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Votre avis sur Crazy Amy ?
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Une comédie américaine légère, comme on les aime, et qui respecte bien tous les codes du genre ! Du coup on sait d'avance ce qui va arriver, sans grandes surprises. Mais on suit avec enthousiasme Amy, cette blonde fofolle et attachante, habituée aux relations d'un soir et qui ne se voit pas du tout dans une vie de couple stable, contrairement à sa soeur... jusqu'à une certaine rencontre ! Le basketteur Lebron James est top dans son rôle, très drôle dans une espèce de parodie de sa personne. Par contre Aaron le médecin a une diction très énervante qui enleve de son charme ! Ce film respecte ce qu'on attend de lui, c'est à dire nous faire passer un bon moment, sans se prendre la tête.
Yves G.
Judd Apatow aurait révolutionné la comédie américaine en repoussant les limites de la bienséance. C'est vrai. C'est faux.
Le réalisateur de 40 ans toujours puceau et de En cloque mode d'emploi a popularisé un humour potache, volontiers transgressif. Amy Schumer, la scénariste et l'actrice principale de Crazy Amy (audacieuse traduction du titre original Trainwreck), nous fait hurler de rire. Elle y est aidée par une brochette de seconds rôles remarquables : Tilda Swinton en directrice de publication narcissique et sadique, LeBron James en star autoparodique du basket, Ezra Miller, l'inquiétant héros de We Need to Talk about Kevin, en stagiaire déluré...
Pour autant, le cinéma de Judd Apatow n'est transgressif que dans sa forme. Au fond, il véhicule un conservatisme très mainstream. Si Amy commence par enchaîner les coups d'un soir elle se convertit bien vite à la monogamie. Ce moralisme fadasse entame le plaisir pris à rire des situations hilarantes imaginées par Amy Schumer, mais il ne nous dissuadera pas d'aller voir son film suivant.
Le réalisateur de 40 ans toujours puceau et de En cloque mode d'emploi a popularisé un humour potache, volontiers transgressif. Amy Schumer, la scénariste et l'actrice principale de Crazy Amy (audacieuse traduction du titre original Trainwreck), nous fait hurler de rire. Elle y est aidée par une brochette de seconds rôles remarquables : Tilda Swinton en directrice de publication narcissique et sadique, LeBron James en star autoparodique du basket, Ezra Miller, l'inquiétant héros de We Need to Talk about Kevin, en stagiaire déluré...
Pour autant, le cinéma de Judd Apatow n'est transgressif que dans sa forme. Au fond, il véhicule un conservatisme très mainstream. Si Amy commence par enchaîner les coups d'un soir elle se convertit bien vite à la monogamie. Ce moralisme fadasse entame le plaisir pris à rire des situations hilarantes imaginées par Amy Schumer, mais il ne nous dissuadera pas d'aller voir son film suivant.
"Crazy Amy" est une comédie américaine sympathique.
Elle raconte le quotidien d'Amy, trentenaire boulotte et excentrique, qui profite de la vie et qui papillonne de mecs en mecs sans vouloir s'attacher ... Jusqu'au jours ou, sans s'y attendre, elle tombe sur le mec qui va changer sa façon de voir les choses.
Ce n'est pas la comédie de l'année, mas on passe un bon moment , certaines situations sont drôles et on se surprend à s'attacher aux personnages.
Elle raconte le quotidien d'Amy, trentenaire boulotte et excentrique, qui profite de la vie et qui papillonne de mecs en mecs sans vouloir s'attacher ... Jusqu'au jours ou, sans s'y attendre, elle tombe sur le mec qui va changer sa façon de voir les choses.
Ce n'est pas la comédie de l'année, mas on passe un bon moment , certaines situations sont drôles et on se surprend à s'attacher aux personnages.
un "bridget Jones" à l'américaine : donc en lourd et vulgaire et plus c'est long
Très très déçu malgré quelques scènes sympas
Très très déçu malgré quelques scènes sympas
Benito G
Crazy Amy : unefemme boulotte et brisée par le divorce de ses parents refuse de construire une relation sérieuse, longue et basée sur autre chose que sur le sexe. Pour une fois c'est une femme : d'ailleurs le film a été entièrement vue du point de vue la femme. Alors ne cherchez pas une comédie gratuitement grasse, on est plus sur le ton de la provoc et de l'étude de cas. C'est pour cela que l'anti-héroïne est une menteuse, hypocrite, égocentrique, salope et écervelée. Vraiment ? Quel est, alors, l'intéret pour le spectateur ? Il faut se replonger dans la filmo (et pourtant je ne suis pas spécialement folle) de l'auteur pour le comprendre : c'est une nouvelle oeuvre sur le couple, un nouvel aspect de la question qui y est exploré, une étude assez précise moins qu'une grosse comédie qui cherche à tout prix à provoquer le rire, même de la plus artificielle des façons. Et pourtant il y a de très bons gags et leur écriture est particulièrement fine : des bons mots (le gars "mort" !), jouant sur plusieurs niveaux de lecture, un timing parfait et parfois même un subtile choc entre comédie et drame. Dommage que le film se tasse, devienne hésitant et mouline autour d'un squelette scénaristique peu engageant, restant peut-être trop concentrer sur son sujet et ses interrogations dont nous, spectateurs, avons déjà tous la réponse dès le début.
un des films les plus nuls de ma vie. mal joue intrigue nulle blagues vaseuses...et pourtant je suis bon public
Film extrêmement vulgaire. Trop vulgaire pour que la mayonnaise ne prenne. Et c'est dommage car l'idée de départ est bonne et même la base de beaucoup de comédies romantiques réussies. Les acteurs sont corrects. Mais certaines scènes ne servent en rien (déversent même) à l'histoire. Les dernières minutes sont tordantes ! Comme quoi un film n' pas besoin d'être vulgaire pour être drôle !!!! Dommage que les 3/4 de celui-ci reposent uniquement sur du sexe cru et sans aucune subtilité....
