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Votre avis sur Barry Seal : American Traffic ?
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BARRY SEAL : AMERICAN TRAFFIC
Ce film est divertissant, je le conseille au Fan de la série "NARCOS" actuellement en tête de liste..
Il révèle une parti de l'ascension au sommet de Pablo Escobar en mettant en avant Barry Seal un Capitaine qui a roulé dans l'argent plus que beaucoup de monde.
Un film Biopic, Thriller et Policier. Hors des sentiers battus par rapport à ce que l'on a pu voir avec les films sur Steve Jobs le patron Apple.
Le film Barry Seals s'en sort bien. Nous pouvons être au plus prés de l'ascension du trafic de Narcotrafiquant tout en menant de loin les affaires de la CIA une agence gouvernementale spoiler: aux stratégies particulières qui nous font ressortir la tristesse du monde dans lequel on vit
. spoiler: L'agence n'est certainement pas la seule, mais elle est glissée dans le film comme le grain de sable.
En tout cas il est amusant de voir la vie d'un homme qu'on ne connaît pas pour une entreprise qui existe encore aujourd'hui, mais comme appartenant à une des plus grandes associations de "bandit".
Une histoire plein de retournement où je ne me suis pas ennuyé, mais c'est une histoire que les jeunes enfants n'en comprendront surement pas le sent direct.
Un petit 1 pour la musique, j'ai apprécié le choc des décennies
Si vous Aimé les histoires d'homme je pense que le risque d'être en dans une salle sombre quelque heure peux se transformé en bon moment..
À tous les fans de la série NARCOS FONCER!
Ce film est divertissant, je le conseille au Fan de la série "NARCOS" actuellement en tête de liste..
Il révèle une parti de l'ascension au sommet de Pablo Escobar en mettant en avant Barry Seal un Capitaine qui a roulé dans l'argent plus que beaucoup de monde.
Un film Biopic, Thriller et Policier. Hors des sentiers battus par rapport à ce que l'on a pu voir avec les films sur Steve Jobs le patron Apple.
Le film Barry Seals s'en sort bien. Nous pouvons être au plus prés de l'ascension du trafic de Narcotrafiquant tout en menant de loin les affaires de la CIA une agence gouvernementale spoiler: aux stratégies particulières qui nous font ressortir la tristesse du monde dans lequel on vit
. spoiler: L'agence n'est certainement pas la seule, mais elle est glissée dans le film comme le grain de sable.
En tout cas il est amusant de voir la vie d'un homme qu'on ne connaît pas pour une entreprise qui existe encore aujourd'hui, mais comme appartenant à une des plus grandes associations de "bandit".
Une histoire plein de retournement où je ne me suis pas ennuyé, mais c'est une histoire que les jeunes enfants n'en comprendront surement pas le sent direct.
Un petit 1 pour la musique, j'ai apprécié le choc des décennies
Si vous Aimé les histoires d'homme je pense que le risque d'être en dans une salle sombre quelque heure peux se transformé en bon moment..
À tous les fans de la série NARCOS FONCER!
