Avis : Crazy Amy - Page 2

Crazy Amy est une comédie bien plus profonde qu' elle n'y paraît en effet on y voit une nymphomane complément delure enchaîne les conquêtes finalement celle ci se révèle attachante la véritable révélation du film c est Amy schumer. le film alterne entre le trash le comique l émotion et l'ennuie cependant j ai passé un bon moment

Crazy Amy est une comédie trash, limite vulgaire parfois, soutenue par Amy Shumer, une actrice souvent mono expressive, dans un rôle de nymphomane (enfin on peut se demander si elle arrive à trouver du plaisir dans ses brèves relations) qui va s’ouvrir à la romance avec un médecin chirurgien du sport (aussi mono expressif qu'elle). Le film est sauvé par quelques scènes marrantes surtout dans la 2ème moitié du film. Le basketteur NBA, Lebron James, qui joue son propre rôle, s’en sort plutôt bien avec son côté ami attentionné et radin.

Judd Apatow réalise une comédie déjantée style US en utilisant Amy Schumer à fond... cela fait penser à Very bad trip version Women, personnellement encore moins bien réussi. En effet, c'est lourd, baveux, énervant.. je tente un raccourci, toute l'intelligence de la jeune femme se situe en dessous de son string !! Sans intérêt... !!

Une histoire sans intérêt dont la vulgarité est l'ingrédient principal qui ne laisse place ni à l'humour, ni à l'émotion, ni à la psychologie de personnages, ni à l'érotisme, ni ..., ni ... Deux heures 20 mn d'ennui. A éviter.

Peut on réellement considérer Crazy Amy comme un film de Judd Apatow ? Le réalisateur a, en effet, toujours jusque là écrit les scénarios de ses longs métrages de 40 ans, Toujours Puceau à 40 Ans Mode D'Emploi en imposant un nouveau type d'humour qui a depuis influencé de nombreux artistes. Cette fois ci c'est l'humoriste Amy Schumer qui a écrit ce long métrage dont elle tient le premier rôle. On a du coup l'impression que le réalisateur a plutôt voulu lui rendre service en collant son nom au sien que de signer un nouveau long métrage plus personnel.

Venue du stand up, Amy Schumer s'est progressivement fait connaitre aux Etats Unis grâce a sa participation à différentes émissions de la chaîne Comedy Central. Elle y a désormais depuis 2013 son propre show Inside Amy Schumer qui en a fait une véritable star outre atlantique. Elle est aussi apparue dans de petits rôles dans les séries Girls et Louie et au cinéma dans Jusqu'à Ce Que La Fin Du Monde Nous Sépare. Rien de tout cela n'a cependant pu vraiment nous la faire découvrir en France puisque Inside Amy Schumer ne sera diffusé en France qu'à partir du mois de décembre 2015 sur MTV.

C'est donc surtout pour son réalisateur Judd Apatow qu'on ira avant tout découvrir ce Crazy Amy. Le long métrage porte bien la patte du metteur en scène qui depuis Funny People traîne une sorte de déprime qui donne des allures de montagnes russes à ses histoires passant très vite du rire aux larmes. Le scénario de Crazy Amy a beau être écrit par Amy Schumer d'après ses propres déboires sentimentaux et sa relation avec son père, le réalisateur s'est bel et bien emparé de ce sujet pour le faire sien.

Il faut tout de même avouer que le résultat est bien loin de ce qu'il a pu nous offrir précédemment. Première frustration, a l'exception de Bill Hader (En Cloque Mode D'Emploi, Supergrave) on ne retrouvera ici aucun des acteurs habituels de l'écurie Apatow. Ce seul survivant, pas non plus très connu en France en dehors des inconditionnels du réalisateur, joue le docteur qui va faire évoluer Amy sur son approche des relations amoureuses. On a connu bien plus inspiré dans ses précédent rôles qu'ici où il n'a pas grand chose de drôle à défendre. Seconde frustration, le film manque clairement de délires régressifs qui faisait la force des précédents films.

Amy Schumer est certes très amusante mais son film ne cherche pas à faire dans la vanne à tout va et les moments de franche rigolade se font plutôt rares. La faute peut être à une distribution qui manque de seconds rôles délirants pour pimenter l'histoire. Bien rodée à la comédie Brie Larson joue la soeur d'Amy beaucoup plus sage et rangée et donc malheureusement pas franchement amusante sans pour autant avoir à reprocher quoi que ce soit à cette talentueuse actrice. Le second rôle le plus amusant du film est celui du père d'Amy joué par Colin Quinn venu lui aussi du Stand Up dont le personnage raciste et peu aimable sort des scuds qui vont très souvent mouches. On aura bien du mal à reconnaître Tilda Swinton bien plus féminine et drôle qu'à l'habitude en rédactrice en chef particulièrement cassante avec ses collaborateurs. Le catcheur et acteur John Cena étonne vraiment en jouant de son image dans un registre où il n'avait jamais eu l'occasion de s'illustrer tout comme le basketteur Lebron James.