Ce n'est pas la comédie de l'année, mais en le regardant, vous serez bien obligés de rire de certaines scènes.
Les célibattantes s'y retrouveront peut-être, mais contesteront peut-être l'issue...
Enfin le comique de situation fera rire, parfois, avec certains personnages assez décalés qui apporte le plus nécessaire.
Je passe sur la volonté de toucher le public qui reste accessoire et nuit peut être même au film, qui en devient plan-plan.
Ça reste drôle.
Les célibattantes s'y retrouveront peut-être, mais contesteront peut-être l'issue...
Enfin le comique de situation fera rire, parfois, avec certains personnages assez décalés qui apporte le plus nécessaire.
Je passe sur la volonté de toucher le public qui reste accessoire et nuit peut être même au film, qui en devient plan-plan.
Ça reste drôle.
Sous son apparence irrévérencieuse Crazy Amy est au final une comédie romantique plutôt classique. Amy Schumer, comme un caillou dans l'escarpin de Cendrillon, égratigne gentiment les clichés fleur bleu mais ne va pas assez loin. Côté humour, le film est assez inégale, avec des bonnes crises de fou rire d'un côté, et, de l'autre, des gags qui tombent complètement à plat et plombent le rythme (et le fait d'avoir vu le film en VF n'a pas dû aider). A mi-chemin entre Mes meilleures amies et Bridget Jones, Crazy Amy vaut donc le coup d'oeil, même si on était en droit d'attendre plus d'audace de la part de la déjantée Amy Schumer.
Nous avons tous droit à l’erreur, tous droit à une nouvelle chance. Excepté les exterminateurs de l'EI, chacun peut se tromper et se voir pardonné. Même Judd Apatow, of course, dont le sans-faute réalisé jusqu’alors dans le domaine des comédies US aussi grossières que désopilantes (les plus mémorables de la décennie écoulée) méritent l’indulgence pour ce très mièvre CRAZY AMY dont le titre français est aussi nombriliste que le nom du personnage éponyme incarné par le trublion montant de sexe faible : Amy Schumer, et vulgairement marketing (le titre origine est « Trainwreck »). On sourit quatre fois, rit deux, et peine sérieusement à trouver quelconque intérêt dans ce parcours nympho-dramatique hyper gnian-gnian et donc guère drôle. Ah si, un point positif : LeBron James. Non, pardon, Tilda Swinton forcément.
"...On n'arrive pas à voir une bonne continuité dans cette soit-disant comédie romantique sauf les apparitions d'une incroyable Tilda Swinton qui font monter l’intérêt de l'histoire du couple sans chimie. Seulement pour elle et pour une blague magnifique la première fois qu'elle apparaît le film vaut déjà la peine. Le reste sont deux heures et quart qui semblent très longues, surtout quand on aurait pu avoir un film de moins d'une heure et demie si on effaçait les blagues des stars du sport dans le film: Lebron James fait de l'ami concerné par les sentiments de son meilleur pot. John Cena joue le premier copain qui nomme des slogans de fitness pendant qu'il fait l'amour. Un commentateur lambda qui fait un sketch de retransmission d'un débat et en général beaucoup de clins d’œil au sport pour les gens qui pensent que voir une star de la NBA dans un film c'est très drôle. Ça aurait pu être bien meilleur."
Lire la critique en entier sur:
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une comédie dramatique romantique qui nous montre que certaines personnes et certains événements peuvent nous influencer, nous faire croire certaines choses ou nous changer. le sujet se prêtait à plus d'humour décalé et des situations qui auraient pu être plus pittoresque. c'est dommage.
je n'avais pas du tout en tête d'aller voir ce film, et pourtant sur les conseils d'une collègue, je m'y suis risqué. Et bien très bonne surprise. Je m'attendais à un truc hyper potache, genre americain pie et bien pas du tout.
c'est drôle et caustique mais aussi avec des vrais thèmes comme la vieillesse, le rapport aux médias et autres tabloids.
La réalisation est un peu convenue mais le duo d'acteur en particulier Amy Schumer est particulièrement bon. La scène finale est à tomber !
belle surprise à voir entre potes !!!
c'est drôle et caustique mais aussi avec des vrais thèmes comme la vieillesse, le rapport aux médias et autres tabloids.
La réalisation est un peu convenue mais le duo d'acteur en particulier Amy Schumer est particulièrement bon. La scène finale est à tomber !
belle surprise à voir entre potes !!!
Malgré une fin en forme de happy end convenue, Apatow revisite avec brio la comédie romantique US, en y ajoutant une insolence rafraîchissante non dénuée d'une certaine tendresse, une mélancolie émouvante autour de la vie trépidante d'Amy auquelle on se surprend à s'attacher. Le film se renforce indéniablement par une galerie de seconds rôles bien trouvés, et de guests qui pimentent l'intrigue.
Ce film est une insulte à l'intelligence humaine. Après 30 minutes à me faire tabasser par ces répliques pathétiques, 30 minutes à être étouffé par ce thon qui se la joue playboy, 30 minutes à écouter des idioties sur le sexe tout puissant, je me suis rendu compte pour la première fois de ma vie qu'être critique de film n'était pas un job cool à cause de ce genre de bouses surnotés par des subventions. Je ne comprends pas qu'on ose dépenser 35 millions de $ dans un pareil navet. Bref, fuyez !
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