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    Le Cas Richard Jewell
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    Marie L
    Marie L

    11 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Je crois que c'est vraiment un chef-d'œuvre! Mon préféré de Clint Eastwood ! Le film est tellement prenant, filmé magistralement et joué avec des acteurs de brio.
    Mike Hetson
    Mike Hetson

    11 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2021
    on ressent pas mal d'empathie pour cette homme qui a pas l'air de comprendre ce qui lui arrive. un peu simple d'esprit Richard Jewell est un homme passant de héros a suspect d'un attentat a la bombe. Une intrigue intéressant a suivre même si le tout manque de rebondissements
    mention spéciale au acteur qui fond parfaitement le job
    Drawing_IpadPro Y
    Drawing_IpadPro Y

    11 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Je ressort du Cinéma .. ️Scotché par ce film sur l’affaire Jewell.., ! très ému ... par ce héros qui a tous fais , sont rôle D’agent de la sécurité, bravi les échelons jusqu’à la bombe ! un long combat ce mais en place soutenu par sont avocat , lourd à voir et vrai « quel héroïsme ! Les acteurs joue très bien , De Clint Eastwood !️️️un film à voir absolument
    velocio
    velocio

    1 297 abonnés 3 121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2020
    Etonnant Clint Eastwood : bientôt 90 ans, Républicain pur et dur, électeur de Trump, il n'a de cesse, dans ses films, de s'attaquer aux injustices, tout en se permettant, semble-t-il, d'en commettre de ce son côté. Cette fois ci, c'est l'injustice commise envers Richard Jewell qu'il pourfend dans le film "Le cas Richard Jewell". Une histoire authentique. Richard Jewell, un américain moyen, un américain obèse, un gros nounours que ses collègues traitent de gros tas ou de bonhomme Michelin (Eh oui, même aux Etats-Unis, on connait le bonhomme Michelin !), un homme de 33 ans, célibataire qui vit chez sa maman, un grand amateur d'armes, un homme qui voudrait pouvoir devenir flic tellement, pour lui, le respect de la loi est important. Le 27 juillet 1996, cet homme va empêcher qu'un attentat perpétré dans le cadre des Jeux Olympiques d'Atlanta fasse un véritable massacre. Pendant 3 jours, cet homme va devenir le héros des Etats-Unis et faire la fierté de sa mère. Jusqu'au moment où le FBI local va se mettre dans la tête que le profil de Richard Jewell fait de lui le suspect n° 1 : un homme près à tout pour se faire remarquer, pour devenir un héros et, grâce à cela, pouvoir intégrer la police. Jusqu'au moment où la presse va se déchainer contre lui.
    Le combat de Richard et de son avocat, Watson Bryant, est montré avec beaucoup de talent par Clint Eastwood, rien à redire : on est avec eux, il n'y a pas trop de pathos, les 2 comédiens qui interprètent leurs rôles sont formidables, en particulier Paul Walter Hauser (Richard Jewell) dont c'est le premier grand rôle. On est aussi plongé de façon très crédible dans l'atmosphère des jeux d'Atlanta, avec des images d'archive (Mohamed Ali allumant la flamme olympique d’un bras tremblant à cause de la maladie de Parkinson qui le touche, le 200 m prodigieux de Michael Johnson, avec un record du monde qui a tenu jusqu'à Usain Bolt) et la reconstitution des concerts de Kenny Rogers, la veille de l'attentat, et de Jack Mack, durant lequel l'attentat a eu lieu. MAIS, à côté de quelques petits arrangements sans importance par rapport à la réalité des faits, il y a plus embêtant. Tout d'abord, le fait de montrer Clinton, président démocrate, ne répondant pas à l'appel de la mère de Richard. Si le Président avait été républicain au moment des faits, qu'aurait fait Clint Eastwood ? Plus grave : Clint Eastwood montre de façon très claire que Kathy Scruggs, la journaliste de The Atlanta Journal qui a dévoilé au grand public le rôle présumé de Richard Jewell dans l'affaire, aurait couché avec un agent du FBI pour obtenir le scoop. Tout laisse à penser qu'il s'agit là d'une "Fake news", d'une injustice commise par le réalisateur et son scénariste. En plus, Kathy Scruggs, décédée en 2001, n'est plus là pour se défendre. On restera quand même sur le positif : "Le cas Richard Jewell" est un bon Clint Eastwood, donc un très bon film.
    Cinememories
    Cinememories

