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mais qu'est ce c'est creux : aucun rythme , un scénario minimaliste il ne se passe rien dans ce , heu.., film
Le réalisateur Andrew Traucki nous offre un très bon "found-footage" avec The Jungle. L'immersion dans cette jungle indonésienne située à l'ouest de Java est totale. Les différentes caméras utilisées sont d'excellentes qualités, surtout le mode nocturne de la caméra principale. Le travail sur le son est énorme lui aussi, on entend les branches craquer et les feuilles tomber ! Les acteurs sont très bon, on croirait véritablement regarder un documentaire, avec toute la tension d'un film d'horreur en plus. J'ai aussi beaucoup apprécié la dualité des personnages, avec d'un côté, les indonésiens très croyants et superstitieux, et de l'autre, les visiteurs qui foncent tête baissée dans le projet. Le film comporte néanmoins deux défauts majeurs : une fin un peu bâclée et des répétitions assez embêtantes. Certes, The Jungle ne prend aucun risque dans son scénario, mais il regorge de plein d'autres qualités et d'une réalisation très esthétique...
Un found footage qui a le mérite d’être honnête formellement parlant, juste qu’il n’y a pas vraiment d’angoisse particulière, ça se résume à un jeu du chat et de la souris tournant en rond, la notion d’espace est assez vague, les personnages ne communiquent pas grand chose également, mais le tout reste un minimum regardable, limite bien meilleur (et surtout moins grossier) que ce qui ce fait dans le genre depuis quelques années, donc à saluer.
Bof, bof...un énième émule du "Projet Blair Witch" qui, en dehors de ses 5 dernières minutes, n'est franchement pas captivant...J'en ai un peu assez de ce genre de film en found footage qui n'apporte rien de neuf au cinéma d'aventure/d'épouvante...
RedArrow
"Dans la jungle, terrible jungle",... ben il ne se passe rien.
"The Jungle" confortera sans doute les détracteurs de found-footages dans leur opinion tant le long-métrage d'Andrew Traucki condense tous les pires défauts souvent présents dans ce genre de films. Pourtant, a priori, on pouvait y croire avec le réalisateur de "Black Water" et "The Reef" aux commandes d'un pitch classique mais intriguant : un passionné de grands félins et son frère, accompagnés de deux locaux, partent en expédition dans la jungle indonésienne pour observer et prouver que la panthère de Java y vit encore à l'état sauvage et ainsi permettre de sauver son habitat naturel de la déforestation...sauf que bien sûr, rien ne va se passer comme prévu, surtout lorsqu'un sorcier vous dit qu'il y a un démon tout pas content qui a élu domicile dans le coin.
Reconnaissons-le, le film repose sur une bonne idée, le problème c'est qu'il n'en fera absolument rien (et pourtant utiliser ce thème bien connu des fans d'horreur/fantastique dans un contexte exotique aurait pu donner quelque chose d'intéressant), la gardant bizarrement pour les cinq dernières minutes (les plus attentifs auront compris bien avant de quoi il en retourne), nous obligeant à supporter avant cela 1h15 de néant absolu (mais vraiment, hein, il ne se passe absolument RIEN !).
Entre tous les clichés du FF (caméra qui tombe à chaque fois que quelque chose se passe, des longs plans sur du vide parce qu'une branche a craqué 2 km plus loin et j'en passe), les affrontements répétitifs entre le chercheur et les deux indonésiens ("il faut partir Larry ! - Non, il faut continuer, ce ne sont que des superstitions", ça revient toutes les cinq minutes) et l'obstination absurde de celui-ci à vouloir poursuivre l'expédition coûte que coûte ("Heu, Larry, il y a des bouts d'os accrochés partout aux arbres pour invoquer des démons ! - C'est rien, les gars, c'est par là qu'on va !", "Heu, Larry, la panthère qu'on poursuit, ben, heu, elle mange les autres panthères quand même ! - Mais non, c'est rien, les gars, on continue !", "Heu, Larry, il y a la main coupée d'un type parterre ! - Bah il a dû laisser la laisser là pour qu'elle se repose, allez, on est sur la bonne route !").
