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dominique P.
843 abonnés
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4,5
Publiée le 31 mai 2017
Moi qui apprécie beaucoup les films d'épouvante/horreur/surnaturel, j'ai été servie. Ce film est très efficace et percutant. Je pensais avoir du mal avec toutes les scènes d'autopsie mais comme cela est englobé dans une histoire surnaturelle, de phénomènes paranormaux, donc ça passe bien. L'atmosphère générale du film est vraiment excellente. Seul bémol : le film est trop court (1 h 25).
c'est un film d'horreur ça ?, non mais laissez moi rire , c'est trés mauvais ,c'est mou et ça n'a rien d'un film d'horreur , ni un bon thriller , rien du tout
Un peu original avec une action qui se passe à la morgue, des évènements qui intriguent au début, un bon rythme au début qui est un peu gâché dès que ça tourne à l’horreur classique, qui ne présente rien de nouveau, contrairement à un Don’t Breathe par exemple. 6/10 pour l’originalité du pitch.
La critique complète sur mon blog --> Critique du dimanche
Pourquoi The Autopsy of Jane Doe a pour titre français The Jane Doe Identity ? Parce que le mot autopsie n'attire pas le chaland ? Sans doute. De toute manière, il n'y a pas d'autre raison que le hasard qui puisse mener à aller voir ce film.
On se doute bien qu'il s'agit d'épouvante mais cela est fait de manière tellement grossière, parfois avec si peu de subtilité. On multiplie les fausses alertes pour plaisanter mais lorsqu'il faut vraiment faire peur, il n'y a plus personne, gore par contre, ça l'est, on ne compte plus les gros plans sur les cadavres qui au bout d'un moment commencent tout de même à lasser. Pourtant, il y avait de bons ingrédients. Un médecin légiste assisté de son fils dans son laboratoire situé au sous sol d'une maison. Le lieu était tout indiqué pour créer une ambiance vraiment oppressante. Alors oui, les plans serrés sur les visages, les ombres, le brouillard, les couleurs des images créent une certaine atmosphère. Mais là où la technique est à peu près correcte, les acteurs à peu près regardables, le scénario est un peu le grand absent.
Il n'assume pas de suite sa part de fantastique ou au contraire entretient mal l'ambiguïté entre le plausible et le surnaturel. Il est également bien trop prévisible. La conclusion est que l'on peut se passer aisément de cette autopsie définitivement ratée.
Je ne donnais pas cher de ce film d’horreur. Sorti depuis des mois aux USA et dans le reste du monde, peu de rumeurs et de bouche à oreille, des acteurs peu attractifs, etc...Contre toute attente, voilà une très bonne surprise. The Jane Doe Identity (The Autopsy of Jane Doe en anglais!) n’apporte rien de vraiment nouveau au genre, mais c’est très bien fait. La mise en scène est serrée, alors que le scénario est sans surprise mais réserve quelques rebondissements sympathiques (et quelques scènes peu ragoûtantes). André Øvredal a également parfaitement su faire ressentir le côté huis-clos de l'histoire, en imposant une ambiance étouffante et angoissante, un malaise qui monte progressivement, et, sans nous terroriser complètement, nous faire bien flipper tout de même. Très belle interprétation, par ailleurs, du duo Emile Hirsch/Brian Cox. Ce dernier s’en sort particulièrement très bien (il est également en tête d’affiche cette semaine de Churchill). Au final, une production européenne plutôt éloignée des clichés hollywoodiens habituels, très bien maitrisée, à l’atmosphère oppressante très efficace, qui nous offre l’un des meilleurs films d’horreur vu depuis longtemps. On signe donc sans hésiter.
Voilà un petit film d’horreur bien sympathique et comme on en voit désormais peu sur nos écrans. Partant d’un postulat de base intriguant et d’un lieu rarement exploité au cinéma, ce long-métrage se révèle concis et efficace quasiment de bout en bout. En effet, prendre une morgue comme décor de ce huis-clos et un père et son fils médecins légistes comme protagonistes principaux est une très bonne idée et convoque forcément les peurs les plus profondes et un défilé d’images peu ragoûtantes. Rien ne nous est épargné de l’autopsie de cette Jane Doe, nom que l’on donne aux cadavres non identifiés outre-Atlantique. Et si vous n’avez pas l’estomac bien accroché cela risque de vous causer quelques nausées !
Le fait de consigner l’intrigue presque intégralement dans ce lieu propice au fantastique est déjà une bonne chose, mais de la faire évoluer selon les découvertes faites dans le corps de la morte au fur et à mesure de l’avancement de l’autopsie en est encore une meilleure. Le réalisateur norvégien Andre Orvedal qui nous avait régalés de sa chasse aux trolls horrifique et iconoclaste en found-footage « Troll Hunter » change radicalement de forme ici avec ce « Jane Doe Identity ». Il exploite parfaitement les lieux en utilisant les codes du genre et quelques idées de mise en scène bienvenues tout en évitant de sombrer dans la redite des productions actuelles du genre. Les cadavres dans le frigo, les lumières blafardes, les instruments de dissection, les couloirs sombres ou encore cette fameuse clochette dont on taira l’utilité ici sont autant de vecteurs de la terreur utilisés à bon escient.
