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Devant "Sing Street", on rit, on pleure, on se remémore les années lycée ou l'on était capable de tout pour impressionner l'élue de son coeur (...) mais c'est surtout grâce aux morceaux originaux composés par Gary Clark et John Carney lui-même qu'on ressort de la salle conquis.
Cette comédie sociale et musicale punchy, installée dans Ie Dublin des années 1980 sinistré par la crise économique, nous embarque et nous emballe avec ses tubes de I'époque et sa belle énergie.
Au-delà de la bluette et du plaisir de vibrer au son des chansons de Duran Duran, de Hall & Oates ou des Cure et de leurs pastiches qui peuplent la bande-son, il y a la peinture attachante d’une famille en crise et de la vie à Dublin dans les années 1980.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Une réalisation fluide superpose à l’image un Dublin grisâtre et les couleurs des clips du moment. Ce film irrésistible est servi par des acteurs débutants, Ferda Walsh-Peelo en tête, à qui l’on prédit une longue carrière.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
On est dans le cinéma britannique, avec cet art qu’il a de la richesse du scénario, de la justesse des notations sociales et de la pertinence du casting. Et, dans une comédie où la musique occupe une place essentielle, cet art aussi d’accompagner l’image d’une bande-son dont le rythme confère à la narration une vitalité qui ne faiblit pas.
Pour le spectateur, c'est l'occasion de retrouver les grands tubes des années 1980 et de se laisser aller à une sorte d'euphorie délicieusement régressive.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Vous ne pourrez pas trouver de meilleur remontant que ce film dont les couplets vous hanteront bien après le mot « end », au point de vous faire fredonner dans le street, les sings de « Sing Street »...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Avec son héros exalté qui combat l'adversité en créant d'électrisantes chansons, le film dépasse la simple nostalgie d'époque (...) et ilvre un message universel sur la nécessité de se faire confiance pour mieux gagner celle des autres.
Ce film d'initiation sur la construction de soi et de sa vocation (...) est l'un des plus justes, des plus drôles et des plus délicats qu'il nous a été donné de voir. Courez-y !
Le réalisateur John Carney, agréable faiseur dans ses films précédents "Once" et "New York Melody", réussit là son oeuvre la plus personnelle, en équilibre gracieux entre cinéma d'auteur et divertissement populaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
ll faut remonter aux "Commitments" pour pister le souvenir d'un film musical aussi énergique, à "Jack et la mécanique du cœur" pour celui d'une BD aux chansons aussi uniformément enthousiasmantes, et "Pride" pour celui d'un feel good movie aussi spectaculaire et charismatique.
On applaudit à deux mains l’énergie démente d’une production qui a le mérite de sonner juste, en raccord avec deux époques, celle d’un passé moins sublimé que brillamment esquissé, et la nôtre, dans laquelle "Sing Street" percute sur toute sa mélodie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Une évocation euphorisante des années 80, accessible à tous, pour le plus grand plaisir des petits clous écoutant The Cure, Duran Duran, Simple Minds ou encore Joe Jackson.
Le réalisateur John Carney est entré dans la ruelle comme la bonne fée des contes, pour offrir à ces gamins pleins d’espoir et de crainte le clip dont ils rêvent. (...) John Carney fait cependant bien plus que travailler le contraste humoristique, tout à fait réussi d’ailleurs : il invite à voir leur rêve avant de voir le gris, à accorder à la vision grandie qu’ils ont d’eux-mêmes autant de crédit qu’à leur jeunesse présente.
Sing Street semble moins habité par une inspiration (de la musique, de l’Histoire, d’une envie de filmer) que meublé par des ingrédients d’une recette de feel-good movie trop vite prêts à l’emploi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
Devant "Sing Street", on rit, on pleure, on se remémore les années lycée ou l'on était capable de tout pour impressionner l'élue de son coeur (...) mais c'est surtout grâce aux morceaux originaux composés par Gary Clark et John Carney lui-même qu'on ressort de la salle conquis.
20 Minutes
Quel film sympathique et galvanisant ! "Sing Street", c’est un concentré de bonne humeur à base de rock et de grands sentiments.
CinemaTeaser
"Sing Street" fonctionne à plein, nourri à chaque séquence par son indéniable et communicative sincérité.
Culturopoing.com
Avec "Sing Street", John Carney ressuscite la scène rock des années 80 et livre une œuvre jubilatoire, aussi émouvante que drôle.
Elle
Ce film musical signé John Carney est une réussite, il allie avec harmonie éducation sentimentale et initiation musicale sur un ton humoristique.
Femme Actuelle
Cette comédie sociale et musicale punchy, installée dans Ie Dublin des années 1980 sinistré par la crise économique, nous embarque et nous emballe avec ses tubes de I'époque et sa belle énergie.
