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    Sing Street
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    172 critiques spectateurs

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    Gfa Cro
    Gfa Cro

    53 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 novembre 2016
    Vu il y a 5 jours

    Très bien

    On peut même le revoir. Je pense qu il faudrait 3 visions pour que je m en lasse. Je ne met "que" 4.5/5 parce que je n ai pas particulièrement envie de le revoir de suite.

    Textes et musiques réussies, on ressent un grand amour pour la musique en général. Je ne suis pas assez connaisseurs pour apprécier les jugements à l emporte pièce du grand frère. On ressent quand même un grand enthousiasme du réalisateur.

    La relation entre les deux frères est importante tout au long du film. J ai quand même été surpris qu elle atteigne un tel point au moment du bateau. Une agréable surprise car en une scène, cette relation évolue beaucoup.

    La répétition du bal de promo m a fascinée car on y voyait la dizaine de participants du début -la réalité- et l intention du chanteur, ce qu il croyait vivre. Cette scène m a beaucoup plu pour ce qu elle montre autant que ce qu elle suggère.
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2016
    Que de bonne humeur dans ce film ! Adolescence dublinoise ponctuée des difficultés économiques des années 80. Créativité musicale, audace de s'avancer sur le devant de la scène pour conquérir une jolie jeune fille. Et puis, l'église... Ah l'institution scolaire catholique fondée sur le culte de la virilité et de la soumission à la conformité ! Le divorce n'est pas autorisé à cette époque : ne plus s'aimer et vouloir se séparer est hors-la-loi. Quand la foi se mêle de diriger la société, c'est que plus rien ne va.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    134 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2016
    Tout dans cette replongée dans l'ambiance des années 80 donne des frissons de joie d’émotions. Le film est un coup de coeur de Bulles de Culture.
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    J'ai un faible (et c'est peu dire) pour l'Irlande, aussi bien pour le côté nature -sublime- que pour le côté humain, musical et artistique -prolifiques pour un si petit pays-, et historique -une histoire souvent déchirante et produisant des grands hommes. Cette sympathie a été déterminante pour le nombre d'étoiles de ma critique, mais pas seulement.

    Dans les années 80/85, un lycéen pris dans le chaos familial, dans une Irlande économiquement fragile, change d'école et retourne dans le public -assez chaotique aussi- pour des raisons financières. Il va monter un groupe de musique rock avec d'autres élèves pour conquérir le coeur d'une jeune femme dont il est éperdument amoureux. Jusque là, rien de plus banal comme histoire. On se croirait dans un énième teen-movie musical.

    Mais c'est sans compter :

    Une BO excellente, avec des tubes des années 80 plus de nouvelles compositions de Gary Clark vraiment à découvrir. Ma préférée : celle sur le mannequin.
    Des couleurs, une façon de filmer qui rappelle les films des années 80 et quelques clins d'oeil : un véritable bain de jouvence, sans nostalgie, pour celles et ceux qui étaient jeunes à l'époque et une histoire qui donne confiance en la vie pour les spectateurs "post- eighties".
    En arrière-plan une critique pince-sans-rire pleine de la société irlandaise.
    De jeunes acteurs épatants, dont les différents looks de rockeurs sont très réussis
    Les dialogues : du franc parler, de l'insolence, de l'humour avec de savoureux accents irlandais.
    Surtout une énergie folle, une grande bouffée d'oxygène, comme je le disais un appel à la confiance en l'avenir, malgré la grisaille de la vie,

    En quelque sorte la quintessence de ce qu'on ressent lors d'un voyage en Irlande.
    raphaelK
    raphaelK

    16 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2018
    En parvenant à nous garder dans le rythme durant ces passages musicaux – où il se permettra même une sympathique référence à Retour vers le futur et à La Fureur de vivre – le réalisateur évite que l’ennuie ne s’installe, comme cela pouvait parfois être le cas avec Once ou New York Melody. SING STREET apparaît au final comme la continuité des deux précédents films de Carney, avec davantage de maîtrise et une sensibilité personnelle toujours plus forte.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    411 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2016
    Écrite avec le cœur, cette ode énergique et rafraîchissante à la musique, à la liberté mais aussi à l’amour enchante. Jamais aussi bon que quand il s’agit de mettre en scène la musique, Carney penche vers une réalisation presque clipesque, notamment pour mettre en scène des envolées musicales tantôt rêvées tantôt endiablées. Une réussite !
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    62 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    Véritable coup de cœur personnel au dernier Festival du cinéma américain de Deauville, « Sing street » est ce qu’on peut appeler un film réussi ! Véritable feel good movie à tendance musicale, ce film insuffle un vent de légèreté, d’audace et de valeurs qui nous font du bien ! Mélange improbable de films d’adolescents qui sent bon « Breakfast Club » et porté par une bande originale des plus réjouissante, ce film place la ville de Dublin au centre de notre attention. D’ailleurs, les années 80’ riment avec récession économique et nombreux sont les Dublinois qui partent par bateau pour tenter de trouver du travail en Angleterre.

