Une réalisation très dynamique. Danny Boyle a au moins ça: une réalisation qui lui est propre. Après avoir vu quelques uns de ces films: 127 heures, 28 jours plus tard, Sunshine, j'ai compris le style du réalisateur. Un style dynamique, qui fait jeune, presque "photoshopé". Les plans sont souvent beau, confondant réalité et effet spéciaux par ordinateur. La tout ne fait pas très naturel, mais à un certain style, un peu rêveur.
La plage est réalisé de la même façon (peut-être tous les films de Danny Boyle ?).
Un homme partit en vacance recherche l'aventure, sortir des sentiers emprunter par les autres vacanciers, qui ne cherchent, en fait, qu'un autre "chez eux", où ils seront tranquille, loin de l'inconnu. L'inconnu fait peur. Mais notre homme, lui, aime ça, l'inconnu. Une personne va lui parler d'un endroit dit comme le paradis, une île où il n'y a personne ou presque. Pas de lois, pas de règle, chacun vie sa vie comme il le veut. L'île est inconnu, ces gens aussi. Il trouve une carte et décide d'y aller, sans oublier d'en faire une copie, après tout il est un homme, l'inconnu lui fait aussi peur.
Peu à peu le paradis va montrer des failles, notre "héros" va se poser des questions sur cette dernière, mais aussi sur lui-même.
J'ai trouvé le tout très bon, modéré, original et toujours surprenant.
Di Caprio est très bon, comme d'habitude, mais ce n'est pas son meilleur rôle.