L'Obs
Au-delà de la bluette et du plaisir de vibrer au son des chansons de Duran Duran, de Hall & Oates ou des Cure et de leurs pastiches qui peuplent la bande-son, il y a la peinture attachante d’une famille en crise et de la vie à Dublin dans les années 1980.
La Croix
Une réalisation fluide superpose à l’image un Dublin grisâtre et les couleurs des clips du moment. Ce film irrésistible est servi par des acteurs débutants, Ferda Walsh-Peelo en tête, à qui l’on prédit une longue carrière.
La Voix du Nord
Charmeur, charmant. Le genre de film qui risque fort de s’incruster dans les rêveries des cinéphiles engagés, enragés !
Le Dauphiné Libéré
On est dans le cinéma britannique, avec cet art qu’il a de la richesse du scénario, de la justesse des notations sociales et de la pertinence du casting. Et, dans une comédie où la musique occupe une place essentielle, cet art aussi d’accompagner l’image d’une bande-son dont le rythme confère à la narration une vitalité qui ne faiblit pas.
Le Figaro
Un film jubilatoire.
Le Figaroscope
Grâce aux compositions de l’auteur-compositeur Gary Clark, "Sing Street" est un pastiche musical savoureux.
Le Point
Pour le spectateur, c'est l'occasion de retrouver les grands tubes des années 1980 et de se laisser aller à une sorte d'euphorie délicieusement régressive.
Les Fiches du Cinéma
John Carney confirme son savoir-faire en matière de comédies musicales à la fois drôles, touchantes et spontanées.
Ouest France
Un film réjouissant de John Carney.
Paris Match
Vous ne pourrez pas trouver de meilleur remontant que ce film dont les couplets vous hanteront bien après le mot « end », au point de vous faire fredonner dans le street, les sings de « Sing Street »...
Positif
Mélangeant réalisme et romantisme, la mise en scène fonce sur un rythme enjoué. Agréable.
Première
Avec son héros exalté qui combat l'adversité en créant d'électrisantes chansons, le film dépasse la simple nostalgie d'époque (...) et ilvre un message universel sur la nécessité de se faire confiance pour mieux gagner celle des autres.
Studio Ciné Live
Carney combine humour et émotion, sa partition ne contient décidément aucune fausse note.
Sud Ouest
Ce film d'initiation sur la construction de soi et de sa vocation (...) est l'un des plus justes, des plus drôles et des plus délicats qu'il nous a été donné de voir. Courez-y !
Télé 2 semaines
Énergique, drôle et tendre.
Télérama
Le réalisateur John Carney, agréable faiseur dans ses films précédents "Once" et "New York Melody", réussit là son oeuvre la plus personnelle, en équilibre gracieux entre cinéma d'auteur et divertissement populaire.
VSD
ll faut remonter aux "Commitments" pour pister le souvenir d'un film musical aussi énergique, à "Jack et la mécanique du cœur" pour celui d'une BD aux chansons aussi uniformément enthousiasmantes, et "Pride" pour celui d'un feel good movie aussi spectaculaire et charismatique.
Voici
Un petit bijou plein d'énergie, de tendresse et d'humour.
aVoir-aLire.com
On applaudit à deux mains l’énergie démente d’une production qui a le mérite de sonner juste, en raccord avec deux époques, celle d’un passé moins sublimé que brillamment esquissé, et la nôtre, dans laquelle "Sing Street" percute sur toute sa mélodie.
LCI
Une évocation euphorisante des années 80, accessible à tous, pour le plus grand plaisir des petits clous écoutant The Cure, Duran Duran, Simple Minds ou encore Joe Jackson.
Le Journal du Dimanche
De l’humour, de la tendresse, du rythme au service d’une fable sociale teintée de nostalgie mais résolument positive.
Le Monde
Le réalisateur John Carney est entré dans la ruelle comme la bonne fée des contes, pour offrir à ces gamins pleins d’espoir et de crainte le clip dont ils rêvent. (...) John Carney fait cependant bien plus que travailler le contraste humoristique, tout à fait réussi d’ailleurs : il invite à voir leur rêve avant de voir le gris, à accorder à la vision grandie qu’ils ont d’eux-mêmes autant de crédit qu’à leur jeunesse présente.
L'Humanité
[Une] comédie passe-partout qui n’est qu’une parodie enfantine de la réalité.
Critikat.com
Sing Street semble moins habité par une inspiration (de la musique, de l’Histoire, d’une envie de filmer) que meublé par des ingrédients d’une recette de feel-good movie trop vite prêts à l’emploi.
Libération
(...) un film lisse et ridicule.