Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Insérer le mal dans un corps immobile, au visage extatique, permet de concentrer l’action dans un rayon réduit, sans aucun appel d’air. Ce qui fait de ce petit film, aussi modeste qu’efficace, à la manière d’un train fantôme, l’un des plus effrayants films d’horreur de ces dernières années.
20 Minutes
par Caroline Vié
Brian Cox et Emile Hirsch se révèlent parfaitement complémentaires en père et fils tantôt complices ou antagonistes. Leurs rapports explosifs, très bien décrits, constituent l’un des moteurs de l’action.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Orchestré par le Norvégien André Ovredal avec élégance et ingéniosité, ce film fantastique est une réussite totale : une atmosphère oppressante, d’excellents acteurs (mention spéciale à Brian Cox), la peur qui gagne en intensité à mesure que le récit multiplie les rebondissements. Jubilatoire.
Le Parisien
par Michel Valentin
Très bonne surprise que ce petit thriller fantastique ! Dans une ambiance étouffante, les deux personnages dévoilent les pièces d'un puzzle macabre dans lequel le cadavre se révèle particulièrement inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Lamm
(...) avouons qu’en dépit d’un twist décevant et d’une réalisation crâneuse, (...) le film fait non seulement suer sang et eau sur ses deux tiers mais touche aussi par son amour évident d’un bel âge d’or du cinéma de terreur - celui du début des années 80.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Le genre de plaisir simple devenu aujourd'hui si rare en salles...
Ouest France
par Cédric Page
Esthétique soignée, bouffée d'adrénaline... Entre l'atmosphère vintage des "Contes de la Crypte" et l'efficacité néoclassique de "Conjuring".
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Certes, on recense une poignée de jump-scares, mais au cœur d'une narration dont le carburant agit à coup de révélations toujours plus effroyables, l'impression d'assister à un film de terreur, intemporel, sans crétinerie adolescente, agit comme un poison capiteux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Alain Zind
Sous ses apparats modestes de petite production horrifique, "The Jane Doe Identity" propose une déconstruction malicieuse des imaginaires qu’il détourne à son compte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Le réalisateur, le Norvégien André Øvredal (" The Troll Hunters ", 2010), fait le job, et les acteurs se démènent. Les fans d'horreur vont se délecter. Les autres passeront leur chemin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les conventions de genre (sorcellerie et effets gore) annihilent quelque peu la singularité du concept sur lequel repose le film pour finalement – et paradoxalement – ramener le spectateur en terrain plus rassurant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
La belle idée du film, c'est de placer la morte des deux côtés de la frontière qui sépare le rationnel et l'irrationnel. Son corps n'est qu'analyses, prélèvements, coupes et constat froid. Et, à la fois, il est palimpseste, imaginaire, fiction ensorcelante... Toute la première partie du film joue sur cette dualité avec une belle maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Au lieu d'avoir peur, on ne cesse de râler devant toutes les erreurs commises par les malheureuses victimes. A croire qu'elles n'ont jamais vu un film d'horreur de leur vie !
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’ambition était de faire un film d’horreur à l’européenne. Les scénaristes se seraient même inspirés du Couteau dans l’eau et de Répulsion de Polanski. Pourtant, ce film d’horreur situé aux Etats-Unis, et en réalité tourné en Angleterre, ne sort pas des schémas convenus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Pascal Françaix
Il y a comme un étrange aveuglement dans cette obstination à saluer comme une audace ce qui n’est au fond qu’un nouveau cliché du cinéma horrifique, et qui risque, si l’on n’y prend garde, d’en causer la sclérose.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Deux médecins légistes, père et fils, effectuent une autopsie de routine sur le cadavre d’une femme. Mais au fil de leurs analyses, ils découvrent des choses de plus en plus inquiétantes dans le corps qu’ils examinent. Et ils sentent qu’une force mystérieuse a envahi le crématorium. Horreur de série, distillée de façon efficace : au scalpel !
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Malgré un postulat prometteur, le film se conforme aux codes du genre et échoue à les transcender.
Le Figaro
par La Rédaction
Assez intrigant au début, le mystère cède la place à des phénomènes surnaturels sans grand intérêt.