On arrivera alors au final où apparaît THE bonne idée, sans doute autour de laquelle a été construit tout le film et qui, si elle avait été utilisée une demi-heure avant, aurait pu complètement changer la donne car le traitement qui en est fait ici fini d'achever le film dans le ridicule, nous laissant pratiquement la larme à l'œil d'avoir gaspillé 1h20 de notre vie lorsque le générique de fin apparaît.
Une cata, quoi !
"The Jungle" confortera sans doute les détracteurs de found-footages dans leur opinion tant le long-métrage d'Andrew Traucki condense tous les pires défauts souvent présents dans ce genre de films. Pourtant, a priori, on pouvait y croire avec le réalisateur de "Black Water" et "The Reef" aux commandes d'un pitch classique mais intriguant : un passionné de grands félins et son frère, accompagnés de deux locaux, partent en expédition dans la jungle indonésienne pour observer et prouver que la panthère de Java y vit encore à l'état sauvage et ainsi permettre de sauver son habitat naturel de la déforestation...sauf que bien sûr, rien ne va se passer comme prévu, surtout lorsqu'un sorcier vous dit qu'il y a un démon tout pas content qui a élu domicile dans le coin.
Reconnaissons-le, le film repose sur une bonne idée, le problème c'est qu'il n'en fera absolument rien (et pourtant utiliser ce thème bien connu des fans d'horreur/fantastique dans un contexte exotique aurait pu donner quelque chose d'intéressant), la gardant bizarrement pour les cinq dernières minutes (les plus attentifs auront compris bien avant de quoi il en retourne), nous obligeant à supporter avant cela 1h15 de néant absolu (mais vraiment, hein, il ne se passe absolument RIEN !).
Entre tous les clichés du FF (caméra qui tombe à chaque fois que quelque chose se passe, des longs plans sur du vide parce qu'une branche a craqué 2 km plus loin et j'en passe), les affrontements répétitifs entre le chercheur et les deux indonésiens ("il faut partir Larry ! - Non, il faut continuer, ce ne sont que des superstitions", ça revient toutes les cinq minutes) et l'obstination absurde de celui-ci à vouloir poursuivre l'expédition coûte que coûte ("Heu, Larry, il y a des bouts d'os accrochés partout aux arbres pour invoquer des démons ! - C'est rien, les gars, c'est par là qu'on va !", "Heu, Larry, la panthère qu'on poursuit, ben, heu, elle mange les autres panthères quand même ! - Mais non, c'est rien, les gars, on continue !", "Heu, Larry, il y a la main coupée d'un type parterre ! - Bah il a dû laisser la laisser là pour qu'elle se repose, allez, on est sur la bonne route !").
On arrivera alors au final où apparaît THE bonne idée, sans doute autour de laquelle a été construit tout le film et qui, si elle avait été utilisée une demi-heure avant, aurait pu complètement changer la donne car le traitement qui en est fait ici fini d'achever le film dans le ridicule, nous laissant pratiquement la larme à l'œil d'avoir gaspillé 1h20 de notre vie lorsque le générique de fin apparaît.
Une cata, quoi !
Caméra à l'épaule genre Paranormal Activity, rien ne se passe avant 40-50 minutes, et même quand enfin arrive quelque chose, c'est trop tard : soit on s'est déjà endormi, soit on est assommé par toutes ses longueurs inutiles et effets de caméras grotesques.
