Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 5 janvier 2016
Un film qui dure 2 heures , sur le fonds l'histoire est belle certes , mais elle est très mal retranscrit , on s'ennui du début jusqu'a la fin , je vous conseille fortement de ne pas payer pour aller voir ce gros navet du siècle , et jennifer Lawrence (que je kiffe) devrait se contenter a hunger games ..
La magie opère avec ce film. Un casting luxueux mais une interprétation sobre, efficace qui transcende humour et émotion. Et puis ça fait du bien de voir de la persévérance, du talent, de la réussite malgré les entraves. Une bonne surprise de fin d'année.
Le trio Lawrence/DeNiro/Cooper à nouveau réuni par David O.Russell – qui a signé Happiness Therapy, jolie surprise moult fois récompensée – autour d’une « success story » dont les américains ont le secret… Autant d’éléments de bon augure pour le spectateur! Un casting impeccable, une mise en scène comme toujours soignée, sublimée par une bande son orchestrée avec élégance, décors et costumes pensés avec minutie, scénario pointu, mêlant flash backs et ellipses… Sur le papier, tout semble parfait. Peut-être un peu trop ? [...]
Époustouflante et irrésistible business wooman !!Démarrant curieusement tel un épisode des feux de l'Amour - si - 40 années de sa vie y sont racontés.Vie familiale hyper compliquée, entre enfants et parents, divorcés ou à la rue... Mais tout simplement le rôle de Joy - magnifiquement interprété par Jennifer Lawrence - est tellement inventif, opiniâtre, volontaire....qu'elle en est un modèle, une icône (?) même après avoir passé la serpillère ! D'autant plus que son entourage est cynique, en dessous de tout (sauf sa grand-mère) Robert De Niro étant l'exemple parfait. Un très beau film pour le WE de fêtes !! **
Parfois on se demande quelle idée a piqué réalisateurs, scénaristes ou producteurs pour pondre des idées de films pareils ! Jugez plutôt : Joy, jeune femme inventive mais surmenée au milieu d’une famille quelque peu hors normes, a l’idée de créer un balai essoreur et de le commercialiser. Et… Et bien c’est tout. Que ce soit David O. Russell qui écrive le scénario inspirée d’une histoire vraie et mette en scène cette histoire rassure un peu. Que Jennifer Lawrence, Robert de Niro et Bradley Cooper soient devant la caméra comme pour « Happiness Therapy » et « American Bluff » est également de bonne augure. Mais l’histoire en elle-même n’est guère plapitante et l’équipe en place parvient à la dynamiser par intermittence sans pour autant la transcender. On ne leur en veut pas, avec un tel synopsis de base, ce n’était pas chose facile. Finalement, « Joy » regroupe trois films en un. D’abord on assiste à la chronique un peu foutraque d’une famille dysfonctionnelle et bruyante qui nous vaut quelques rires. Mais vite, le film se mue en success story à l’américaine avec son lot d’embûches, de petites gloires, de déceptions et, in fine, de réussite et pouvoir. Et vu le produit permettant ce passage de l’anonymat au succès économique, il est évident qu’on a déjà vu bien mieux. Les passages avec le télé-achat rehaussant cependant cette partie par leur côté si kitsch pour nous autres mais tellement hype à l’époque. Et il faut avouer que la reconstitution est absolument remarquable, comme souvent chez David O. Russell (on se souviendra longtemps des costumes et décors d’« Amercian Bluff »). Mais ce qui brille surtout dans ce film somme toute anecdotique, c’est le portrait que dresse le metteur en scène d’une battante, d’une femme des années 80 qui, envers et contre tout, a décidé de vaincre et de porter ses rêves à bout de bras alors qu’elle est issue d’un carcan peu enclin à la réussite. Plus que jamais, Jennifer Lawrence illumine le rôle. De plus en plus crédible, avec un jeu de plus en plus nuancé et tranché, elle réalise un sans faute dans l’interprétation de cette working girl et femme de poigne avant l’heure. La nomination voire l’Oscar lui pendent encore au nez. Grâce à elle et à une mise en images et un montage dynamique, « Joy » dépasse le stade du téléfilm de luxe anodin. Et mérite sa place dans une salle de cinéma en dépit d’un scénario handicapant de base.
David O. Russell / Jennifer Lawrence / Bradley Cooper / Robert De Niro : troisième ! Après les très bons Happiness Therapy et American Bluff, David O. Russell retrouve une nouvelle fois sa brochette d'acteurs favorite pour Joy, biopic librement inspiré de la vie de Joy Mangano qui inventa le « Miracle Mop », une nouvelle génération de serpillères, et qui fonda un empire de plusieurs millions de dollars. Le rôle principal est bien entendu confié à Jennifer Lawrence qui livre une nouvelle fois une interprétation débordante d'énergie. L'histoire est assez plaisante à suivre, la réalisation de David O. Russell est correcte et le film n'est pas dénué d'humour. Si vous avez aimé les derniers films du réalisateur, vous aimerez Joy. Cela reste du très bon David O. Russell et un agréable moment de cinéma.