    479 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juillet 2021
    Le revirement de Clint Eastwood sur la suprématie américaine a donné un coup, là où l’humanité n’est plus une source d’espoir, mais bien une victime d’une structure méfiante et immorale. Depuis “American Sniper”, nous le sentions engager dans le portrait d’un héros moderne. Ce dernier est toujours traumatisé, puis sévèrement remis en question comme dans “Sully”. Vient alors l’incompris “Le 15h17 pour Paris”, explorant le concept du citoyen ordinaire et voué à une destinée héroïque selon son parcours. Et en prélude d’un procès médiatique, “La Mule” qui offrait la rédemption à un réalisateur et un père engagé pour sa famille. Le héros a mille visages, comme l’explique brillamment Joseph Campbell, mais celui de notre époque est désarmé face à l’opinion publique et au harcèlement médiatique, de quoi faire écho aux outils technologiques que l’on détourne en détruisant des vies. Les bonnes intentions et l’humanité à l’état pur sont remises en cause par la seule force de l’influence, que l’on dénonce avec vigueur et étonnamment avec humour.

    Pas question de reprendre une forme documentaire, on se place dans l’ombre de Richard Jewell (Paul Walter Hauser), modèle idéal de l’Américain moyen, un peu obèse sur les bords, aux grandes ambitions, à grande sensibilité, qui vit chez sa mère et qui ne développe pas forcément les meilleures relations pour s’intégrer. Les premières minutes nous dévoilent un CV moral des plus attractifs, car loin de ce que l’on peut engloutir à longueur de journée dans des réalisations qui caricaturent trop leur sujet. Ici, le jeune Jewell respire la solidarité et fait attention à son entourage, dégageant ainsi un parfum d’impartialité, mais surtout d’humanité. Et la vivacité du cinéaste nous emmène donc ce martyr en devenir, car tous ces éléments vont être mis en déroute, malgré l’acte héroïque ou simplement fait d’armes accompli sous le blason de son métier de sécurité. Et c’est en suggérant peu à peu un portrait grossier de l’individu que le film oscille entre la bonne fortune et le manque de justesse dans la mise en scène.

    La vérité déchire comme elle peut guérir, mais cette formule de s’applique pas toujours, dès lors que l’on recherche à tout prix à servir de la viande au bûcher médiatique. Le contexte est généralement survolé et on se concentre sur les conséquences locales du drame qui frappe Jewell, accusé du pire. Les enjeux des Jeux olympiques sont donc passés sous silence, mais il faut savoir se glisser sous la peau d’un Américain pour comprendre que la peur peut vite contredire les bonnes paroles. La naïveté et l’intuition de Richard servent ainsi le contre-pied parfait pour nous méfier du personnage, qui se révèle peu à peu être une sous-caricature d’un mode de vie qui se retourne contre lui. Mais sa sagesse lui donne de fabuleux alliés, dont sa mère Bobi (Kathy Bates) et Watson Bryant (Sam Rockwell), l’avocat de l’humanité. Nous avons donc à faire à un ensemble de symbole, mais dans la presse ou les unités fédérales, il existe un aspect repoussant et sans doute controversé, par l’épaisseur des choix scénaristiques. Et c’est pourtant de là qu’émerge l’humour qui fonctionne presque par mégarde, car il est souhaité, notamment depuis le long-métrage précédent. Ce n’est pas du relâchement, mais du génie égaré, car le ton opposé étouffe souvent les émotions attendues.