Caine78
Après deux films de qualité signés par le premier, cette nouvelle collaboration Doug Liman - Tom Cruise aurait dû être une réussite, surtout avec une telle histoire, aussi incroyable que véridique. Hélas, assez vite j'ai déchanté. Il faut reconnaître au réalisateur de faire des choix pas évidents, plutôt courageux et à contre-courant de ce qui se fait habituellement, mais avec moi, la sauce n'a pas pris. Photo, rythme, traitement, humour... Je comprends où veut en venir l'auteur d' « Edge of Tomorrow », c'est juste que je n'adhère pas. Pourtant j'aime bien d'habitude les ambiances vintage (ici 80's) que l'on s'efforce de reconstituer, mais là, je trouve que ça ne ressemble pas à grand-chose. L'image est hyper pâle, et la légèreté revendiquée de bout en bout finit par être trop en décalage avec les événements pour se montrer pertinent. Alors certains me diront : c'est justement là l'intérêt du film ! Pourquoi pas, mais je ne peux m'empêcher de penser qu'il y a des sujets qui ne se prêtent pas vraiment au second degré, le trafic de drogue compris... Reste alors ce Barry Seal, joué avec décontraction et « coolitude » par Tom Cruise, ce qui est à la fois la force et la faiblesse de l'œuvre. D'un côté, voir la superstar du cinéma américain subir autant les événements, profitant surtout de la situation par opportunisme financier sans se poser la moindre question morale a quelque chose de drôle, rafraîchissant. De l'autre, celui-ci en devient creux, superficiel, au point que l'on s'intéresse parfois de loin à ses péripéties, aussi étonnantes soient-elles. Impression non compensée par des seconds rôles ayant beaucoup de mal à exister face à l' « omniprésence cruisienne », si ce n'est peut-être celui interprété par Domhnall Gleeson. Heureusement, les choses s'accélèrent un peu dans la dernière partie et le récit est tellement dingue qu'on ne peut qu'y adhérer un minimum, l'hypocrisie de la politique américaine concernant le trafic de drogue étant évoquée sans détour. Je n'en reste pas moins dubitatif quant à cette approche très légère d'un récit qui l'est beaucoup moins : tentative louable, à défaut d'être convaincante.
Film mou sans réelle consistance où les personnages sont insipides. l'omniprésence de la musique gâche assurément le déroulé de la vie de ce héros criminel souvent caricaturé. Décevant.
Dans les années 70, la CIA recrute un ancien pilote de la TWA, Barry Seal, afin de mener des missions de surveillance des Etats communistes émergents plus particulièrement en Amérique Latine.
Lors d’une de ses missions il rencontre le célèbre Cartel de Medellin dans ses débuts et accepte de faire transiter la drogue lors de ses trajets couvert par la CIA.
Barry se retrouve à la tête du plus gros trafic de drogue et mène la vie de château avec sa femme Lucy et ses enfants.
Basé sur la vraie vie de Barry Seal, American Made est un film drôle et met le doigt sur la politique secrète dictée par les Etats Unis pendant la guerre froide.
On assiste à une très belle prestation de Tom Cruise et Domhnall Gleeson dans les rôles principaux.
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
Lors d’une de ses missions il rencontre le célèbre Cartel de Medellin dans ses débuts et accepte de faire transiter la drogue lors de ses trajets couvert par la CIA.
Barry se retrouve à la tête du plus gros trafic de drogue et mène la vie de château avec sa femme Lucy et ses enfants.
Basé sur la vraie vie de Barry Seal, American Made est un film drôle et met le doigt sur la politique secrète dictée par les Etats Unis pendant la guerre froide.
On assiste à une très belle prestation de Tom Cruise et Domhnall Gleeson dans les rôles principaux.
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Ce film est tiré d'une histoire vrais et beaucoup d'action et Tom Cruise aux top de la forme , et ce qu'il a de marrant il y a quelque scène cocasse et franchement vous passer un bons moments . avis aux fan de Tom Cruise je vous conseille d'aller le voir :) ;)
Film très sympa qui me rappelle un peu blow avec J.Depp, l'histoire vraie de ce baroudeur des airs est passionnante et tom cruise excellent , sans temps mort on pourra noter quand même quelques désagréments avec des passages caméra à l'épaule qui peuvent donner mal à la tête , sinon rien à dire un bon moment de cinéma
Alors la , foncez !!!! Si vous aimez l'univers de "narcos" , vous allez adorer le fabuleux destin de ce Barry Seal !!! Un beau rôle pour le beau tom Cruise !
Barry Seal est vraiment un excellent film. C'est fun, bien réalisé, et surtout, très intéressant. C'est le film à voir absolument. L'un des meilleurs rôle de Tom Cruise à coup sûr. Un vrai coup de maître de la part du réalisateur.
D'autant plus décevant que ce film, tiré d'une histoire vraie, interprété par Tom Cruise, acteur plus que reconnu, est doté d'un scénario très mauvais. Comment peut-on imaginer même en tant qu'infiltré de la CIA, qui d'ailleurs le répudie rapidement quand les choses s'aggravent, que ce Barry pouvait continuer son trafic de cocaïne et plus grave d'armes, sans être inquiété ? J'avoue que je suis sortie perplexe, encore plus quand sa femme se met à travailler pour vendre des hamburgers avec un bracelet de fortune au poignet ? J'avoue que j'ai trouvé ce film inintéressant. Dommage...