    C’est dans ce contexte difficile que nous retrouvons Conor, interprété par le jeune irlandais Ferdia Walsh-Peelo. Eblouissant dans son rôle, ce jeune musicien et chanteur de 16 ans nous livre ici sa première performance cinématographique. Quel naturel ! Gageons que nous entendrons encore parler de lui ! Accompagné à l’écran d’une bien belle façon, Lucy Diana Boynton (Raphina à l’écran), jeune britannique de 22 ans, ne laissera pas Conor indifférent. D’ailleurs ce dernier s’est lancé comme défi de constituer un groupe de musique afin de se rapprocher de la belle, de lui dédier ses chansons et de la faire apparaître dans ses clips ! Vous l’aurez compris, le véritable challenge ne sera pas tant de savoir si elle sera conquise… Nous par contre, nous le sommes !

    Forcément, pour monter un groupe, il faut des musiciens ! Et c’est avec beaucoup d’optimisme que Conor caste ses acolytes dont la plupart sont à son bahut. Chacun apporte son expertise, sa vision du rock : d’ailleurs ils se chercheront beaucoup pour évoluer et trouver peu à peu « leur son » que Conor appellera « futuriste ». Ces scènes sont l’occasion pour le spectateur de se régaler tant l’humour est omniprésent !

    Nombreux sont les acteurs « locaux » (entendez par là Irlandais) qui composent le casting. Nous ne pouvons taire leurs noms tellement leur performance est remarquable. Mark McKenna incarne l’ami de Conor, ainsi que les autres « musiciens » et proches apparaissant dans le film : Conor Hamilton, Karl Rice, Ian Kenny, Percy Chamburuka pour n’en citer que quelques uns. Pourtant, tous concourent à faire de ce film une petite pépite d’humour et de bonne humeur très contagieuse.

    Ce long-métrage nous rappelle nos films d’enfance qui sentent bon l’amitié vraie, les premiers amours, l’insouciance des débuts et une musique au service de l’ensemble. Néanmoins ce serait réducteur que de ne parler que de ces éléments, certes très agréables, sans évoquer d’autres, plus sombres, qui apportent une belle densité à l’ensemble.

    L’œuvre proposée est l’occasion pour le réalisateur de régler ses comptes avec ce qu’il a connu : une éducation catholique psycho rigide et dépassée, en décalage total avec la jeunesse. Aussi, l’éclatement familial est traité avec beaucoup de finesse : Comment continuer à vivre ensemble lorsque l’on ne s’aime plus ? Rappelons qu’à cette époque, le divorce était tout bonnement interdit (il sera autorisé en 1996 !). Les enfants sont souvent livrés à eux-mêmes et ne se retrouvent véritablement que devant la tv et l’émission « Top of the Pop » dont est fan le grand frère.

    Parlons-en justement ; celui-ci est interprété par le très touchant Jack Reynor (à l’affiche de « Transformers 4 », « Macbeth », et « Glassland ») et sera là pour soutenir la famille. Plus qu’un second rôle, il sera véritablement le mentor du héros. Sa performance est éclatante, émouvante et très sincère. Il sera celui qui a arrêté de se battre pour sa liberté, qui n’a pu trouver la force de fuir ce quotidien pour embrasser ses rêves. Désormais son but est de les vivre par l’intermédiaire de son jeune frère, Conor. Il l’initiera au Rock, partagera ses opinions et plus important que tout…sera toujours là pour son petit frère.

    Vous l’aurez compris, plus encore qu’un film d’adolescent, il s’agit aussi d’un film sur la famille. Saluons d’ailleurs les performances très crédibles des parents du héros joués par Maria Doyle Kennedy et Aidan Gillen (qui interprétait l’excellent Maire de Baltimore Thomas Carcetti dans la série culte « The Wire », mais aussi Lord Petyr "Littlefinger" Baelish dans « Game of Thrones »).

    Le réalisateur irlandais John Carney n’en est pas à son premier coup d’essai puisqu’il nous a déjà livré le très pétillant « New-York Melody » avec Keira Knightley et Mark Ruffalo. Pour autant, c’est la première fois qu’il tourne avec des acteurs aussi jeunes. Il leur laissera d’ailleurs tout le champ de jeu possible en favorisant l’improvisation de ces jeunes talents.