Revenez à Blair Witch ou REC et restez-y (au moins pour ce que j'en pense en mieux en comparaison)
Revenez à Blair Witch ou REC et restez-y (au moins pour ce que j'en pense en mieux en comparaison)
soniadidierkmurgia
Andrew Traucki place son ambition cinématographique dans le no man’s land instauré par « Le projet Blair Witch » en 1999, lui-même vaguement inspiré en plus soft des faux reportages gore italiens des années 1980 (« Cannibal Holocaust » de Ruggero Deodato en 1980, « Cannibal Ferox » d’Umberto Lenzi en 1981) qui firent scandale en leur temps. No man’s land car on est bien dans un entre-deux mal défini, naviguant entre le film de fiction et le reportage dont la véritable vocation est le plus souvent de cacher un manque de moyens ou d’imagination. En deux films sur le mode du survival, « Black Water » et « The reef » le réalisateur australien a réussi à se faire un nom dans un genre qui a ses adeptes, surtout friands de frissons à bon compte qui les placent dans des situations angoissantes qu’ils pourraient très bien rencontrer sur leur prochain lieu de vacances comme par exemple se trouver être la proie d’un requin blanc après une excursion maritime qui tourne mal. On est bien sûr très loin de l’ambition et du talent d’un Steven Spielberg qui en 1975 affolait toute la planète avec « Jaws ». Si l’on veut ne pas être trop sévère avec « The jungle » il faut nous-mêmes revoir nos ambitions à la baisse et reconnaître que dans le genre si particulier de son art (peut-on parler d’art ?), Traucki sait rester modeste contrairement à certains de ses collègues qui se prennent le pied dans le tapis comme Oren Peli avec « Paranormal activity » qui croit avoir décroché le graal de la créativité avec un film inepte sur deux jeunes adultes filmant durant une heure trente leur maison vide à la recherche de phénomènes paranormaux. Traucki plus humble mais aussi plus efficace utilise les bonnes vieilles recettes du survival héritées des maîtres du genre. En changeant d’univers à chaque film il tente tant bien que mal de maintenir son spectateur en haleine. Fini la mangrove et ses crocodiles, fini l’océan Pacifique et son requin blanc, bienvenue dans la jungle pour la traque de la dernière panthère de Java . Inutile d’attendre quoique ce soit des acteurs qui ne sont ici que les instruments d’un suspense entièrement basé sur l’attente de la bête tapie dans les hautes herbes. Un filon qui finira fatalement par vite s'épuiser.
Pas vraiment flippant et tournant en rond ne perdez pas votre temps.
j'ai bien aimee ce film,mais ce qui ma enerve c'est le blanc avec sa carabine qui croit avec un collier en pleine nuit avec une camera a vision nocturne pouvoir attrappe une panthere !mais bon c'est le film,mais ou ya des moment ou je geulais c'est quand les deux blanc se foutent des croyances des indonesiens particulierement du duncan!c'est aussi pourquoi ils vont regrette de ne pas avoir pris au serieux la secretaire au debut,le duncan,et le villageois qui decend de la montagne pour leur dire qu'il a vu des cages avec des annimaux.j'espere qu'il y aura une suite avec un peu plus d'action et qu'on sache au final a quoi on a a faire comme predateur ou demon de la foret?jai oublier de dire que pour des scientifique qui s'interresse a la panthere de java ils ont du vexer les vrais professionel en ce qui concerne l'etude des panthere ils auraient pu respecter la franchement ya des moment ou ce harry meritais des claques il vient dans un pays qui n'est pas le sien il respecte aucune consigne de securite enfin meme si c'est un film il faut quand meme que ce soit quand meme realiste meme dans une fiction,franchement ca aurais pu etre un bon film mais tous a ete fais a la vite fais ,sans doute un petit budget?esperons un the jungle 2 mais cette fois mieux beaucoup mieux!!!!
Pff quel film de merde... Ça a duré 1h20, et en tout et pour tout, combien de minutes de flippe on a ? A peine deux je pense (je suis gentil), et encore c'est pas méchant. Sinon à part ça il n'y a pas grand-chose à dire... Bah oui il ne se passe rien, alors comment voulez-vous que je fasse une vraie critique sur un film comme celui-là ? Mes seules remarques iront au (très) mauvais jeu d'acteur de Rupert Reid : son personnage aurait mérité quelques tartes bien senties pour le faire revenir à la réalité tellement il m'a inspiré de l'antipathie. L'autre chose exaspérante c'est le rythme du film : un encéphalogramme plat pendant plus d'une heure, que les acteurs essayent vainement de rompre en nous figurant la détérioration des relations entre leurs personnages au fil du temps (est-il besoin de le préciser, c'est raté), un peu à la manière du "Projet Blair Witch", une autre merde filmée en found-footage (tiens comme par hasard !) dont "The Jungle" s'inspire assez largement. Question inspiration en la matière il y a beaucoup mieux, et il ne faut donc pas être surpris du résultat lamentable de cette production australienne. A enfermer aux oubliettes !
