Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Film culte pour quelques communautés de fans, "The Room" fascine tant pour la maladresse absolue de sa mise en scène, l'étrangeté de son scénario et la personnalité de son réalisateur, Tommy Wiseau. James Franco en fait le prétexte d'une métaphore hollywoodienne, dans la lignée de "Sunset Boulevard" ou "Mulholland Drive".
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Hilarant et brillamment écrit, "The Disaster Artist" vaut aussi beaucoup pour la formidable prestation de James Franco (...).
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Ode à l'amitié, éloge de la création, "The Disaster Artist" est un grand film. Non, soyons fou : un chef-d'oeuvre.
BIBA
par La rédaction
Imaginez un sketch du "Saturday Night Live" à rallonge qui raconterait le tournage du nanar du siècle avec James Franco dans le rôle du plus mauvais acteur du monde ! Improbable mais vrai.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
James Franco s’attaque au mythe nanar Tommy Wiseau et en brosse un portrait peu flatteur. Le film a le coeur au bon endroit.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Attendu dans sa narration et son déroulement, "The Disaster Artist" convainc grâce à l'engagement total de Franco aux côtés de son double déviant, et de la foi aveugle qu'il profère dans le 7e Art.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
On comprend ce qui a fasciné James Franco (bluffant) chez cet énergumène drôle et attachant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un formidable film, au scénario décapant, sur la création, le cinéma, Hollywood et la célébrité : culte !
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Avec le panda, le crapaud à ventre jaune, la sarracénie de Palawan et le Tang boisson orange, le nanar est une espèce en voie de disparition, il y avait urgence à le rappeler. Merci Franco.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec The Disaster Artist, James Franco fait revivre avec jubilation l'histoire d'un nanar devenu culte. Un véritable conte de fées.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) un biopic hilarant (...).
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La performance d’acteur est hallucinante, dépassant le simple stade de l’imitation assistée par prothèse. James Franco est visiblement possédé par son sujet ; c’est, sans exagérer, le rôle de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
(...) le meilleur du film est sa dimension assurément «méta», sur laquelle repose en grande partie son comique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
C'est en tout cas un authentique chant d'amour au cinéma, une ode à la ténacité créatrice même si elle est vouée à l'échec.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Plus qu'un biopic grinçant, "The Disaster Artist" est une comédie toute aussi intelligente qu'efficace dédiée à l'un des mauvais films les plus connus de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Louis Guichard
Une comédie alerte et gentiment fêlée signée James Franco.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Franco réussit la gageure d’éviter cette condescendance irritante qui gâchait ses réalisations précédentes pour coller au plus près à la folie furieuse et quasi morbide du personnage.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par Daniel Blois
Emerge ainsi le touchant portrait d'hommes et de femmes qui se fichent de leur manque de talent : ils ne savent rien faire d'autre que de l'art.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si l’on parvient à faire abstraction de ces circonstances, il reste à l’écran une comédie de moeurs hollywoodienne plutôt bien tournée, habitée par la performance de James Franco dans le rôle de cet être étrange qu’est Tommy Wiseau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marine Quinchon
Cette comédie, qui raconte la genèse et le tournage de « The Room », est un hommage appuyé à ce personnage hors-norme, sorte d’Ed Wood moderne, que James Franco interprète avec un mimétisme bluffant : les cheveux noirs et gras, l’accent d’Europe de l’Est, la performance filmique ridicule…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
James Franco livre un portrait en demi-teinte, à la fois drôle, désenchanté et plein d’empathie, sur un artiste, aussi nul soit-il.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par François Léger
Car le film prend à mi-parcours la forme d’un La La Land chez les losers, une ode aux rêveurs du cinéma, même bancal, même mauvais. C’est dans cette vision romantique du perdant jusqu’au-boutiste que le film touche du doigt son vrai sujet, trop longtemps planqué sous un masque rigolard.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Au delà de l’incroyable transformation de James Franco en Tommy Wiseau, il n’est pas sûr que les fans d’un film aussi anti-conformiste que The Room apprécient de le voir se faire réapproprier par ce que le cinéma américain a de plus mainstream.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
L’aisance de comédien de Franco cache aussi une face sombre : une carrière de cinéaste pas très éloignée de celle d’un disaster director (entre ego-trips fumeux et adaptations littéraires prétentieuses). Moins par moins égale plus. Sa rencontre avec Wiseau lui permet enfin de signer un film correct.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film ne pénètre qu’à moitié au cœur de ce qui constitue l’intérêt de l’affaire : le tournage de The Room et la médiocrité des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Servi par l’interprétation amusante de James Franco, ce récit du tournage, bien réel, d’un film si mauvais qu’il fait la joie de ses nombreux fans, pâtit d’une mise en scène faiblarde.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bande à part
Film culte pour quelques communautés de fans, "The Room" fascine tant pour la maladresse absolue de sa mise en scène, l'étrangeté de son scénario et la personnalité de son réalisateur, Tommy Wiseau. James Franco en fait le prétexte d'une métaphore hollywoodienne, dans la lignée de "Sunset Boulevard" ou "Mulholland Drive".