Après avoir produit le film Mes Meilleures Amies et la série Girls, le réalisateur Judd Apatow semble avoir voulu à son tour s'attaquer à la comédie girly trash. Mais en confiant l'écriture de ce film à une Amy Schumer à qui il semble avoir trop fait confiance, le réalisateur risque de décevoir beaucoup de ses fans qui ne reconnaîtront pas son humour dans ce nouveau film. Peut être que Crazy Amy plaira cette fois ci plus à un public féminin qu'aux hommes qui pouvaient jusque là toujours s'identifier aux héros de ses précédents films. Nul doute que le réalisateur saura se se réconcilier avec eux avec son prochain long métrage.

Judd Apatow traine ses guêtres dans la comédie américaine contemporaine depuis maintenant dix ans. Si ses débuts ont toujours été couronnés de succès, depuis quelques films ce n’est plus le cas bien que la critique soit toujours bienveillante. Pour la première fois il filme donc un scénario qui n’est pas le sien et s’affilie avec une nouvelle venue du genre, l’actrice Amy Schumer. Véritable révélation du film, elle dispose d’un tempérament comique hors normes qui la met directement en concurrance avec Melissa McCarthy, autre découverte récente du nouveau rire US au féminin. Le film (et les rires) lui doivent beaucoup, de ses mimiques à sa dégaine pleines de naturel.
Le fait de se retrouver face à des acteurs de comédie romantique qui soient comme vous et moi (Bill Hader est physiquement tout aussi quelconque que sa partenaire) est une gageure rare dans ce type de productions américaines. Et les situations dans lesquelles ils se trouvent, même les plus énormes, trouvent un écho réaliste bienvenu. On appréciera également que les seconds rôles soient mémorables et plus étoffés que la moyenne, comme souvent chez le metteur en scène. Tilda Swinton est méconnaissable (et enfin belle au cinéma), mais qui aurait cru que ce soit dans une comédie de ce genre. Quant au jeune Ezra Miller, il porte la scène la plus drôle du film aux côtés du personnage principal : une scène de sexe déjà culte et à mourir de rire.
Pourtant, Judd Apatow est loin de livrer son meilleur film. Les longueurs inhérentes à ses long-métrages sont toujours là (plus de deux heures pour une comédie c’est beaucoup trop !). Mais surtout, pour un film qui prône le mauvais goût et l’irrespect des conventions morales, le dernier tiers revient à un revirement inutile et surtout hypocrite bien décevant. On sait l’amour du public américain pour les happy-ending mais il en existait certainement pléthore d’autres différents que celui auquel on a droit ici, tout à fait contradictoire avec le reste du film. Passé cela, voilà une comédie relativement drôle et agréable qui ne va pourtant pas au bout de son postulat.

Crazy Amy : unefemme boulotte et brisée par le divorce de ses parents refuse de construire une relation sérieuse, longue et basée sur autre chose que sur le sexe. Pour une fois c'est une femme : d'ailleurs le film a été entièrement vue du point de vue la femme. Alors ne cherchez pas une comédie gratuitement grasse, on est plus sur le ton de la provoc et de l'étude de cas. C'est pour cela que l'anti-héroïne est une menteuse, hypocrite, égocentrique, salope et écervelée. Vraiment ? Quel est, alors, l'intéret pour le spectateur ? Il faut se replonger dans la filmo (et pourtant je ne suis pas spécialement folle) de l'auteur pour le comprendre : c'est une nouvelle oeuvre sur le couple, un nouvel aspect de la question qui y est exploré, une étude assez précise moins qu'une grosse comédie qui cherche à tout prix à provoquer le rire, même de la plus artificielle des façons. Et pourtant il y a de très bons gags et leur écriture est particulièrement fine : des bons mots (le gars "mort" !), jouant sur plusieurs niveaux de lecture, un timing parfait et parfois même un subtile choc entre comédie et drame. Dommage que le film se tasse, devienne hésitant et mouline autour d'un squelette scénaristique peu engageant, restant peut-être trop concentrer sur son sujet et ses interrogations dont nous, spectateurs, avons déjà tous la réponse dès le début.

Ce n'est pas la comédie de l'année, mais en le regardant, vous serez bien obligés de rire de certaines scènes.
Les célibattantes s'y retrouveront peut-être, mais contesteront peut-être l'issue...
Enfin le comique de situation fera rire, parfois, avec certains personnages assez décalés qui apporte le plus nécessaire.
Je passe sur la volonté de toucher le public qui reste accessoire et nuit peut être même au film, qui en devient plan-plan.
Ça reste drôle.

Amy Schumer m'était totalement inconnue, mais je suis quand même allé voir cette comédie que je pensais être bien plus enlevée et drôle. en fait de comédie débridée, c'est plutôt à une comédie romantique qu'on a affaire ici. certaines scènes sont, certes, un peu vulgos et pipi-caca, comme les aime Judd Apatow, mais l'ensemble est surtout mou et neu-neu. Amy est d'ailleurs plus douée pour le drame que pour la franche comédie (elle devrait peut-être changer de registre, parce qu'elle excelle dans le registre de l'émotion). l'ensemble se laisse voir sans déplaisir, et même parfois un sourire ou un rire discret. pas de quoi se retourner le bide, donc, mais de film sans prétention permet de passer un moment tranquille et plutôt agréable.

