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L’atout majeur de la farce n’est pas sa salacité, mais son naturel, principalement dû à Schumer, dont le scénario s’inspire de sa propre vie. À l’arrivée, une comédie drôle et humaine qui sort des sentiers (re)battus du rire mécanique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
On y retrouve les qualités des productions Apatow : dialogues qui claquent, étoffés par un ping-pong gaguesque de références à la culture pop, attention minutieuse à tous les personnages, y compris les plus périphériques, dont les singularités font le relief du film...
On ne tourne pas autour du pot dans Crazy Amy, et cela donne lieu à des scènes d’une vitalité étonnante – les seconds rôles, comme Tilda Swinton, méconnaissable, ou le basketteur LeBron James y étant pour beaucoup. Le réalisateur de 40 ans, toujours puceau se fait ainsi une seconde jeunesse.
Gagnant en âge, le cinéaste se libère d’un certain nombre des tics, marottes et grigris de l’éternel ado américain névrosé pour aborder de plus amples fictions tourmentées et drôles opérant la synthèse un peu inouïe d’Ingmar Bergman et de Blake Edwards.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La patte Apatow associée à la tornade hilarante Amy Schumer, et à la pertinence des seconds rôles - dont LeBron James, géant : soit une pure comédie américaine qui n'a pas froid aux yeux.
Il y a deux films dans "Crazy Amy". Une réécriture assez académique de Cendrillon en mode Bridget Jones (...) Mais aussi un bombardement d'obscénités verbales, des histoires de tampons mal placés (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La tornade Amy Schumer dynamite le Apatow nouveau qui, s'il souffre des défauts inhérents à ses précédents films (trop long, trop inégal, trop sitcomesque...), n'en demeure pas moins souvent irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Judd Apatow, le pape de l'humour trash, se met au service du nouvel espoir du stand-up politiquement incorrect, Amy Schumer, et les vannes fusent pendant une bonne heure. Puis la comédie romantique délurée se ramollit, avant un épilogue tristement normatif, talon d'Achille des films d'Apatow.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Welcome back" chez Judd Apatow qui, au prétexte d’inverser les rôles traditionnellement réservés aux hommes et aux femmes, semble plus que jamais soucieux de les convertir au bonheur conjugal qui lui tient lieu de morale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On ne réussit pas à s’attacher à Amy Schumer, dépourvue de charisme malgré son abattage. Quant à la fin, où tout le monde rentre dans le rang, elle torpille la démonstration du film.
Si "Crazy Amy" met les pieds dans le plat - on peut compter sur Apatow pour patauger joyeusement dans le registre des pulsions régressives -, le film n'est finalement qu'une comédie romantique déguisée. Amy a beau faire, elle tombera amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
20 Minutes
Le réalisateur de "40 ans mode d’emploi" y révèle une bombe hilarante révélée par la télévision : Amy Schumer.
CNews
Une grande comédie romantique qui combine impertinence et émotion à la perfection.
L'Express
Sous la houlette de Judd Apatow, Amy Schumer emmène cette comédie hilarante et grinçante.
L'Humanité
L’atout majeur de la farce n’est pas sa salacité, mais son naturel, principalement dû à Schumer, dont le scénario s’inspire de sa propre vie. À l’arrivée, une comédie drôle et humaine qui sort des sentiers (re)battus du rire mécanique.
Le Dauphiné Libéré
Sur un scénario de très classique comédie romantique à l’américaine, le ton joyeusement trash et décapant d’Apatow.
Le Monde
On y retrouve les qualités des productions Apatow : dialogues qui claquent, étoffés par un ping-pong gaguesque de références à la culture pop, attention minutieuse à tous les personnages, y compris les plus périphériques, dont les singularités font le relief du film...
Les Inrockuptibles
On ne tourne pas autour du pot dans Crazy Amy, et cela donne lieu à des scènes d’une vitalité étonnante – les seconds rôles, comme Tilda Swinton, méconnaissable, ou le basketteur LeBron James y étant pour beaucoup. Le réalisateur de 40 ans, toujours puceau se fait ainsi une seconde jeunesse.
Libération
Gagnant en âge, le cinéaste se libère d’un certain nombre des tics, marottes et grigris de l’éternel ado américain névrosé pour aborder de plus amples fictions tourmentées et drôles opérant la synthèse un peu inouïe d’Ingmar Bergman et de Blake Edwards.
Studio Ciné Live
Avec "Crazy Amy", Apatow renouvelle le genre. Espérons que l'exemple inspirera les faiseurs de comédies mainstream.
Voici
La patte Apatow associée à la tornade hilarante Amy Schumer, et à la pertinence des seconds rôles - dont LeBron James, géant : soit une pure comédie américaine qui n'a pas froid aux yeux.
aVoir-aLire.com
"Crazy Amy" se révèle être un divertissement ambitieux, irrévérencieux et acerbe.
Closer
Une comédie efficace.
L'Obs
Il y a deux films dans "Crazy Amy". Une réécriture assez académique de Cendrillon en mode Bridget Jones (...) Mais aussi un bombardement d'obscénités verbales, des histoires de tampons mal placés (...).
Ouest France
Drôle, mais que de bavardages superflus !
TF1 News
La tornade Amy Schumer dynamite le Apatow nouveau qui, s'il souffre des défauts inhérents à ses précédents films (trop long, trop inégal, trop sitcomesque...), n'en demeure pas moins souvent irrésistible.
Télérama
Judd Apatow, le pape de l'humour trash, se met au service du nouvel espoir du stand-up politiquement incorrect, Amy Schumer, et les vannes fusent pendant une bonne heure. Puis la comédie romantique délurée se ramollit, avant un épilogue tristement normatif, talon d'Achille des films d'Apatow.
Cahiers du Cinéma
Une tapageuse promotion d’une vie de couple vue comme un simple Sam Suffit, plus suffisant donc que réjouissant.
CinemaTeaser
Une comédie à l'image de son interprète principale, Amy Schumer : aussi attachante qu'agaçante.
Critikat.com
"Welcome back" chez Judd Apatow qui, au prétexte d’inverser les rôles traditionnellement réservés aux hommes et aux femmes, semble plus que jamais soucieux de les convertir au bonheur conjugal qui lui tient lieu de morale.
Le Journal du Dimanche
On ne réussit pas à s’attacher à Amy Schumer, dépourvue de charisme malgré son abattage. Quant à la fin, où tout le monde rentre dans le rang, elle torpille la démonstration du film.
Positif
Pourquoi diable Apatow plonge-t-il certains cinéphiles dans de secouées danses idolâtres ?
Sud Ouest
Si "Crazy Amy" met les pieds dans le plat - on peut compter sur Apatow pour patauger joyeusement dans le registre des pulsions régressives -, le film n'est finalement qu'une comédie romantique déguisée. Amy a beau faire, elle tombera amoureuse.
Transfuge
Amy n'est finalement pas la foldingue qu'on nous avait vendue.
Télé 7 Jours
Indéniablement glonflée et drôle, la miss aurait pu, et dû, vu son talent, faire preuve d'originalité. Dommage.