FaRem
Second film de l'année après "The Wall" pour Doug Liman qui s'intéresse à la vie très triche de Barry Seal qui grâce à ses talents de pilote était à la fois un trafiquant d'armes et de drogues, un contrebandier et un blanchisseur d'argent. Cet homme attiré par l'argent facile n'avait peur de rien et jouait sur tous les tableaux puisqu'il travaillait pour les autorités, mais aussi pour l'ennemi à savoir le clan de Pablo Escobar entre autres. Gary Spinelli, le scénariste, revient sur les principaux événements de sa vie, mais sans forcément rentrer dans les détails du moins dans un premier temps ce qui fait que la première partie est assez redondante avec un nombre incalculable de voyages qui se ressemblent tous et qui n'apportent pas grand-chose. Heureusement que le réalisateur dont on s'aperçoit une fois de plus qu'il aime les trucs répétitifs, met pas mal d'humour dans son récit ce qui donne une histoire assez légère et fun dans laquelle on retrouve des personnages excentriques. Il s'amuse également des clichés liés à la réussite et appuie parfaitement cette brusque chute qui est la partie la plus intéressante. "American Made" n'a pas la prétention d'être un biopic et l'on s'en rend compte avec le traitement de l'histoire ou l'importance donnée aux rôles secondaires, mais le film est quand même pas mal même si je suis resté sur ma faim au niveau des scènes d'action.
bsalvert
30 ans après on retombe sur le Tom Cruise de top Gun, Cocktail etc donc qui réussit tout ce qu'il touche et s'en sort avec son célèbre sourire à n millions de dollars. Impossible de lui donner un âge non plus.
PLV : une belle réussite à l'américaine
PLV : une belle réussite à l'américaine
10 ans de trafics (notamment de drogue), avec en toile de fond une partie de l'histoire politique des USA et des pays impliqués de l'amérique du sud. la reconstitution et la construction visuelle (entre film et documentaire) sont remarquables. pour autant, on reste insensible à l'intrigue qui se déroule et aux personnages. du cinéma qui a le mérite d'exister mais qui n'apporte aucune émotion ni sensation.
Barry Seal, une histoire bizarre, un homme qui devient la coqueluche de l'administration américaine au moyen de son petit avion de touristes. On a peine à croire. Peut-être était-il un mytho qui a tout écrit de toutes pièces. Car il a écrit son histoire posthume. Une belle histoire peut-être inventer de toute pièce car l'homme est lui seul le seul témoin de cette histoire rocambolesque.
Cinememories
Une affaire peu connue devient un projet personnel pour le réalisateur de « Edge Of Tomorrow ». Doug Liman revient avec une histoire atypique et réelle dans les faits pour vendre un soupçon de nuances du côté Américain, controversé dans les années 80 de Ronald Reagan. Mais c’est avec un ton comique que le récit nous tombe dessus et on prend rapidement part à une excursion en premier classe à bord de combine et compagnie.
Sans se séparer de son acteur fétiche et toujours prêt à l’emploi des plus vertigineux, Tom Cruise incarne un Barry Seal redoutable et indéniablement malin. Les différents trafics qu’il entreprend au nom de la CIA lui permet un tremplin direct vers un marché plus ouvert et plus prolifique. Certaines figures sortent ainsi de l’ombre et on ne nous cache nullement les échanges troublants avec le cartel Medellin. La tension reste palpable mais ce sont les scènes de négociations qui créent de l’enjeu dans chaque décision que Seal prend. Il pense bien évidemment à son bien-être, mais il se soucie de sa famille et c’est un point commun qu’il trouve avec le cartel, élargissant une certaine forme de confiance vis-à-vis de ces derniers.
Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de la DEA (Agence Américaine de lutte contre la Drogue). Le gouvernement Américain soumet des représailles à l’encontre d’un livreur que leur propre système a créé. Cela illustre définitivement le manque de contrôle sur le monopole des différents agents engagés dans la lutte contre le capitalisme. On le ressent nettement dans les divers plans rapprochés qui ont l’art de capter une tension pesante sur le sort des personnages, dévoilant plus que de la fragilité. Toute cette énergie reste au service du bon divertissement, à défaut de profiter d’une mise en scène originale et perçante. En effet, il s’agit d’un schéma très recyclé, mais nous prenons un malin plaisir à suivre la débauche d’un aviateur à la fois opportuniste et chanceux.
Laissant peu de place aux rôles secondaires, Barry domine l’écran et acquiert l’indépendance qui le détache d’une Amérique vorace, gourmande et impitoyable. Le monde extérieur n’est ramené qu’à l’argent et tout tourne autour des transactions d’informations. Le développement est riche mais l’on peine souvent à le démarrer et à en finir de manière convenable. La porte de sortie d’une telle narration s’aide justement d’un cas d’école, facile et regrettablement bâclé.
Devenu une figure emblématique du genre de l’action, Tom Cruise finit par incarner un personnage charismatique, où son sourire légendaire fait le boulot. Nul besoin d’affronter tous les dangers pour sauver le monde cette fois. Il y a peu de mise en perspective de son rôle en tant qu’acteur. Il régale naturellement et l’on se permet de confondre sa prestation avec la mentalité d’une nation qui rit au nez de tous. L’objectif est certainement ailleurs, mais les similitudes font que les comparaisons coopèrent avec nos jugements du moment. « Barry Seal : American Traffic » dévoile ainsi une face cachée que dont on redoutait certaines nuances et pourtant ce qui est arrivé est arrivé. Les valeurs d’aujourd’hui ne font qu’assumer les propose de dirigeants ou de systèmes peu centralisés, c’est pourquoi des failles comme ce genres de trafic de haut vol regorge encore de possibilités d’adaptation. Pas ici pour sensibilité, mais davantage pour alerter, le trajet fut mouvementé de péripéties à la fois loufoques et amusantes. Le discours passe et on ne perd jamais trop le point de vue des différents acteurs de cette enquête.
Sans se séparer de son acteur fétiche et toujours prêt à l’emploi des plus vertigineux, Tom Cruise incarne un Barry Seal redoutable et indéniablement malin. Les différents trafics qu’il entreprend au nom de la CIA lui permet un tremplin direct vers un marché plus ouvert et plus prolifique. Certaines figures sortent ainsi de l’ombre et on ne nous cache nullement les échanges troublants avec le cartel Medellin. La tension reste palpable mais ce sont les scènes de négociations qui créent de l’enjeu dans chaque décision que Seal prend. Il pense bien évidemment à son bien-être, mais il se soucie de sa famille et c’est un point commun qu’il trouve avec le cartel, élargissant une certaine forme de confiance vis-à-vis de ces derniers.
Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de la DEA (Agence Américaine de lutte contre la Drogue). Le gouvernement Américain soumet des représailles à l’encontre d’un livreur que leur propre système a créé. Cela illustre définitivement le manque de contrôle sur le monopole des différents agents engagés dans la lutte contre le capitalisme. On le ressent nettement dans les divers plans rapprochés qui ont l’art de capter une tension pesante sur le sort des personnages, dévoilant plus que de la fragilité. Toute cette énergie reste au service du bon divertissement, à défaut de profiter d’une mise en scène originale et perçante. En effet, il s’agit d’un schéma très recyclé, mais nous prenons un malin plaisir à suivre la débauche d’un aviateur à la fois opportuniste et chanceux.
Laissant peu de place aux rôles secondaires, Barry domine l’écran et acquiert l’indépendance qui le détache d’une Amérique vorace, gourmande et impitoyable. Le monde extérieur n’est ramené qu’à l’argent et tout tourne autour des transactions d’informations. Le développement est riche mais l’on peine souvent à le démarrer et à en finir de manière convenable. La porte de sortie d’une telle narration s’aide justement d’un cas d’école, facile et regrettablement bâclé.
