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Un visiteur
4,0
Publiée le 18 mars 2015
Moment d'émotion of course ! Demain je me renseigne pour un dépistage ?? Julianne Moore excellente comme d'habitude, je suis une inconditionnelle ! Et un beau retour d'Alec Baldwin !
Ce film assez long m'as endormi... Je vous recommande des films plus joyeux tels que les Tuches 4 ! Je ne suis peut-être pas un génie cinématographique mais vraiment je recommande pas la ... Même Princesse Kagouia était meilleur
Mélo américain, qui met en scène le caractère injuste de la survenue d'une maladie. Cette femme belle, intelligente, aimante et aimée par un mari attentif, mère de trois enfants, exerce un métier dans lequel elle est reconnue. Elle enseigne la linguistique, étudie les processus d'acquisition et de développement de la langue. Puis, l'oubli et le manque du mot surviennent. Alice consulte en neurologie et un diagnostic d'Alzheimer précoce est posé. Nous assistons à la dégradation progressive de cette femme et aux conséquences sur son entourage...
Still Alice. Le simple titre de ce film américain en dit déjà beaucoup.. Rester Alice. Coûte que coûte. Voilà le combat que toutes les victimes d'Alzheimer endurent. Vouloir rester eux-mêmes. Malgré la différence, le fossé qui se fonde entre leur famille, leurs proches, et cette maladie qui les anéantit.
Alice, quinquagénaire dont tout a réussi jusqu'à présent est atteinte d'Alzheimer précoce. Elle le remarque vite.. Tout d'abord quelques mots clairsemés par-ci par-là qui lui échappent.. Vient ensuite son orientation géographique qui lui fait défaut.. Accablée par la nouvelle, elle va tenter de se relever, plus d'une fois, grâce à l'amour que lui porte son mari et ses trois enfants (Kristen Stewart particulièrement attachante en petite dernière voulant tant bien que mal percer dans le milieu du théâtre). Seulement, tout se dégrade très vite. Et personne ni bien la science ne pourra intervenir et contrer cette tragédie.
Julianne Moore endosse à la perfection le rôle de sa vie qui lui a valu la petite statuette lors de la dernière cérémonie des Oscars. Faits et gestes, attitude.. Le personnage se fond littéralement en elle. On ne voit qu'elle. Ce film peut être considéré comme biopic à la rigueur. Peut-être est-ce ce point qui a rendu les critiques peu généreuses?
Triste et douloureux du début à la fin, Still Alice marque les cœurs et les esprits. Voyez-le calmement, et par la suite, pensez à profiter de chaque instant de bonheur que vous rencontrez sur le passage de votre petit fil de vie, parfois tumultueux.
le sujet est bien traité et expliqué et même joué mais ca sonne creux et vide à pas mal de moments donc on finit par décrocher assez souvent et c'est dommage, après c'est un bon film juste ca manque vraiment de rythme et ca casse pas mal la dynamique
Après l'Oscar , j'ai décidé d'aller voir le film .Mauvaise surprise : scénario et réalisation sont faibles / La belle surprise pour moi c'est Kristen Stewart surtout à la fin du film ou elle lit la poème à sa mère , son jeu dans ce film est différent de sils maria ou elle a eu son césar de second rôle et différant aussi de celui de Camp X Ray. Julianne moore avec tout le respect , mérite - t'elle son oscar ????? J'ai vu le film Gone Girl , l'actrice principale mérite vraiment l'oscar de la meilleure actrice. Mon note sera pour Kristen Stewart et l'autre actrice Kate Bosworth ( une découverte pour moi ).
Un film à la thématique dramatique avec un casting qui fonctionne à merveille... Julianne Moore nous offre une interprétation tout en profondeur. Touchant et captivant.
Julianne Moore ne fait que confirmer son statut de grande actrice qui ne cesse de m'impressionner films après films. Malgré certains clichés sur le mariage, les enfants, la "femme parfaite", c'est un très beau film, mais très triste!
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2,5
Publiée le 2 juin 2022
Tout le monde peut-être atteint de la maladie d'Alzheimer! Même la grande Julianne Moore! C'est le travail de toute une vie qui disparait petit à petit pour Alice! Soutenue par une famille dèvouèe, cette enseignante à l'universitè vit avec un Alzheimer prècoce! Un film où chaque scène est construit de la même façon! C'est à dire qu'on va guetter le faux pas de l'hèroïne! Comment va se manifester sa maladie ? Qu'est-ce qu'elle va oublier ? Quel neurone va flancher ? Ce n'est pas un reproche mais on a l'impression que chaque scène crèe une espèce de prise d'otage pour que le spectateur verse sa petite larme! S'il n'y avait pas le talent de Julianne Moore, "Still Alice" n'aurait pas la même saveur! il faut donc saluer sa performance, spoiler: en particulier la sèquence où Alice ne se rappelle plus où sont les toilettes! Terrible! Pas que pour elle, mais aussi pour son mari (excellent Alec Baldwin) qui ne peut rien faire si ce n'est voir progresser cette maladie familiale et hèrèditaire! Oscar de la meilleure actrice pour une Julianne Moore èmouvante qui ne trouve plus ses mots! Aucune surprise scènaristiquement parlant mais une comèdienne qu'on ne peut oublier...