    Ainsi, sous la cape du héros, il y a un martyr et “Richard Jewell” répond aux attentes d’un modèle héroïque Eastwoodien. Son parcours explore la manipulation médiatique et ses conséquences dans la vie d’un homme bon, même trop bon pour son pays qui le rejette, à la même échelle qu’une structure géante qui domine l’individu, qu’il soit innocent ou non. Malgré tout, l’empathie nous saisit et nous fait prendre du recul sur l’accusé, dont le mode de vie est discutable. Et ce sont ces éléments, que l’on découvre dans une narration classique, qui repoussent l’audience et le procès juridique d’un homme attentionné et frustré. Ce qui est dommage, c’est que la conclusion sur les attaques médiatiques ne trouve pas d’ouverture ou de clôture plus pertinente que des larmes, car il s’agit soulager une âme brisée et de recoudre une cicatrice que l’on ne peut oublier et qu’on sacrifie l’émotion au détriment des discours politiques incessants.
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    170 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2020
    Dédouaner un héros américain lynché et accusé à tort d'un fait qu'il n'a pas commis. Pas de doute, ce film est taillé sur mesure pour Clint Eastwood. Le résultat est probant et efficace. Le duo de personnage Richard Jewell et Watson Bryant bien écrit, et le contraste de leur personnalité permet de bonnes scènes drôles. Sam Rockwell et Paul Walter Hauser sont plus qu'à la hauteur de leur rôle. La ressemblance avec le vrai Richard Jewell est assez saisissante, et il faut saluer en ce sens le travail de l'acteur qui a rencontré la vraie mère et le vrai avocat pour la préparation du rôle, tout comme il s'est entraîné à reproduire la voix et l'attitude de Richard Jewell. C'est très réussi et toujours bluffant à voir surtout si on se met à la place de la vraie mère qui a dû être bouleversée de "revivre" l'image de son fils à travers un autre. Je suis d'ailleurs très curieux d'imaginer ce qu'aurait pu donner un Jonah Hill dans la peau de Richard Jewell et un Leonardo DiCaprio dans la peau de l'avocat Watson Bryant, puisqu'au départ, c'est eux qui avaient été tous les deux approchés pour ces rôles, je pense que ça aurait eu encore plus d'impact pour le film, mais cela n'enlève pas la très bonne prestation de Sam Rockwell et Paul Walter Hauser, parfait dans leur rôle respectif !
    J'ai aussi beaucoup aimé le travail effectué sur la retranscription au plus près de la vérité des différentes scènes de reconstitution, que ce soit celle de l'accident (la montée en tension est particulièrement bien menée), mais aussi les décors et évènements alentours. C'est précis, documenté, recherché, et cela demande des efforts à tous les niveaux (décors, casting, costumes, mise en scène...) puisqu'en plus de rester fidèle aux évènements, il faut aussi l'intégrer dans l'époque des années 90.
    A ce sujet, et c'est là le défaut du film mais aussi la signature de Clint, il me semble y avoir un côté un peu trop manichéen entre la police/les médias d'un côté, et Richard Jewell de l'autre. Certes, le film doit servir et conclure à l'innocence d'un homme, mais je pense que la réalité était beaucoup plus nuancé que ça au début de l'affaire, au moins du côté de la police. Aussi, c'était vraiment pas so 2020 de caricaturer le rôle de la journaliste féminine qui va jusqu'à spoiler: coucher avec le mec en charge de l'enquête, pour avoir un scoop...

    Mais au-delà ce ça, j'ai passé un bon moment, et c'est toujours intéressant de voir retranscrire à l'écran, des histoires qui ont marqué l'histoire et la justice.
    Did
    Did

    14 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2020
    Magnifique film sous forme de réquisitoire.
    Beaucoup d'émotion, on vit l'affaire pleinement mais Eastwood déjoue pleinement le piège du mélo.
    Je ne connaissais pas bien cette histoire, le grand Clint réhabilite Richard Jewell à sa façon.
    On en sort ému et en colère.
    Les acteurs sont parfaits, courez le voir !!!!
    Joce2012
    Joce2012

    202 abonnés 570 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2020
    Très bon film, l'intrigue nous emmène jusqu'au bout, très bonne interprétation, beaucoup de spycologie
    thenewchamp
    thenewchamp

