Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Julianne Moore incarne une jeune femme atteinte d'une forme précoce de la maladie d'Alzheimer dans "Still Alice". Son combat contre cette pathologie incurable est au centre d'un beau film qui lui a valu de recevoir l'Oscar cette année.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
A la fois un honneur et un crève-coeur. (...) Julianne Moore y livre une prestation brillante qui se concentre sur l’isolation progressive et la détresse de la patiente.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Metro
par Marilyne Letertre
Bien que Still Alice émeuve aux larmes, scénario et mise en scène évitent le pathos, épargnant aux spectateurs les adieux mélo de l’héroïne à ses proches ou les symptômes physiques les plus trash de sa pathologie.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Elle
par Françoise Delbecq
Julianne Moore est divine dans ce rôle de femme qui perd ses repères et voit ses facultés intellectuelles diminuer.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Cette transposition du roman L'Envol du papillon, de Lisa Geneva, aborde avec justesse la maladie et ses conséquences sur les proches. (...) Julianne Moore est bouleversante de vérité et donne un visage et une voix aux victimes de cette dramatique affection.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Quand le cinéma traite de la maladie, l'émotion et les larmes font partie du contrat. Ce qui n'empêche pas, comme ici, de dépasser les trémolos faciles pour évoquer avec acuité ce thème douloureux qui concerne tant de familles.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Julianne Moore exceptionnelle dans ce nouveau drame de l’oubli.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) c’est probablement la sincérité de la démarche qui maintient le film à flots alors que, de l’écriture à la mise en scène, "Still Alice" est souvent fragilisé par un volontarisme un peu trop démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
"Still Alice" s'adresse spécifiquement aux amateurs de mélodrame, qui y trouveront leur compte.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un drame solidement construit à l’américaine, et une performance oscarisée, enfin !, pour Julianne Moore.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) le film repose sur la performance de son interprète principale, Julianne Moore, récompensée aux derniers Oscars. Elle appréhende la dégradation mentale et physique de son personnage avec une subtilité, une pudeur et un humanisme bouleversants, de quoi oublier une mise en scène académique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Franck Nouchi
Les qualités, indéniables, de ce film ne sauraient faire oublier certaines de ses particularités. "Still Alice" est raconté d'un seul point de vue (...). Du même coup, (...) les autres personnages deviennent relativement secondaires, au point de paraître parfois "inachevés".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Le film ne tombe jamais dans le pathos le plus noir. (...). Seul souci, ce film, émotionnellement très fort, manque d'une réalisation au diapason qui en aurait fait un modèle du genre.
Libération
par Julien Gester
Dans ce mélodrame qui a l’élégance de tempérer ses effets et ainsi de déléguer à ses seuls acteurs le sacerdoce de l’empêcher de sombrer dans une fadeur pleurnicheuse, Julianne Moore prête ses traits au rôle-titre, mi-boule de larmes et de colère, mi-fantôme de sa propre vie (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Si quelques scènes sont attendues, l'écriture comme l'interprétation sont d'une sobriété remarquable.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Louis Guichard
(...) le jeu de Julianne Moore est souvent stylisé, euphémique, blanc comme on le dit d'une voix. A part ça, le film, essentiellement compassionnel, réserve peu de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Alors qu’un tel sujet s’offrait à une palette de couleurs et d’approches, "Still Alice" s'en tient à une linéarité consternante, très pauvre en mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Première
par Stephanie Lamome
Alice, linguiste, un mari, trois enfants, une maison au bord de l’océan, commence à oublier des mots et à ranger son portable dans le frigo. Le diagnostic tombe : Alzheimer précoce. Le film déroule alors sa dégénérescence programmée.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Ce mélo téléfilmesque ne vaut que pour Julianne Moore qui mérite sa statuette dorée et qui, de toute façon, la méritait depuis "Safe" (Todd Haynes, 1995).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Piteux spectacle qui ne rend pas honneur au génie, authentique, de Julianne Moore et de ceux qui l’accompagnent ici.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Julianne Moore incarne une jeune femme atteinte d'une forme précoce de la maladie d'Alzheimer dans "Still Alice". Son combat contre cette pathologie incurable est au centre d'un beau film qui lui a valu de recevoir l'Oscar cette année.