Brianx Cox et Emile Hirsch campent des personnages correctement fouillés qui ne se limitent pas à de banales victimes interchangeables des événements étranges qui se déroulent dans leur morgue de campagne. Alors bien sûr cette série B manque un tantinet d’ampleur sur la durée. On a parfois l’impression d’être devant un épisode des « Contes de la crypte » ou de « X-Files », mais c’est le genre de petit plaisir malin et bien troussé qui évite la roublardise et n’essaye pas de se prendre pour autre chose que ce qu’il est : une petite pelloche horrifique de qualité. Et même si la résolution de l’intrgue aux deux tiers déçoit un peu, on apprécie le geste comme la manière dont il est exécuté, avec humilité et savoir-faire dans un écrin soigné. Et surtout, on a le droit à une bonne poignée de frissons et d’angoisse ainsi qu’à des séquences gores plutôt réussies.
"L'autopsie de Jane Doe" (traduction du titre anglais, meilleur que le titre français) est un film d'épouvante correctement joué et bien réussi en terme d'ambiance. Sachez que c'est quelqu'un qui n'est pas fan de ce côté obscure du cinéma qui l'écrit. Pour information, il faut une vingtaine de minutes pour que les choses bizarres vis à vis du cadavre commencent, et l'action se déclenche vraiment à partir de trois quart d'heure.
excellent petit film d'horreur , original , bien réalisé et bien interprété , l'ambiance est angoissante et l'intensité monte tout au long du film pour retomber un peu à la fin mais bon j'ai passé un très bon moment d'une heure 20 même si je trouve que l'autopsie est un peu longue par rapport à la durée totale du film , je recommande quand même pour les amateurs de gore et d'angoisse
Une morgue, doublée d'un crématorium ça vous plante un décor ad hoc pour distiller le frisson. On ne s'ennuiera pas ici où la réalisation a su éviter les pièges grossiers qui parsèment en général les films d'épouvante, bien qu'on ait droit à quelques poncifs. Nous n'irons pas jusqu'à affirmer que le scénario est absolument original, mais il s'en tire rien que par le cadre de l'action, peu courant. Peu d'acteurs dans ce huis-clos, mais bons. On notera la volonté d'afficher un certain réalisme qui frise le gore, et qui demandera un estomac solide au spectateur.
The Jane Doe Identity, film d'horreur à l'américaine orchestré par le cinéaste norvégien André Øvredal réunit tous les codes de l'horreur avec intelligence et efficacité. L'idée d'introduire le mal dans un cadavre de femme dans un huit-clos s'avère sacrément tordu ! On suit la décomposition du corps mené par deux médecins légistes (le père et le fils) et veulent découvrir la vraie raison de la mort de cette femme baptisée « Jane Doe ». Une mise en scène appliquée dotée d'une ambiance vintage oppressante, voir glaçante qui rappelle le thriller malsain qu'était Don't Breathe et une poignée de jump-scares pensant au satisfaisant Annabelle : Creation. Le rythme de cette histoire s'avère dynamique avec une musique qui nous effraie davantage sans pour autant atteindre les Conjuring à la manière de James Wan... Chaque étape de la décomposition est une pièce d'un puzzle, on veut découvrir la suite et c'est pour cela que The Jane Doe Identity reste mystérieux ! La peur gagne en intensité au fur et à mesure du récit dans le but d’assister à un véritable cauchemar par la suite... Le réalisateur multiplie ses rebondissements en les rendant crédibles mais rien ne serait réussi sans la présence de ce duo talentueux ! Emile Hirsch (Killer Joe) qu'on voit que trop rarement dans le paysage cinématographique américain se révèle compétent, on s'attache facilement à lui. De même pour le père interprété par le vétéran Brian Cox (Churchill) qui possède beaucoup d'assurance à l'écran. Hormis un twist assez décevant, The Jane Doe Identity est un film d'horreur qui se démarque bien des autres productions habituelles. Il accomplit son cahier des charges en offrant quelques frissons au public. A conseiller lors d'une soirée Halloween ! Un plaisir coupable.
Un soir, la police amène le cadavre d'une jeune femme à l'identité inconnue, trouvée sur une scène de crime, dans la morgue de Tommy Tilde et de son fils Austin, médecins-légistes. L'autopsie les intrigue. Ils décident de mener leur enquête pour connaître les raisons de sa mort.
"The Jane Doe Identity" (The Autopsy of Jane Doe) est un film d'horreur américain sorti en 2017 réalisé par André Ovredal (réalisateur de "The Trollhunter"). Le film démarre comme une séance d'autopsie assez détaillée et évolue vers le film d'horreur et le paranormal. Du statut de cadavre sur une scène de crime promise à l'autopsie, Jane Doe devient le cauchemar des 2 légistes chargés de l'autopsier. La demoiselle n'apprécie vraiment pas qu'on la transforme en "planche anatomique"... Elle est extrêmement impressionnante, filmée comme un mannequin inerte avec des gros plans sur ses yeux gris et son visage inexpressif.
Le script du film est assez difficile à anticiper dès que les phénomènes surnaturels commencent à se produire. L'histoire trouve ses racines dans les sorcières de Salem et la Nouvelle Angleterre. Le film est un huis clos. Les plans sont soignés et baignent dans une lumière blanche. Sans être exceptionnel, le film demeure à mon avis supérieur à de nombreux métrages de genre tournés récemment.
Les acteurs Brian Cox (ma mémoire dans la peau, Churchill..) et Emile Hirsch (Killer Joe...) sont bons et forment un duo de légistes plein de complicité. La diaphane Jane Doe est interprétée par Olwen Catherine Kelly.
Le film a été tourné à Londres. L'issue du film n'exclut pas qu'une séquelle soit tournée dans l'avenir.