    40 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2020
    L histoire de Jewell, un homme travaillant pour la sécurité qui lors d un concert découvre la présence d'une bombe. Il est alors traité en héros par la presse mais faute de trouver un coupable. Le FBI mets alors la faute sur Jewell par rapport à son apparenceet du fait qu il ait tout d un 'psychopatre' potentiel. Le film est tres bien, on voit que les gens sont malléables, les journalistes des vautours, l acteur principale joue son rôle à la perfection.
    mahe2
    mahe2

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2020
    Très moyen et trop long.
    Le film est un peu simpliste. On a connu mieux d'Eastwood
    On s'ennuie par moments
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2020
    Pas d’emballement….et j’avais préféré de beaucoup La Mule……
    Un scénario solide autour d’un fait divers, pendant les J.O. d’Atlanta; d’ailleurs, je me souvenais vaguement de cet évènement…

    Ce que j’ai moins aimé; le côté « réac » et simpliste de Clint !
    Le personnage central, Richard Jewel est « un bon gars » presque simple et le FBI, veut à tout prix chercher midi à 14 h…puisqu’il lui faut, un coupable…
    Les journalistes comme des charognards, sont près à toutes les versions…
    Vous le voyez, on n’est pas dans le « jamais vu »
    Bien sûr Clint est du côté du « faible martyrisé » !!!
    Le récit est bien mené, efficace, mais Clint « pense à notre place » …….
    Melvin Heurtebise
    Melvin Heurtebise

    3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2020
    La ressemblance de l'acteur principal est flagrante mais Sam Rockwell je ne connaissais pas très belle découverte, encore un très bon film de plus pour Eastwood qui a le don pour m'emouvoir juste avec des silences quelques notes de piano et des visages dévastés par cette histoire. Un pur génie qui a fait deux chefs d'oeuvres : Mystic River et Gran Torino!
    Emiliano3399
    Emiliano3399

    6 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Quel tour de force une fois de plus de la part du grand Clint Eastwood qui dénonce à travers ce film toute l’hypocrisie et l’incohérence de la justice américaine et de son systeme ainsi que le rôle répugnant des médias prêt à mettre en cause la vie d’un innocent attachant et exerçant de la meilleure des manières son devoir de citoyen au profit de la course aux scoop. Merci Monsieur Eastwood pour votre travail.
    Laureline L.
    Laureline L.

    4 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2020
    Film dans lequel on reconnaît bien la patte de Clint Eastwood, tous les cadrages sont parfaitement cadrés rien ne déborde rien ne sort du cadre. Vraiment c’est un super travail, pas facile de mettre à l’écran une histoire vraie. Il a fait cela avec brio. Le jeu des acteurs est tout simplement sublime. Que cela soit pour tous les acteurs mais celui qui a également un très bon jeu et qui est imperceptible c’est l’acteur principal Richard Jewel, Eastwood nous montre à travers ce film à quel point les médias et la police ce sont acharnés et le jeu de l’acteur est juste à couper le souffle surtout par rapport à son regard. Car quasiment tout le long du film il passe pour quelqu’un qui accepte son sort et ne se révolte pas car il ne sait pas le faire alors il laisse son avocat le faire. Alors qu’en réalité il est en colère révolté. Merci en tout cas de l’avoir fait.
    Pensionnaire
    Pensionnaire

    3 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2020
    Empathie : voici le terme qui désigne le mieux à mes yeux le cinéma de Clint Eastwood. "Le Cas Richard Jewell" est emblématique sur ce point. Par toutes sortes de descriptions riches et détaillées, il nous présente son héros, un homme d'une quarantaine d'années, obèse et obsédé par l'ordre et la loi, vivant avec sa mère dans une relation affectueuse et saine. Le lieu de vie du héros, sa façon de s'alimenter; ses distractions et ses rêves (devenir policier): tout est précis, filmé de façon naturelle et sobre.
    Clint Eastwood aime les "petites gens", ceux qui souffrent sans râler, sans haine, qui baissent la tête face à l'adversité et font le dos rond - sans perdre leur dignité.
    Clint Eastwood fait des films qui sont des modèles d'humanité. Tel un disciple de Camus, il pourrait dire avec lui: "L'ennemi de la vérité n'est pas le mensonge, mais l'idéologie." C'est sans doute pour cela que ses films sonnent si juste et nous touchent au cœur.
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