Le film n'évite pas les clichés du genre, mais contrairement aux autres "found footage", il ne nous propose pas une image graveleuse et tremblante... Le film ne nous donne pas la nausée au bout de quelques minutes ! L'histoire se laisse voir, mais il manque de vrais moments de tension. De plus, la fin est bien trop rapide, bâclée et téléphonée... Dommage !
Encore un found footage..... sauf que celui là, en jouant la carte du reportage animalier sur la traque du leopard, est un poil plus digeste que les autres.
Aprés, on a absolument tous les clichés du genre, vision nocturne, noir, saute d'image... la totale!
Au niveau acteurs, cela reste correct sans plus
Aprés, on a absolument tous les clichés du genre, vision nocturne, noir, saute d'image... la totale!
Au niveau acteurs, cela reste correct sans plus
Et encore un found footage, un : depuis que "Paranormal Activity" a prouvé que de la merde pouvait rapporter des millions, tout le monde essaye de fabriquer sa poule aux œufs d’or. "The Jungle" n’apporte pas grand-chose de nouveau au genre : l’atmosphère générale du film est une sorte de rencontre entre "Le Projet Blair Witch" et "Cannibal Holocaust" et il ne se passe rien du tout à l’écran. Même si l’accroche initiale des gars qui viennent filmer des félins pour les protéger des autochtones locaux peut nous intéresser quelques minutes, il faut attendre les trois quarts du film (et c’est long, même pour un film de seulement 1h20 !) pour que cela commencer à bouger un peu (et encore : tout est amené avec la subtilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaines !!). Et si vous rechercher des frissons, bin vous allez être déçus car tout se résume en 2-3 jump scares pathétiques balancés grossièrement à l’écran sans aucun style. Je vais vite passer sur le jeu des acteurs puisqu’il n’y en a pas (c’est quoi une direction d’acteurs ??!!), tout autant que la bande originale. Bref, "The Jungle" c’est naze et il ne faut surtout pas dépenser du fric dedans : allez voir "The Baby" qui est sorti récemment, c’est tout de même mieux…
Vous avez vu la bande annonce ? Vous avez vu le film...
Mais sérieusement ce film à dut être tourné à une après midi barbecue avec un peu trop de bière à mon gout.
Si on vous l'offre en cadeau, c'est que l'on ne vous aime pas xD
Mais sérieusement ce film à dut être tourné à une après midi barbecue avec un peu trop de bière à mon gout.
Si on vous l'offre en cadeau, c'est que l'on ne vous aime pas xD
FaRem
Après le crocodile dans "Black water" et le requin dans "The reef", Andrew Traucki met en scène une nouvelle bestiole dans ce film qui se présente comme un "found footage". Les films de ce genre avec comme base une expédition qui tourne mal sont nombreux et celui-ci est loin d'être réussite. Le problème avec ce genre de film, c'est que l'histoire est juste un prétexte à ce qui suit sauf qu'ici, l'histoire est vraiment inintéressante. Sur les 1h20 que durent le film, on a droit à 1h10 de documentaire animalier avant une courte dernière partie qui est loin d'être satisfaisante. Je n'ai rien contre le fait de ne rien voir pour qu'on puisse faire travailler notre imagination, mais encore faut-il que ça soit bien emmené et qu'il y ait un minimum de matière, ce qui n'est pas le cas ici. Il n'y a strictement rien à se mettre sous la dent, ni ambiance ni tension, c'est un peu le néant complet. Bref, d'un ennui mortel.
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