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    Le Cas Richard Jewell
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    Alexis maj
    Alexis maj

    4 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2023
    Un excellent film réalisé par clint eastwood encore une fois, le film paraît long au vu du sujet... mais personnellement je n'ai pas vu le temps passé, un excellent casting bien choisis !
    carpdiem72
    carpdiem72

    9 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2023
    très bon film . mention spécial a Paul Walter Hauser , qui dégage une véritable empathie avec son personnage . les autres comédiens sont tous aussi bon , et le scénario , bien que parfois lent , est bien ficelé .
    Eselce
    Eselce

    1 401 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2022
    Je n'ai pas trouvé ça dingue. Aucune surprise, un scénario et des personnages prévisibles. Une mise en scène classique, un scénario classique et blindé de clichés, peu d'émotions et un personnage pas réellement attachant car semblant attardé... Décevant pour ma part, même les 15 dernières minutes ! Encore davantage car s'il s'agit d'un fait réel et que l'on ne voit presque aucune image d'archives...
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2022
    « Ricard Jewell» est un cas dans la filmographie de Clint Eastwood. En effet, jamais héros n’aura été à ce point un anti héros. Soldat médiocre, shérif adjoint débarqué, lui qui se voit en flic, sans se rendre compte que son physique de bibendum (Michelin Man comme le raille ses collègues) et surtout son comportement de toutou dont il a la servilité et un QI d’apparence à peine supérieur, le rend peu apte à un poste quelconque. Sans qualité professionnelle saillante, si ce n’est son sens de l’observation et sa gentillesse, sans professionnalisme ni compétence, il trouve finalement un job de vigile qu’il assume avec maladresse et fini dans le service de sécurité dans l’organisation de la cérémonie d’ouverture des jeux d’Atlanta. Bref, l’archè type du médiocre. Curieusement, certains ont vu une dérive nationaliste à la gloire de stars en strippes, alors que le réalisateur dynamite trois piliers des quatre qui font la base des USA, à savoir : la police (ici la plus prestigieuse : le FBI), la presse et le pouvoir politique totalement indifférent. Quant au quatrième : l’argent symbole de la finance et de la FED toute puissante (qui gouverne la planète), s’il elle n’est jamais attaquée de front, toute référence à l’argent est systématiquement péjorative. Naturellement, l’avocat ne demande pas un dollar pour sa prestation. Eastwood a beau être trumpiste, il démoli tout les symboles de la droite : récompense du travail, honneur de la patrie, spiritualité religieuse et bonheur matériel. Dans les années cinquante, certains furent traduits pour activité anti américaines devant le comité du sénateur McCarthy pour moins que ça. Ce n’est pas par hasard que Bobi Jewell s’adresse à Bill Clinton, puisque ce dernier a abrogé le class Steagall Act (ou Banking Act) de Roosevelt, ouvrant la porte aux spéculations et bulles les plus énormes, et aux crises financières qui vont avec. Certes, le réalisateur ne force jamais le trait, restant dans un niveau de lecture secondaire, comme lors de cette confrontation avec l’image du très médiatique Bill Clinton à l’écran, où le spectateur retient avant tout le numéro puissamment émouvant de Katy Bates (qui n’a pas eu l’oscar du meilleur second rôle, le film revenant bredouille des Academy Awards, tout comme « Sully » et « The Mule »). La lecture de cette étude d’une injustice peut se faire à plusieurs niveaux, ce qui est à la fois une des qualités du film mais aussi son principal défaut. Ainsi le symbolisme de la scène du bar virtuel entre l’enquêteur et la journaliste aux couleurs bleu et rouge des USA, échappe complètement à la perception, masquée par le numéro de vamp et la coucherie qu’elle suggère. C’est sans doute l’une des causes du faux rythme qui s’étale pendant 131 minutes et qui génère une impatience agaçante, sans que le montage de Joel Cox soit en cause. La pureté ascétique de « Sully » et « The Mule » qui permettait un équilibre remarquable semble ici s’éparpiller et le portrait manichéen de l’agent fédéral en charge de l’enquête (Jon Hamm) n’arrange rien, Eastwood nous avait habitué à plus de subtilité. C’est dommage, car le sujet est passionnant, s’appuyant sur une interprétation magistrale du trio central : Paul Walter Hauser (de loin sa meilleure prestation à l’écran), Sam Rockwell et Katy Bates. Tel quel le passionnant « Richard Jewell » est un grand film, et il est permis de regretter que quelques scories ci et là l’empêche d’accéder au rang de chef d’œuvre.
    Fred B.
    Fred B.

