Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Loris Hantzis
David O. Russell livre une épatante déclaration d’amour à la création, à l’idée, aux femmes aussi, moins dans un féminisme revendicatif que dans une célébration tendre et attentionnée d’une féminité toute puissante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
La belle comédienne, découverte dans la saga « Hunger Games », est épatante en femme d’entreprise…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Florence Besson
Dans le très beau et très enthousiasmant "Joy", de nouveau sous la direction de David O. Russell et toujours aux côtés de Bradley Cooper, [Jennifer Lawrence] est bouleversante en mère déterminée, malgré la misère, à surmonter les pires difficultés pour commercialiser son invention : un balai-serpillière révolutionnaire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Russel nous livre un biopic à la gloire de son actrice fétiche, Jennifer Lawrence. Lumineux, enlevé, mais qui laisse son héroïne parfois un peu esseulée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Le pays entier vu comme le destin d'un article ménager. Gonflé, ambitieux et mordant.
Le Parisien
par Alain Grasset
La star de Hollywood Jennifer Lawrence est formidable dans ce film qui raconte l'ascension incroyable d'une Américaine ordinaire ayant inventé un balai-brosse révolutionnaire.
Positif
par Franck Garbaz
Donnant une ampleur romanesque à des situations quotidiennes, le réalisateur nous précipite définitivement vers la fiction.
Public
par Florence Roman
Un beau portrait de femme qui force le respect et une success story comme seule l'Amérique peut nous en offrir.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Dans la peau de Joy, de quasiment tous les plans, Jennifer Lawrence, oscarisée en 2013 pour Happiness Therapy et bien loin de l’univers de Hunger Games, montre toute l’étendue de son talent, à la fois puissante, fragile et toujours bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Brillant, drôle, émouvant, voilà un film qui met en joie.
Voici
par Jérôme Saunier
Le film est tiré d'une histoire vraie mais prompt au décrochage musical (Elvis fait un malheur), poétique et onirique. Explosive, (extra)ordinaire, Lawrence n'a jamais été aussi belle.
GQ
par Toma Clarac
"Joy" vaut essentiellement pour le portrait amoureux qui y est dressé de son actrice principale, de tous les plans ou presque. (...) Autour d'elle, le bilan est plus mitigé.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tirée d’une histoire vraie, une grande fresque biographique à l’américaine, formatée, avec le même réalisateur et les mêmes acteurs que dans “Happines Therapy”, pour les Oscars.
Paris Match
par Yannick Vely
Pourtant, malgré l'énergie de la mise en scène et l'interprétation de Jennifer Lawrence, "Joy" peine à nous convertir à cette vision ébahie du rêve américain. Jamais les règles du jeu capitaliste sont remises en question, même si l'épilogue est teintée d'une très légère amertume.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
L'histoire est sérieuse, mais ce business cocasse autorise le réalisateur à céder à son péché mignon, la comédie légèrement zinzin. Il entoure son héroïne d'une famille allumée, où brillent un Robert De Niro à bout de nerfs et une Isabella Rossellini farfelue à souhait.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
L’invention du balai auto-essorant méritait elle deux heures de « feel good movie » ? Pas sûr.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Cet alliage de naturel et de ripolinage ne dépasse guère un « premier degré et demi » trop connivent, un kitsch aimable et édifiant.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Biopic (Joy Mangano a vraiment existé) étalé sur quarante ans, mélodrame familial, fresque scorsésienne avec flocons de neige sortis d'une fable de Capra, satire inoffensive du rêve américain, David O. Russell court mille lièvres à la fois, mais, in fine, n'en attrape vraiment aucun.
Critikat.com
par Josué Morel
Si Joy n’échappe pas au récit édifiant de la mère courage qui va surpasser un à un les obstacles qui se dressent devant elle, le film repose toutefois sur un entrelacs de contradictions qui lézarde l’édifice et finit, laborieusement certes, par lui conférer un peu de complexité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Conte de Noël pour magazine économique, le nouveau film de David O. Russell (Happiness Therapy, American Bluff) offre quelques beaux moments de cinéma, mais manque de recul et de nuances.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
David O. Russell recycle ses thèmes habituels : la famille dysfonctionnelle et la quête de réussite sociale. Sauf qu’on n’éprouve aucune empathie pour l’héroïne. Longueurs et bavardages habillent ce film anecdotique et ennuyeux.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Cette success story à l'américaine tourne un peu à vide.
Libération
par Clémentine Gallot
Dans la foulée des hits de ses deux précédents films après une longue traversée du désert, le cinéaste s’installe aujourd’hui dans la redite des mêmes motifs artificiels et tapageurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Marilyne Letertre
Résultat : faute de parti pris, d’intentions claires, et, au final, d’émotion, ce film mineur ne captive pas totalement malgré son irréprochable actrice.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TF1 News
par Romain Le Vern
"Joy" est moins bien que "American Bluff" qui était déjà moins bien que "Happiness Therapy". On retrouve les mêmes qualités et les mêmes écueils que les précédentes comédies de David O. Russell. On commence aussi à se lasser.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
David O.Russell (…) condense en deux heures asphyxiantes tous les pires travers de sa filmographie.
aVoir-aLire.com
David O. Russell livre une épatante déclaration d’amour à la création, à l’idée, aux femmes aussi, moins dans un féminisme revendicatif que dans une célébration tendre et attentionnée d’une féminité toute puissante.