Oui, cela fait très cinéma indépendant et on sent que tout est fait pour nous émouvoir... Et alors ? Plutôt logique lorsque l'on évoque la maladie d'Alzheimer ! « Still Alice » n'est pas un grand film, il manque un peu d'ampleur dans sa réalisation et fait peut-être un peu trop « propre sur lui », mais le sujet est traité avec sensibilité, intelligence et pudeur, le parcours de l'héroïne s'avérant toujours juste et crédible, le scénario prenant soin de ne jamais tomber dans l'obscène. Au contraire, il y a quelque chose de tendre, d'attachant dans la manière de la filmer (notamment lorsqu'elle court), tout comme dans les relations qu'elle entretient avec les membres de sa famille, assez subtiles. Enfin, si les seconds rôles sont tous convaincants (notamment Kristen Stewart), c'est bien entendu la merveilleuse Julianne Moore qui focalise l'attention, tout en nuances et sobriété jusqu'au bout : un Oscar (son premier, il était temps !) mérité. Une des belles réussites de ce début d'année.
Émouvant et triste, Still Alice est un drame sensible qui retrace le combat d’une femme atteinte d’Alzheimer. Avec simplicité et beaucoup de tendresse, le film de Wash Westmoreland et Richard Glatzer livre une histoire terrible, offrant une approche réaliste et touchante de la maladie, sans jamais sombrer dans le pathos grâce à une Julianne Moore parfaite et lumineuse. Néanmoins, malgré une tonalité positive, Still Alice aborde un sujet fort, jamais vu sous cet angle au cinéma, dont la tristesse est affreusement contagieuse. >>> La critique complète est sur mon blog
Avec un Oscar bien mérité pour sa prestation dans ce film poignant qui offre un éclairage assez sobre sur la maladie d’Alzheimer, Julianne Moore doit être à ce jour la seule actrice de l’histoire du cinéma à avoir décroché un prix dans les trois plus grands festivals (Cannes, Venise et Berlin). Juste retour des choses pour celle qui un peu dans l’ombre de Meryl Streep a su montrer au cours d’une carrière déjà longue d’une soixantaine de films un talent protéiforme et une capacité jamais démentie à mettre son image en danger que ce soit chez les frères Coen, Todd Haynes ou David Cronenberg. Le rôle d’Alice était sans aucun doute pour elle le moyen idéal pour aller enfin chercher la statuette, mais encore fallait-il ne pas sombrer dans le pathos excessif que lui proposait le sujet. De ce point de vue l’objectif est parfaitement atteint, Julianne Moore avec le réalisateur Richard Galtzer (mort juste après le film de la maladie de Charcot) réussissant à montrer l’image d’une femme qui jusqu’au bout aura tenté de préserver sa dignité, sa personnalité et son amour pour ses proches. Les étapes de la maladie rythment le film un peu selon le canevas classique d’un suspense ce que certains ont reproché à Glatzer. Nous sommes tout de même à Hollywood, il ne faut pas l’oublier et l’efficacité doit toujours être au rendez-vous. Est-ce un mal ? A chacun de juger. La découverte insidieuse de la maladie est sans doute la partie la plus captivante et la plus touchante de "Still Alice" car à ce moment Alice est seule face à quelque chose qu’elle tente d’éloigner d’elle par tous les moyens mnémotechniques que son intelligence l’appelle à rechercher. L’effroi qui saisit cette femme encore jeune lorsqu’elle comprend comme elle le dit elle-même que : « Le sol se dérobe sous ses pieds » est communicatif et la scène poignante où Alice se confie à son époux (Alec Baldwin très sobre) résume parfaitement l’angoisse de cette perte d’identité qui commence. Le film doit bien évidemment beaucoup à Julianne Moore complètement investie avec son metteur en scène contre ce fléau des temps modernes qui n’a pas encore trouvé d’explications satisfaisantes ni bien sûr un soupçon de traitement efficace. Le deuxième partie se rapproche davantage d’autres films sur la fin de vie avec notamment l’évocation du choix d’en finir qui finit bien sûr par échapper à Alice qui n’est plus maîtresse de ses décisions. Un film utile qui interroge chacun de nous sur l'attitude à adopter face à ce diagnostic qui vous annonce que bientôt vous ne serez plus vous-même .
Première remarque, attention quand on double un film en français, une réplique a déchiré mon oreille, si.....Je pourrais (horreur, horreur), comme on disait dans ma jeunesse à l'école, les si n'aiment pas les rais.......la langue et la grammaire disent, si ......Je pouvais..... Pour en revenir au film, il est à double tranchant, c'est un drame sur la maladie d'Alzheimer qui est bourré d'émotions, et les américains en font des tonnes (le miroir, la mer, le pipi, les médicaments, etc....), cela peut sembler trop accentué comme un délire romantique.....Ou alors on va dans le sens du film et l'on pleure toutes les dix minutes......Le numéro de Julianne Moore est très convaincant, les seconds rôles aussi ( son mari, Alec Baldwin, ses enfants Kristen Stewart, etc....)......Le mérite du film est d'à peu près balayé tous les signes avant coureurs d'Alzheimer, et de proposer une histoire pour le moins romantique......Son défaut est de vouloir faire larmoyer en permanence, des pièges à éviter pour apprécier un film quand même intéressant et d'actualité......Je dirais quand même qu'on a vu beaucoup mieux dans le genre (les petites choses avec Bernard Campan (?) ou le bouleversant Awakenings avec De Niro et Robin Williams (?)..... A voir quand même je pense.....