    10 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2022
    Vu le 25/08/2022.
    Un film particulier mais qui marque l'empreinte de Clint Eastwood, décidément aussi doué derrière que devant la caméra. On ne compte plus les succès de l’icône américaine mais celle-ci en fait partie.
    Eastwood a choisi de raconter l'histoire vraie de l'agent de sécurité Richard Jewell qui découvre la bombe à l'origine de l'attentat du parc du Centenaire durant les Jeux olympiques d'été de 1996 avant d'en être suspecté à la place d'Eric Rudolph.
    Et comme souvent, Clint n'y va pas avec le dos de la cuillère pour dénoncer la stupidité de certaines réactions américaines où on peut passer très vite de héros à terroriste potentiel. Excellemment bien joué par Paul Walter Hauser, cet homme particulier (qui vit chez sa mère à 33 ans, qui est un peu dans son monde, avec peut-etre un brin d'autisme) se retrouve suspecté suite à un article publié dans un journal par ce qu'on pourrait appeler une paparazzi Kathy Scruggs (jouée par Olivia Wilde) et qui va réussir à retourner l'opinion contre le pauvre Jewell, qui va voir déferler sur lui une tornade dirigée par le FBI et les médias américains toujours avides de sensations fortes. On vot ainsi la famille de Jewell, notamment sa mère, sombrer progressivement face à ce système qui les écrase et qui ne respecte rien. Et tout cela parce que Jewell a sauvé quantité de vies grâce à son sérieux professionnel (à croire que ce n’est pas courant du coté des Etats-Unis de bien faire son job)
    A noter aussi la prestation majuscule de Sam Rockwell, dans le rôle de l'avocat Watson Bryant, un acteur qui avait joué dans "la Ligne Verte" dans un rôle assez macabre et pervers et dont j'ai bien aimé la prestation ici. Belle prestation touchante et poignante de Kathy Bates (qui joue la maman de Richard) que j'avais bien aimé dans "Titanic".
    Un film qui dénonce avec justice la bêtise du système américain prompt à détruire ses héros sur de simples accusations sans preuve sans aucun respect pour la vie privée ni pour la souffrance des gens, merci à Eastwood pour ce film touchant qui aura rendu justice à Jewell, décédé en 2004
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    105 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2022
    Inspiré de l’histoire vraie de Richard Jewell, un agent de sécurité qui déjoua un attentat à la bombe lors des JO d’Atlanta de 1996 avant d’en devenir le suspect numéro 1 aux yeux du FBI, ce long-métrage de Clint Eastwood est remarquable par plusieurs aspects. Tout d’abord de par sa description de la vie d’un homme simple, certes avec sa part d’ombre, qui va se faire happer dans un tourbillon médiatique délirant dont l’écho résonne encore plus fort aujourd’hui – au milieu des années 90, les États-Unis découvrent les chaînes d’infos en continu, et les réseaux sociaux n’existent pas. Ensuite parce qu’il assume une critique acerbe des tares de la société du spectacle à l’américaine. Enfin car il rend hommage à la figure du « brave type » idéalisant la police de son pays, dont le système de valeur va être violemment secoué par la dérive totale d’un FBI en mal de suspects. Avec des acteurs excellents, dont Paul Walter Hauser, Sam Rockwell et Kathy Bates.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 juin 2022
    Je l'ai vu il y a quelques mois et je rédige la critique maintenant! le cas Jewell , l'un des meilleurs Eastwood à mon goût qui nous raconte une tragédie d'un homme qui du jour au lendemain est passé du héros au criminel. Que dire de ce film qui est juste touchant et émouvant.... Paul Walter Hauser, donnez lui un oscar booooordelll ! Kathy Bates quelle performance aussi . spoiler: Le moment où elle fait le discours m'a fait chialer comme une merde.
    . Bref je le recommande à tout le monde juste je vous préviens que ce film passe par tous les émotions .
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    6 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mai 2022
    Encoure une fois c'est l'élégance, avec un classicisme qui continue la tradition certaine d'un cinéma étatsunien au service d'un sujet. Avec son académisme nonchalant, Clint Eastwood nous raconte l'histoire d'un simple américain et ses aventures avec ses congénères: il est d’abord moqué gentiment, célébré dans la rue, puis détesté, car les enquêteurs et journalistes fainéants et incompétents le trouvent coupable facile, puis enfin oublié. Richard Jewell est un de ces antihéros que Clint Eastwood adore et que l'on retrouve régulièrement dans sa filmographie: l'Earl Jones de The Mule (2018), le Chesley Sullenberger de Sully (2016), le Chris Kyle d'American Sniper (2014) pour ne citer que les plus récents. Tous des personnages de la vie ordinaire des USA.
    Le film est aussi une critique acerbe des médias qui ne font pas leur travail: traquer la vérité, vérifier les faits, les recouper. Avec une belle performance d'Olivia Wilde dans le personnage de journaliste pour la presse de ragots.
    L'interprétation est phénoménale, en particulier pour Paul Walter Hauser, qui provoque de l'émotion et une empathie forte pour le personnage et donne une humanité de Richard Jewell: sa performance est très subtile. Il forme un beau duo avec Sam Rockwell.
    Redzing
    Redzing