    Puisque les lieux de tournage ont très peu évolué depuis les années 80, il était facile de reconstituer cette temporalité. John Carney a eu cependant l’intelligence de proposer une patte moderne à sa réalisation afin de ne pas perdre le spectateur dans un décalage trop important et ainsi le laisser sur le bord de la route. Pour l’heure, avec son nouveau film, le metteur en scène dépasse le film musical et même le stade du microcosme d’un teenager chantant l’amour. Il nous livre ici une ode à l’enfance qui s’en va, aux liens du sang, à l’amitié et à l’amour qui naît. Et plus important que tout… un film centré sur la poursuite de nos rêves.
    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2018
    Un film vraiment sympathique, attachant et investi apparemment d'une vraie sincérité, bien interprété de surcroît et donc à découvrir !
    natlin 06
    natlin 06

    29 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2017
    tres bon film sur l'histoire des sing street, beaucoup de groupes se montent de cette facon,
    on suit l'evolution du groupe, de la creation aux premieres scenes, le tournage du clip est super marrant
    et les morceaux interpretes sont super, vraiment bien
    Michel C.
    Michel C.

    272 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2016
    Quel plaisir .. "un lundi au soleil".....! et de tomber par hasard sur un réalisation fraiche et pleine de vie. Très sympa, la naissance d'un groupe, très jeune groupe avec du talent à revendre, une jeune pousse très prometteuse Lucy Boynton (Raphina). Les musiques sont tip top, ambiance des 80', le tout pour assurément mettre le moral au beau fixe !!
    Sandrine S.
    Sandrine S.

    21 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2016
    J'ai adoré !!! Un très très bon film !!! Très rafraichissant et divertissant. Pour les amateurs de musique anglophone des années 80, comme moi, doublé d'une mignonne histoire d'amour. Une parenthèse enchantée. Go Now ! A ne pas manquer.
    Cyril J.
    Cyril J.

    26 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2017
    Dublin, années 80, résistant à l’émigration économique vers Londres, la famille d’un ado de 15 ans l’installe dans l’école catholique de Synge Street, meilleur marché, mais plus dure et humiliante. Contraint de se forger une identité pour survivre, et surtout pour séduire la fille de son rêve, il s’improvise chanteur compositeur d’un groupe amateur.
    Inspiré de ses vinyles, des clips télé et des conseils de son frère défoncé, secondé par sa petite équipe brinquebalante de potes, armés d’instruments abandonnés et d’un magnétophone pourave, la fine équipe, portée par un cœur à toute épreuve, devient Sing Street, groupe de rock de l’école se lançant à la quête de sa propre aventure.
    A travers de craquants enjeux d’adolescents, de tâtonnements musicaux créatifs et d’amours débutantes, la performance poétique de ce spectacle en fait un véritable bain de jouvence, un hymne à la joie et à l’épanouissement. Parallèlement à la métamorphose des looks, comportements et maitrise artistique, on se retrouve habilement replongé dans l’innocence naïve, la découverte de ses propres envergure et sentiments, et surtout la rage débordante d’aimer et de permettre à ses passions de s’accomplir.
    paopao2
    paopao2

    16 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2016
    C'est frais, authentique, enthousiasmant. Rempli d'humour et de tendresse. Un film à la John Hugues. À voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 novembre 2017
    Sing street se démarque par une excellente BO, une histoire d'amour adolescente plutôt classique et une nostalgie des groupes rock parfois dans le glam/trash des années 70/80 qui ont pu fleurir le paysage musical anglo-saxon. On passe un très bon moment. Il m'a juste manqué un petit piquant ou un "je ne sais quoi" qui aurait pu le rendre excellent. Sympathique !
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    L’histoire se déroule à Dublin (d’où est natif le réalisateur) en 1985. Suite aux difficultés financières de ses parents (qui se disputent fréquemment), Conor doit quitter un collège privé pour un collège catholique, « Synge Street », fréquenté par des élèves indisciplinés et dirigé par le Père Baxter, très à cheval sur le règlement (chaussures noires exigées !). Il décide de fonder un groupe de musique dite futuriste, « Sing Street » (jeu de mot avec le nom du collège) et dont il est le chanteur, avec des camarades un peu déclassés comme lui et de réaliser des clips de leurs morceaux. Rafina, guère plus âgée que lui et se faisant passer pour mannequin, participe aux tournages. Même si le thème n’est pas nouveau (groupe de musique et amours d’adolescents), le réalisateur a su donner beaucoup de rythme au film, grâce notamment, d’une part, à la musique des années 80’ (« Duran Duran », « The Cure ») et d’autre part, à la musique attribuée au groupe « Sing Street » et écrite par le réalisateur et Gary Clark. La mise en scène est très fluide, les dialogues justes (il y a vraisemblablement une part autobiographique) et drôles et les adolescents sont attachants (notamment Conor, joué par Ferdia WALSH-PEELO). .
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