Transfuge
Insérer le mal dans un corps immobile, au visage extatique, permet de concentrer l’action dans un rayon réduit, sans aucun appel d’air. Ce qui fait de ce petit film, aussi modeste qu’efficace, à la manière d’un train fantôme, l’un des plus effrayants films d’horreur de ces dernières années.
20 Minutes
Brian Cox et Emile Hirsch se révèlent parfaitement complémentaires en père et fils tantôt complices ou antagonistes. Leurs rapports explosifs, très bien décrits, constituent l’un des moteurs de l’action.
Le Journal du Dimanche
Orchestré par le Norvégien André Ovredal avec élégance et ingéniosité, ce film fantastique est une réussite totale : une atmosphère oppressante, d’excellents acteurs (mention spéciale à Brian Cox), la peur qui gagne en intensité à mesure que le récit multiplie les rebondissements. Jubilatoire.
Le Parisien
Très bonne surprise que ce petit thriller fantastique ! Dans une ambiance étouffante, les deux personnages dévoilent les pièces d'un puzzle macabre dans lequel le cadavre se révèle particulièrement inquiétant.
Libération
(...) avouons qu’en dépit d’un twist décevant et d’une réalisation crâneuse, (...) le film fait non seulement suer sang et eau sur ses deux tiers mais touche aussi par son amour évident d’un bel âge d’or du cinéma de terreur - celui du début des années 80.
Mad Movies
Le genre de plaisir simple devenu aujourd'hui si rare en salles...
Ouest France
Esthétique soignée, bouffée d'adrénaline... Entre l'atmosphère vintage des "Contes de la Crypte" et l'efficacité néoclassique de "Conjuring".
aVoir-aLire.com
Certes, on recense une poignée de jump-scares, mais au cœur d'une narration dont le carburant agit à coup de révélations toujours plus effroyables, l'impression d'assister à un film de terreur, intemporel, sans crétinerie adolescente, agit comme un poison capiteux.
Critikat.com
Sous ses apparats modestes de petite production horrifique, "The Jane Doe Identity" propose une déconstruction malicieuse des imaginaires qu’il détourne à son compte.
L'Obs
Le réalisateur, le Norvégien André Øvredal (" The Troll Hunters ", 2010), fait le job, et les acteurs se démènent. Les fans d'horreur vont se délecter. Les autres passeront leur chemin.
Le Monde
Les conventions de genre (sorcellerie et effets gore) annihilent quelque peu la singularité du concept sur lequel repose le film pour finalement – et paradoxalement – ramener le spectateur en terrain plus rassurant.
Télérama
La belle idée du film, c'est de placer la morte des deux côtés de la frontière qui sépare le rationnel et l'irrationnel. Son corps n'est qu'analyses, prélèvements, coupes et constat froid. Et, à la fois, il est palimpseste, imaginaire, fiction ensorcelante... Toute la première partie du film joue sur cette dualité avec une belle maîtrise.
L'Express
Au lieu d'avoir peur, on ne cesse de râler devant toutes les erreurs commises par les malheureuses victimes. A croire qu'elles n'ont jamais vu un film d'horreur de leur vie !
L'Humanité
L’ambition était de faire un film d’horreur à l’européenne. Les scénaristes se seraient même inspirés du Couteau dans l’eau et de Répulsion de Polanski. Pourtant, ce film d’horreur situé aux Etats-Unis, et en réalité tourné en Angleterre, ne sort pas des schémas convenus.
La Septième Obsession
Il y a comme un étrange aveuglement dans cette obstination à saluer comme une audace ce qui n’est au fond qu’un nouveau cliché du cinéma horrifique, et qui risque, si l’on n’y prend garde, d’en causer la sclérose.
Le Dauphiné Libéré
Deux médecins légistes, père et fils, effectuent une autopsie de routine sur le cadavre d’une femme. Mais au fil de leurs analyses, ils découvrent des choses de plus en plus inquiétantes dans le corps qu’ils examinent. Et ils sentent qu’une force mystérieuse a envahi le crématorium. Horreur de série, distillée de façon efficace : au scalpel !
Les Fiches du Cinéma
Malgré un postulat prometteur, le film se conforme aux codes du genre et échoue à les transcender.
Le Figaro
Assez intrigant au début, le mystère cède la place à des phénomènes surnaturels sans grand intérêt.