    1 127 abonnés 4 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2022
    En 1996, Richard Jewell, agent de sécurité idéaliste, guère brillant mais méticuleux, découvre un sac suspect lors des JO d’Atlanta. Son signalement permettra de sauver des centaines de vie. Mais alors qu’il aurait du être le héros qu’il espérait être, le FBI a envisagé qu’il puisse être l’auteur de l’attentat. Richard Jewell était-il un raté en quête de gloire, ou un héros qui n’avait simplement pas le bon profil aux yeux du FBI ? Le film de Clint Eastwood répond de manière assez claire, tirant à boulets rouges sur le FBI, et la presse qui a monté l’affaire en épingle. A tel point que c’en est limite caricatural, entre une journaliste arriviste peu scrupuleuse, et des agents fédéraux malhonnêtes enchaînant les erreurs de jugement. C’est un peu dommage de présenter les choses ainsi, car si on peut imaginer que la pression médiatique a provoqué de mauvais comportements (ce qui n’est pas montré dans le film), il est difficile d’envisager que tout ce petit monde voulait coincer Jewell par incompétence et arrivisme… sur la base de presque rien du tout. Un portrait manquant de nuances, heureusement l’atout principal du film est son protagoniste. Interprété par un convaincant Paul Walter Hauser, Jewell est présenté comme un Américain moyen qui rêvait de sauver des vies et de faire respecter la loi, et qui a enfin l’occasion de briller après une carrière complètement ratée. Sa sincérité et son respect désarmant pour les policiers qui tentent injustement de le coincer donneront tout leur sel au film, de même que ses interactions avec son avocat (Sam Rockwell, très à l’aise). A côté, la mise en scène se veut sans fioriture et assez académique, revenant de manière policée sur ces événements qui ont pourri la vie de la plupart des personnes directement impliquées (plusieurs sont décédées peu âgées, au début des années 2000). A l’exception peut-être du portrait très caustique de la journaliste… dont le nom n’a pas été changé, contrairement à d’autres, et qui fera l’objet de critiques de la part des médias.
    morganfilm
    morganfilm

    2 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2022
    Bonjour, ce film tiré d'une histoire vraie est très bien réalisé. Nous pouvons suivre l'histoire de Richard qui est accusé à tord ou pas d'un attentat. La mise en scène est super et le casting va super bien avec le film.
    Joseph B
    Joseph B

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2022
    sympathique mais sans plus, pour un Clint Eastwood je trouve la fin réellement anticlimatique mais l 'ecriture des personnages reste vachement intéressant
    Marc L.
    Marc L.