CNews
A la fois un honneur et un crève-coeur. (...) Julianne Moore y livre une prestation brillante qui se concentre sur l’isolation progressive et la détresse de la patiente.
Metro
Bien que Still Alice émeuve aux larmes, scénario et mise en scène évitent le pathos, épargnant aux spectateurs les adieux mélo de l’héroïne à ses proches ou les symptômes physiques les plus trash de sa pathologie.
Elle
Julianne Moore est divine dans ce rôle de femme qui perd ses repères et voit ses facultés intellectuelles diminuer.
Télé 2 semaines
Cette transposition du roman L'Envol du papillon, de Lisa Geneva, aborde avec justesse la maladie et ses conséquences sur les proches. (...) Julianne Moore est bouleversante de vérité et donne un visage et une voix aux victimes de cette dramatique affection.
Télé 7 Jours
Quand le cinéma traite de la maladie, l'émotion et les larmes font partie du contrat. Ce qui n'empêche pas, comme ici, de dépasser les trémolos faciles pour évoquer avec acuité ce thème douloureux qui concerne tant de familles.
aVoir-aLire.com
Julianne Moore exceptionnelle dans ce nouveau drame de l’oubli.
Critikat.com
(...) c’est probablement la sincérité de la démarche qui maintient le film à flots alors que, de l’écriture à la mise en scène, "Still Alice" est souvent fragilisé par un volontarisme un peu trop démonstratif.
Ecran Large
"Still Alice" s'adresse spécifiquement aux amateurs de mélodrame, qui y trouveront leur compte.
Le Dauphiné Libéré
Un drame solidement construit à l’américaine, et une performance oscarisée, enfin !, pour Julianne Moore.
Le Journal du Dimanche
(...) le film repose sur la performance de son interprète principale, Julianne Moore, récompensée aux derniers Oscars. Elle appréhende la dégradation mentale et physique de son personnage avec une subtilité, une pudeur et un humanisme bouleversants, de quoi oublier une mise en scène académique.
Le Monde
Les qualités, indéniables, de ce film ne sauraient faire oublier certaines de ses particularités. "Still Alice" est raconté d'un seul point de vue (...). Du même coup, (...) les autres personnages deviennent relativement secondaires, au point de paraître parfois "inachevés".
Le Parisien
Le film ne tombe jamais dans le pathos le plus noir. (...). Seul souci, ce film, émotionnellement très fort, manque d'une réalisation au diapason qui en aurait fait un modèle du genre.
Libération
Dans ce mélodrame qui a l’élégance de tempérer ses effets et ainsi de déléguer à ses seuls acteurs le sacerdoce de l’empêcher de sombrer dans une fadeur pleurnicheuse, Julianne Moore prête ses traits au rôle-titre, mi-boule de larmes et de colère, mi-fantôme de sa propre vie (...).
Positif
Si quelques scènes sont attendues, l'écriture comme l'interprétation sont d'une sobriété remarquable.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
(...) le jeu de Julianne Moore est souvent stylisé, euphémique, blanc comme on le dit d'une voix. A part ça, le film, essentiellement compassionnel, réserve peu de surprises.
Franceinfo Culture
Alors qu’un tel sujet s’offrait à une palette de couleurs et d’approches, "Still Alice" s'en tient à une linéarité consternante, très pauvre en mise en scène.
Première
Alice, linguiste, un mari, trois enfants, une maison au bord de l’océan, commence à oublier des mots et à ranger son portable dans le frigo. Le diagnostic tombe : Alzheimer précoce. Le film déroule alors sa dégénérescence programmée.
TF1 News
Ce mélo téléfilmesque ne vaut que pour Julianne Moore qui mérite sa statuette dorée et qui, de toute façon, la méritait depuis "Safe" (Todd Haynes, 1995).
Les Inrockuptibles
Piteux spectacle qui ne rend pas honneur au génie, authentique, de Julianne Moore et de ceux qui l’accompagnent ici.