipulateur ?
3,0
Publiée le 10 mars 2018
Devenu l'un des nanars favoris de la communauté cinéphile, "The Room" a gagné l'amour de nombreuses personnes tant il était mauvais. James Franco s'intéresse ici à la genèse et au tournage de ce qui est devenu le pire films de tous les temps, centrant son récit autour de la personnalité excentrique de Tommy Wiseau, scénariste, acteur, réalisateur et producteur de son film, homme énigmatique dont personne ne connaît l'âge ni l'origine de sa fortune. S'octroyant le rôle de Tommy Wiseau, James Franco se glisse dans le personnage avec un mimétisme saisissant, s'emparant de son accent, de son rire, de sa démarche avec une aisance particulièrement savoureuse. A ses côtés, Dave Franco dans le rôle de Greg Sestero a déjà l'air un peu plus fade même si la complicité entre les deux frangins à la ville ne fait aucun doute. Là où le film est très fort, c'est que tout en nous montrant les caprices de Wiseau et offrant quelques éléments de réponses à certaines scènes cultissimes de "The Room", il ne tombe jamais dans la moquerie de bas-étage. Au contraire, Franco semble avoir une véritable affection pour Wiseau, artiste jusqu'au-boutiste qui n'a jamais renoncé à son rêve et qui témoigne d'une croyance en lui-même assez dingue. Franco fait de Wiseau un excentrique certes mais un doux rêveur, un dingue comme seul le cinéma semble être parfois capable de façonner. Cet amour du cinéma, mêlé à une forme d'admiration pour Wiseau tout en étant conscient de ses limites (les scènes de tournage sont hilarantes) achèvent de faire "The Disastr Artist" une déclaration farfelue mais sincère au cinéma.
1,0
Publiée le 10 mars 2018
l'évocation de cet ovni cinématographique comme de son atypique créateur s'attache à être le plus fidèle possible, notamment par la prestation de J. Franco. le second degré, les aspects de "l'artiste incompris" ou encore du rêve de devenir star qui l'habite sont bien retranscrits. mais au final, "the disaster artist" n'a aucun intérêt en lui même. difficile d'être en empathie, de supporter ces dialogues creux jusqu'au montage du film initial "the room". vraiment plombant, long et lourd!
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 10 mars 2018
Vraiment un très bon film très drôle qui vaut le détour, à voir pour comprendre l’engouement autour de The room.
4,0
Publiée le 11 mars 2018
Si on devait établir un classement des grands dingos lunaires contemporains, le nom de Tommy Wiseau y figurerait sans doute en bonne place.
Le résumer reviendrait à parler d'un extraterrestre sorti de nulle part et doté de capacités financières inexplicablement illimitées qui, un beau jour, devant les multiples refus essuyés en tant qu'acteur, a décidé d'écrire, produire, réaliser et interpréter son propre long-métrage, "The Room", aujourd'hui culte par son statut d'un des pires films du monde auprès d'un cercle de plus en plus large d'aficionados.

En choisissant de le dépeindre au travers de son amitié avec celui qui deviendra l'acteur principal de son "chef-d'oeuvre", Greg Sestero (d'après le livre éponyme de ce dernier relatant son étrange relation avec Wiseau et le tournage qui s'ensuivra), James Franco nous dresse un portrait de Wiseau proche de celui de la créature de Frankenstein, image à laquelle le film le renvoie d'ailleurs explicitement souvent. Conspué par la foule pour sa différence (son manque de talent flagrant sur lequel lui-même reste aveugle lui vaut les moqueries de tous), l'acteur est en fait décrit comme un "monstre" innocent, sans âge, à peine sociabilisé, qui, mué par sa seule conviction naïve d'être fait pour la cinéma (et ce, sans en avoir la moindre connaissance culturelle ou technique), voit tout à travers les yeux d'un grand enfant capable des plus beaux émerveillements comme des pires caprices. Un comportement si infantile qu'il va influer sur sa relation avec Sestero jusqu'à impacter tout le tournage de "The Room" car, alors que Wiseau ne semble plus pouvoir évoluer vers une forme quelconque de maturité, Sestero, lui, va grandir. Passant du statut de meilleur ami naïf galérant d'audition en audition tout comme son compère à celui d'un jeune homme avec une relation sentimentale stable et de nouvelles opportunités professionnelles, le comédien va attiser sans le vouloir la jalousie de Wiseau trahissant une peur primaire à peine voilée de ce dernier de se retrouver à nouveau seul (comme, on peut le supputer, il l'était avant leur rencontre) et creusant un profond gouffre entre eux. L'incompréhension de Wiseau face au fait que son ami ne lui soit pas totalement dévolu en l'ayant impliqué dans son projet de film trahira une fois de plus un ego d'enfant blessé qui ne peut/veut plus grandir.

Avec bien entendu beaucoup d'humour et un regard distancié plein d'ironie (mais dont le tour de force est d'éviter l'écueil du cynisme), "The Disaster Artist" nous offre par le prisme de cette relation ubuesque le making-of de "The Room" en dévoilant les secrets de fabrication de toutes les scènes et dialogues autant cultes que ridicules qui ont fait sa renommée. Aussi drôle que gênant selon les états d'âme de Wiseau, "The Disaster Artist" nous apprend, en réalité, par effet de miroir à l'explication de Sestero envers Wiseau lors de l'avant-première au coeur de l'acte final très réussi du film, à comment réellement aimer "The Room", c'est-à-dire en allant au-delà des apparences d'un simple nanar sujet à toutes les moqueries pour y voir le projet fou et pourtant mené à bien d'un doux dingue grâce au soutien d'une amitié indéfectible.
S'appropriant avec un mimétisme dément le rôle de Wiseau (son Golden Globe est amplement mérité), James Franco parvient à faire d'un véritable "désastre" une réussite qui restera dans doute comme son meilleur film à ce jour. Au moins, Tommy Wiseau n'aura pas à payer pour que "The Disaster Artist" reste à l'affiche, ses qualités suffiront à faire son succès...
3,0
Publiée le 10 mars 2018
Parce qu’il fait beaucoup penser à Ed Wood, The Disaster Artist n’est pas si original que ce qu’on voudrait nous faire croire. Si James Franco est excellent dans son interprétation de l’extra-terrestre Tommy Wiseau, on ne saura jamais si on peut vraiment rire ou pleurer devant cette histoire. Difficile de se moquer d’un homme qui a le courage insensé de vouloir aller au bout de ses rêves mais il faut bien reconnaître qu’il est tellement un mauvais acteur que l’on pourra s’empêcher de bien rire par moment à le voir reprendre des dizaines de fois une simple scène. Porté par une bande son plein de classiques des années 90, The Disaster Artist est une vraie curiosité qui mérite d’être découverte avant de se lancer dans un visionnage de The Room. [lire la critique complète sur Freakingeek.com]
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 10 mars 2018
Ce film est très drôle avec au moins 5 ou 6 scènes où j'ai éclaté de rire, le rôle joué par James franco est purement génial je vous le conseille vivement pour passer un bon moment.
3,0
Publiée le 10 mars 2018
Un film d'acteur par excellence. Franco s'offre le rôle de sa vie mais quel dommage qu'il se pense réalisateur. Le film est sympathique mais assez mal mis en scène. Franco manque de point de vue, tourne tout au même niveau et ne sait pas marquer, par sa mise en scène, les moments essentiels du parcours de son personnage. Petite déception au final.
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