20 Minutes
La belle comédienne, découverte dans la saga « Hunger Games », est épatante en femme d’entreprise…
Elle
Dans le très beau et très enthousiasmant "Joy", de nouveau sous la direction de David O. Russell et toujours aux côtés de Bradley Cooper, [Jennifer Lawrence] est bouleversante en mère déterminée, malgré la misère, à surmonter les pires difficultés pour commercialiser son invention : un balai-serpillière révolutionnaire.
Franceinfo Culture
Russel nous livre un biopic à la gloire de son actrice fétiche, Jennifer Lawrence. Lumineux, enlevé, mais qui laisse son héroïne parfois un peu esseulée.
L'Express
Le pays entier vu comme le destin d'un article ménager. Gonflé, ambitieux et mordant.
Le Parisien
La star de Hollywood Jennifer Lawrence est formidable dans ce film qui raconte l'ascension incroyable d'une Américaine ordinaire ayant inventé un balai-brosse révolutionnaire.
Positif
Donnant une ampleur romanesque à des situations quotidiennes, le réalisateur nous précipite définitivement vers la fiction.
Public
Un beau portrait de femme qui force le respect et une success story comme seule l'Amérique peut nous en offrir.
Télé 2 semaines
Dans la peau de Joy, de quasiment tous les plans, Jennifer Lawrence, oscarisée en 2013 pour Happiness Therapy et bien loin de l’univers de Hunger Games, montre toute l’étendue de son talent, à la fois puissante, fragile et toujours bouleversante.
Télé 7 Jours
Brillant, drôle, émouvant, voilà un film qui met en joie.
Voici
Le film est tiré d'une histoire vraie mais prompt au décrochage musical (Elvis fait un malheur), poétique et onirique. Explosive, (extra)ordinaire, Lawrence n'a jamais été aussi belle.
GQ
"Joy" vaut essentiellement pour le portrait amoureux qui y est dressé de son actrice principale, de tous les plans ou presque. (...) Autour d'elle, le bilan est plus mitigé.
Le Dauphiné Libéré
Tirée d’une histoire vraie, une grande fresque biographique à l’américaine, formatée, avec le même réalisateur et les mêmes acteurs que dans “Happines Therapy”, pour les Oscars.
Paris Match
Pourtant, malgré l'énergie de la mise en scène et l'interprétation de Jennifer Lawrence, "Joy" peine à nous convertir à cette vision ébahie du rêve américain. Jamais les règles du jeu capitaliste sont remises en question, même si l'épilogue est teintée d'une très légère amertume.
Télérama
L'histoire est sérieuse, mais ce business cocasse autorise le réalisateur à céder à son péché mignon, la comédie légèrement zinzin. Il entoure son héroïne d'une famille allumée, où brillent un Robert De Niro à bout de nerfs et une Isabella Rossellini farfelue à souhait.
VSD
L’invention du balai auto-essorant méritait elle deux heures de « feel good movie » ? Pas sûr.
Cahiers du Cinéma
Cet alliage de naturel et de ripolinage ne dépasse guère un « premier degré et demi » trop connivent, un kitsch aimable et édifiant.
Charlie Hebdo
Biopic (Joy Mangano a vraiment existé) étalé sur quarante ans, mélodrame familial, fresque scorsésienne avec flocons de neige sortis d'une fable de Capra, satire inoffensive du rêve américain, David O. Russell court mille lièvres à la fois, mais, in fine, n'en attrape vraiment aucun.
Critikat.com
Si Joy n’échappe pas au récit édifiant de la mère courage qui va surpasser un à un les obstacles qui se dressent devant elle, le film repose toutefois sur un entrelacs de contradictions qui lézarde l’édifice et finit, laborieusement certes, par lui conférer un peu de complexité.
La Croix
Conte de Noël pour magazine économique, le nouveau film de David O. Russell (Happiness Therapy, American Bluff) offre quelques beaux moments de cinéma, mais manque de recul et de nuances.
Le Journal du Dimanche
David O. Russell recycle ses thèmes habituels : la famille dysfonctionnelle et la quête de réussite sociale. Sauf qu’on n’éprouve aucune empathie pour l’héroïne. Longueurs et bavardages habillent ce film anecdotique et ennuyeux.
Le Monde
Cette success story à l'américaine tourne un peu à vide.
Libération
Dans la foulée des hits de ses deux précédents films après une longue traversée du désert, le cinéaste s’installe aujourd’hui dans la redite des mêmes motifs artificiels et tapageurs.
Metro
Résultat : faute de parti pris, d’intentions claires, et, au final, d’émotion, ce film mineur ne captive pas totalement malgré son irréprochable actrice.
TF1 News
"Joy" est moins bien que "American Bluff" qui était déjà moins bien que "Happiness Therapy". On retrouve les mêmes qualités et les mêmes écueils que les précédentes comédies de David O. Russell. On commence aussi à se lasser.
Les Inrockuptibles
David O.Russell (…) condense en deux heures asphyxiantes tous les pires travers de sa filmographie.