CNews
Hilarant et brillamment écrit, "The Disaster Artist" vaut aussi beaucoup pour la formidable prestation de James Franco (...).
Télé Loisirs
Ode à l'amitié, éloge de la création, "The Disaster Artist" est un grand film. Non, soyons fou : un chef-d'oeuvre.
BIBA
Imaginez un sketch du "Saturday Night Live" à rallonge qui raconterait le tournage du nanar du siècle avec James Franco dans le rôle du plus mauvais acteur du monde ! Improbable mais vrai.
CinemaTeaser
James Franco s’attaque au mythe nanar Tommy Wiseau et en brosse un portrait peu flatteur. Le film a le coeur au bon endroit.
Ecran Large
Attendu dans sa narration et son déroulement, "The Disaster Artist" convainc grâce à l'engagement total de Franco aux côtés de son double déviant, et de la foi aveugle qu'il profère dans le 7e Art.
Femme Actuelle
On comprend ce qui a fasciné James Franco (bluffant) chez cet énergumène drôle et attachant.
Franceinfo Culture
Un formidable film, au scénario décapant, sur la création, le cinéma, Hollywood et la célébrité : culte !
L'Obs
Avec le panda, le crapaud à ventre jaune, la sarracénie de Palawan et le Tang boisson orange, le nanar est une espèce en voie de disparition, il y avait urgence à le rappeler. Merci Franco.
Le Figaro
Avec The Disaster Artist, James Franco fait revivre avec jubilation l'histoire d'un nanar devenu culte. Un véritable conte de fées.
Le Journal du Dimanche
(...) un biopic hilarant (...).
Les Inrockuptibles
La performance d’acteur est hallucinante, dépassant le simple stade de l’imitation assistée par prothèse. James Franco est visiblement possédé par son sujet ; c’est, sans exagérer, le rôle de sa vie.
Libération
(...) le meilleur du film est sa dimension assurément «méta», sur laquelle repose en grande partie son comique.
Positif
C'est en tout cas un authentique chant d'amour au cinéma, une ode à la ténacité créatrice même si elle est vouée à l'échec.
Rolling Stone
Plus qu'un biopic grinçant, "The Disaster Artist" est une comédie toute aussi intelligente qu'efficace dédiée à l'un des mauvais films les plus connus de l'histoire.
Télérama
Une comédie alerte et gentiment fêlée signée James Franco.
VSD
Franco réussit la gageure d’éviter cette condescendance irritante qui gâchait ses réalisations précédentes pour coller au plus près à la folie furieuse et quasi morbide du personnage.
Voici
Emerge ainsi le touchant portrait d'hommes et de femmes qui se fichent de leur manque de talent : ils ne savent rien faire d'autre que de l'art.
Le Monde
Si l’on parvient à faire abstraction de ces circonstances, il reste à l’écran une comédie de moeurs hollywoodienne plutôt bien tournée, habitée par la performance de James Franco dans le rôle de cet être étrange qu’est Tommy Wiseau.
Le Parisien
Cette comédie, qui raconte la genèse et le tournage de « The Room », est un hommage appuyé à ce personnage hors-norme, sorte d’Ed Wood moderne, que James Franco interprète avec un mimétisme bluffant : les cheveux noirs et gras, l’accent d’Europe de l’Est, la performance filmique ridicule…
Les Fiches du Cinéma
James Franco livre un portrait en demi-teinte, à la fois drôle, désenchanté et plein d’empathie, sur un artiste, aussi nul soit-il.
Première
Car le film prend à mi-parcours la forme d’un La La Land chez les losers, une ode aux rêveurs du cinéma, même bancal, même mauvais. C’est dans cette vision romantique du perdant jusqu’au-boutiste que le film touche du doigt son vrai sujet, trop longtemps planqué sous un masque rigolard.
aVoir-aLire.com
Au delà de l’incroyable transformation de James Franco en Tommy Wiseau, il n’est pas sûr que les fans d’un film aussi anti-conformiste que The Room apprécient de le voir se faire réapproprier par ce que le cinéma américain a de plus mainstream.
Cahiers du Cinéma
L’aisance de comédien de Franco cache aussi une face sombre : une carrière de cinéaste pas très éloignée de celle d’un disaster director (entre ego-trips fumeux et adaptations littéraires prétentieuses). Moins par moins égale plus. Sa rencontre avec Wiseau lui permet enfin de signer un film correct.
Critikat.com
Le film ne pénètre qu’à moitié au cœur de ce qui constitue l’intérêt de l’affaire : le tournage de The Room et la médiocrité des acteurs.
La Croix
Servi par l’interprétation amusante de James Franco, ce récit du tournage, bien réel, d’un film si mauvais qu’il fait la joie de ses nombreux fans, pâtit d’une mise en scène faiblarde.