Pour la première fois dans sa carrière de réalisateur, Judd Apatow, chef de file de ce qu'on appelle désormais la "Nouvelle Comédie Américaine", décide de confier le scénario d’un de ses films à quelqu’un d’autre et donne ici carte blanche à son actrice principale, l'épatante Amy Schumer, étoile montante de la scène comique américaine, connue pour son humour trash et sa série à succès Inside Amy Schumer. Véritable alter ego féminin d'Apatow, la comédienne se réapproprie les thèmes de son aîné et nous raconte l'histoire quasi autobiographique d'une trentenaire immature et enchaînant les coups d'un soir. Un personnage qui n'est pas sans nous rappeler les rôles que tenaient Seth Rogen et Adam Sandler dans En cloque, mode d'emploi et Funny People, en beaucoup moins transgressif cela dit... En effet, passé une première heure plutôt réussie où l'on rit des répliques très osées d'Amy et des excellentes prestations des acteurs secondaires (Tilda Swinton, qui est formidable comme toujours, mais aussi Bill Hader, John Cena, LeBron James...), le film tend vers la comédie romantique classique, s’assagit beaucoup trop et finit par se traîner en longueur. Et puis, il faut admettre que les précédentes œuvres du cinéastes étaient autrement plus intéressantes en termes d'écriture. En conclusion, Crazy Amy s'inscrit dans la droite lignée des productions féministes de Judd Apatow telles que Mes Meilleures Amies ou la série Girls, sans pour autant les égaler cependant, faute d'un scénario un peu trop convenu. Toutefois, il n'empêche que certaines scènes sont hilarantes et que l'on passe un savoureux moment en compagnie d'Amy Schumer et de sa bande.

Judd Apatow aurait révolutionné la comédie américaine en repoussant les limites de la bienséance. C'est vrai. C'est faux.

Le réalisateur de 40 ans toujours puceau et de En cloque mode d'emploi a popularisé un humour potache, volontiers transgressif. Amy Schumer, la scénariste et l'actrice principale de Crazy Amy (audacieuse traduction du titre original Trainwreck), nous fait hurler de rire. Elle y est aidée par une brochette de seconds rôles remarquables : Tilda Swinton en directrice de publication narcissique et sadique, LeBron James en star autoparodique du basket, Ezra Miller, l'inquiétant héros de We Need to Talk about Kevin, en stagiaire déluré...

Pour autant, le cinéma de Judd Apatow n'est transgressif que dans sa forme. Au fond, il véhicule un conservatisme très mainstream. Si Amy commence par enchaîner les coups d'un soir elle se convertit bien vite à la monogamie. Ce moralisme fadasse entame le plaisir pris à rire des situations hilarantes imaginées par Amy Schumer, mais il ne nous dissuadera pas d'aller voir son film suivant.

Je n'avais pas du tout aimé les deux derniers films de Judd Apatow (que j'apprécie plus en tant que scénariste et producteur). Funny People était déjà moyen, 40 ans : mode d'emploi détestable. Mais bon, j'avais besoin d'une comédie et après avoir vu par hasard la bande-annonce de celui-ci je me suis laissé tenter. Si on atteint peut être pas la qualité de 40 ans toujours puceau ou En cloque, mode d'emploi, on en est pas loin. J'ai trouvé ça très drôle. Très en dessous de la ceinture bien sûr, mais les dialogues et les gags font mouche presque à tous les coups. Tout cela est aussi peut être dû au fait que c'est Amy Schumer qui a écrit le scénario toute seule et qui tient le rôle titre. Elle a vraiment une bonne bouille, une certaine force comique et donc une belle présence. Tout le reste du casting est au diapason. Tilda Swinton (encore méconnaissable) est tordante. Elle retrouve Ezra Miller (après We need to talk...) lui aussi très bien. Pour le reste, c'est un sympathique défilé de guest stars (Daniel Radcliffe, Marisa Toméi, Matthew Broderick, John Cena hilarant...) et de sportifs dans leurs propres rôles (LeBron James, Chris Evert...). Bref, je me suis bien marré et, finalement, c'était tout à fait l'effet recherché. Il faut donc que Apatow arrête d'écrire ses propres scénarii et il continuera de remonter dans mon estime...

Une comédie romantique qui aborde de vrais sujets, avec des caméos sympas (Lebron James en tête) et une actrice principale ne faisant pas partie des canons de beauté Hollywoodiens mais au charme indéniable, ça change !

un "bridget Jones" à l'américaine : donc en lourd et vulgaire et plus c'est long
Très très déçu malgré quelques scènes sympas

"Crazy Amy" est une comédie américaine sympathique.
Elle raconte le quotidien d'Amy, trentenaire boulotte et excentrique, qui profite de la vie et qui papillonne de mecs en mecs sans vouloir s'attacher ... Jusqu'au jours ou, sans s'y attendre, elle tombe sur le mec qui va changer sa façon de voir les choses.
Ce n'est pas la comédie de l'année, mas on passe un bon moment , certaines situations sont drôles et on se surprend à s'attacher aux personnages.