A voir. Ce n'est pas le genre de film que je vais voir habituellement mais je n'ai pas été déçue. Jennifer Lawrence assure dans ce registre . DeNiro est parfait on a vraiment envi de le giffler dès qu'il ouvre la bouche.
Ce film a beaucoup pour me plaire : un casting excellent (Jennifer Lawrence, Robert De Niro, Isabella Rossellini, Bradley Cooper) tous très bons.
L'histoire vraie d'une success story à l'américaine, au sein d'une famille dysfonctionnelle, le tout dans une ambiance un peu déjantée, avec un bande originale très sympa.
Ceci dit l'émotion ressentie n'était peut-être pas tout à fait à la hauteur du reste, même si j'ai bien aimé ce film.
Le cinéma de David O. Russell est toujours aussi déconcertant. Pour le meilleur (Happiness Therapy) ou pour le pire (American Bluff). A priori, cette "épopée" d'une inventeuse d'une serpillère magique est une histoire inspirée de la réalité et serait dédiée à toutes les "femmes audacieuses." Ok, mais ce ne pas exactement l'American Dream si l'on veut bien trouver au film un second degré, le problème étant : en a t-il vraiment un ? Comme d'habitude avec ce réalisateur, l'édifice est sacrément bancal et dysfonctionnel avec des personnages secondaires qui semblent marcher à côté de leurs chaussures. Pas trop grave, parce que ce sont Edgar Ramirez, Isabella Rossellini, Bradley Cooper et Robert de Niro qui les jouent dans le seul but de faire briller Jennifer Lawrence dont, visiblement, David O. Russell a fait sa muse. Elle ne s'en tire pas trop mal dans un rôle manifestement trop grand pour ses frêles épaules. Ce conte de Noël (voyez l'affiche) est-il ironique ou la vision de Russell s'est-elle définitivement diluée dans une candeur à la Capra (avec beaucoup de talent en moins) ? La question reste posée.
Cette histoire vraie n’est pas le blockbuster de l’année, et c’est sans compter les longueurs. Une femme au foyer tente de lancer sur le marché son balai serpillière-miracle et réussit après tant de galères à devenir une multimillionnaire à la tête d’un empire (tout en gardant des années plus tard son look de très jeune femme qui n’a pas pris une ride : lors des dernières scènes, la maquilleuse était-elle en grève ???). L’Amérique foisonne de ces success stories. Alors, oui, ça arrive, mais le problème de ce film, c’est qu’il ne nous touche pas. La présence de Robert de Niro, Bradley Cooper, Isabella Rossellini n’arrive même pas à faire monter la mayonnaise. Le chef d’orchestre, en l’occurrence David Russell, n’a pas su diriger Joy, l’héroïne : on voit sa passion, sa créativité et sa ténacité, mais il n’a pas su nous les rendre suffisamment palpables pour nous captiver. Résultat : c’est ennuyeux.
Portrait psychologique d’un personnage qui n’a qu’une seule facette, dont le contours est sans aspérité, on a vite fait le tour de Joy. Ses rencontres, sa famille sont des distractions qui ne fonctionnent q’un temps. Un film pour nous faire regarder par le petit bout de la lorgnette d’une invention aujourd’hui dans tous les foyers, JOY passionne le temps d’un regard de Jennifer Lawrence. Le film fait l’impression d’un « gros déjà vu » sans aucune surprise. On sait pratiquement tout des écueils de Joy très longtemps avant elle. Et puis, Joy vieillit (sans maquillage) et on se retrouve avec Jennifer Lawrence (25 ans) mère d’ado de 15 ou 16 ans… Pas vraiment réaliste pour une histoire vraie ! David O’Russel décrit son film comme « un conte de fée »… Oui je me rappelle bien dans Cendrillon, on la voit pas mal laver le sol avec des serpillères, et elle a une « méchante » belle mère ainsi qu’une demie soeur jalouse… Mais ce sont la les seules analogies avec un « conte de fée » !
Super Biopic aucun temps mort, Joy possede un pitch qui pourrait en decourager plus d'un a payer sa place, l'inventrice d'un balai... Et pourtant sa vie est plus que passionnante. A decouvrir!
À voir sans hésitation. Un film juste incroyable, interprétation, scénario, personnages, tout y est pour passer un vrai moment de cinéma riche en émotions .
Jennifer Lawrence était parfaite pour se rôle de femme forte mais toujours très attachée à sa famille. Un film qui m'a surprise, avec de bons acteurs pour des rôles pas toujours évidents. Bravo !!