Devenu une figure emblématique du genre de l’action, Tom Cruise finit par incarner un personnage charismatique, où son sourire légendaire fait le boulot. Nul besoin d’affronter tous les dangers pour sauver le monde cette fois. Il y a peu de mise en perspective de son rôle en tant qu’acteur. Il régale naturellement et l’on se permet de confondre sa prestation avec la mentalité d’une nation qui rit au nez de tous. L’objectif est certainement ailleurs, mais les similitudes font que les comparaisons coopèrent avec nos jugements du moment. « Barry Seal : American Traffic » dévoile ainsi une face cachée que dont on redoutait certaines nuances et pourtant ce qui est arrivé est arrivé. Les valeurs d’aujourd’hui ne font qu’assumer les propose de dirigeants ou de systèmes peu centralisés, c’est pourquoi des failles comme ce genres de trafic de haut vol regorge encore de possibilités d’adaptation. Pas ici pour sensibilité, mais davantage pour alerter, le trajet fut mouvementé de péripéties à la fois loufoques et amusantes. Le discours passe et on ne perd jamais trop le point de vue des différents acteurs de cette enquête.
Barry Seal est un biopic consacré à un pilote arnaqueur recruté de manière officieuse par la CIA afin de mener à bien l'une des plus grosses opérations secrètes de l'histoire des Etats-Unis. L'intéressé passera au fil du temps du trafic des cigares cubains, aux photographies des camps d'entrainements des sandinistes tout en agrémentant ses voyages de livraisons de drogue du cartel de Medelin aux Etats Unis.
Bien entendu, ce mélange des genres ne pouvait pas bien se terminer pour son principal protagoniste.
Barry seal: American traffic est un biopic intelligemment réalisé de Doug Liman (Monsieur et Madame Smith...). Le film pointe du doigt la politique étrangère des Etats Unis durant les années 80, la lutte cynique de Reagan contre les sandinistes et l'activité des Narcos du cartel de Medellin. Une maxime s'impose à l'époque: la fin justifie les moyens. Personnage central de l'échiquier, Monty Schafer, personnage intrigant et manipulateur qui débauchera Barry Seal pour finalement le perdre.
L'équation du film est un peu faussée avec Tom Cruise qui prête ses traits sympas au personnage principal. Je dois dire que j'avais peur que le film soit un peu "rond et trop policé" avec Tom Cruise à sa tête mais il n'en est rien. Barry seal est un biopic intéressant qui oblige les Etats Unis à se regarder "droit dans les yeux". Le film est à mettre dans la perspective d'Infiltrator et de la série Narcos.
Le film est doté d'un très bon casting: Tom Cruise (Barry Seal), Sarah Wright (son épouse), et Domhnall Gleeson (Monty Schafer).
A noter une très belle photographie fidèle aux années 80...
Bien entendu, ce mélange des genres ne pouvait pas bien se terminer pour son principal protagoniste.
Barry seal: American traffic est un biopic intelligemment réalisé de Doug Liman (Monsieur et Madame Smith...). Le film pointe du doigt la politique étrangère des Etats Unis durant les années 80, la lutte cynique de Reagan contre les sandinistes et l'activité des Narcos du cartel de Medellin. Une maxime s'impose à l'époque: la fin justifie les moyens. Personnage central de l'échiquier, Monty Schafer, personnage intrigant et manipulateur qui débauchera Barry Seal pour finalement le perdre.
L'équation du film est un peu faussée avec Tom Cruise qui prête ses traits sympas au personnage principal. Je dois dire que j'avais peur que le film soit un peu "rond et trop policé" avec Tom Cruise à sa tête mais il n'en est rien. Barry seal est un biopic intéressant qui oblige les Etats Unis à se regarder "droit dans les yeux". Le film est à mettre dans la perspective d'Infiltrator et de la série Narcos.
Le film est doté d'un très bon casting: Tom Cruise (Barry Seal), Sarah Wright (son épouse), et Domhnall Gleeson (Monty Schafer).
A noter une très belle photographie fidèle aux années 80...
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