    45 abonnés 1 588 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2022
    Pourquoi Clint Eastwood, à l’âge canonique qui est le sien, tourne-t-il encore des films à cette cadence, s’emparant parfois d’un sujet d’actualité, exhumant à d’autres moments des presque inconnus, disparus de la mémoire collective avant que que le cinéma ne dresse un autel à leur gloire ? Sans doute parce que l’Amérique va mal et trahit ses idéaux : Eastwood a besoin de savoir, et besoin de prouver, que cette Amérique en déliquescence n’est rien d’autre que celle d’un mode de gouvernement, forcément corrompu, qui se donne en spectacle, que l’Amérique, la vraie, existe toujours, à travers les gens qui la peuplent. Richard Jewell, vigile devenu brièvement célèbre durant les J.O. d’Atlanta de 1996 pour avoir déjoué un attentat à la bombe et empêché que ce dernier fasse des dizaines de victimes. Immédiatement célébré par les médias pour son sang-froid et son respect des procédures de sécurité, Jewell se retrouva en quelques jours dans le collimateur du FBI, qui avait déterminé que son profil, celui d’un homme blanc socialement invisible, frustré par son incapacité à intégrer les services de police et collectionneur d’armes, faisait de lui le plus probable cerveau de l’attentat. Ce sont ces 88 jours de cauchemar vécus par un homme très moyen, célébré médiatiquement comme un héros alors qu’il prétendait n’avoir modestement fait que son travail, puis cloué au pilori par ces mêmes médias et prisonnier d’enjeux qui le dépassent, qui intéressent Eastwood : ce type ordinaire, moqué toute sa vie pour son physique et son rapport rigide aux règles, ne va ni s’effondrer ni se mettre en colère, il va faire le dos rond en attendant que l’orage passe, défendre placidement son innocence, sans réellement parvenir à s’estimer trahi et persécuté par un pouvoir policier pour qui il n’éprouvait que de la vénération. Dans son inlassable quête des héros du quotidien, Eastwood, tenant d’un libertarisme personnel bâti sur la droiture et le mérite individuel, dernier représentant du néo-classicisme américain, est d’une prévisibilité à toute épreuve. On peut ne pas être d’accord avec sa vision des choses mais il est difficile de lui reprocher de ne pas agir et filmer conformément avec ses convictions, en fait plutôt éloignées de celle du parti républicain d’aujourd’hui.
    tisma
    tisma

    293 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2022
    Un bon jeu d'acteur pour retranscrire au plus vrai le cas de l'affaire Richard Jewell. Clint Eastwood nous propose encore une belle œuvre bien réalisée et divertissante
    Philippe V50
    Philippe V50

    12 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2022
    S'inspirant d'une histoire vraie, Clint Eastwood réussit un nouveau film coup de poing, qui met sur le gril autant les médias que la police de son pays.
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 065 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2022
    Une enquête passionnante sur un fait divers authentique avec la maestra del Clint Eastwood, et un casting irréprochable où le rôle titre est donné Paul Walker Hauser, inconnue aux bataillons jusqu'à présent va faire parler de lui, on retrouve Sam Rockwell, Kathy Bates, Jon Hamm et Olivia Wilde en journaliste sans scrupule. L'humour heureusement présent dans cette affaire triste et complètement fou où le gouvernement et le Fbi voulait faire un héros, un terroriste. Un très jolie film touchant !
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