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    Sausage Party
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    2,6
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    366 critiques spectateurs

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    Cinememories
    Cinememories

    480 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2017
    spoiler: « Face à la polémique qu’il engendre aisément chez des parents « irresponsables », je ne peux que défendre le point de vue du film, qui en soi, est nullement fautif. Oui, le film se veut exploiter une trame allant du trash à la pornographie. La limitation actuelle ne reflète pas le bon côté des choses, et ce n’est certainement pas recommandable ni même diffusable d’âmes innocentes, certes. Mais il incombe à chacun de se renseigner avant d’aller voir un film (car j’ai eu vent d’établissement qui le laissait pour tout public), même si cela est une animation. Ce genre n’illustre en aucun cas de la tendre poésie visuelle ou encore une voie éducative par le script, non. Maintenant que tout est clair, commençons. »


    Voilà une surprise venant de Conrad Vernon, qui a contribué à la réalisation du fabuleux Shrek 2 ou encore du fastidieux Madagascar 3. Greg Tiernan l’accompagne alors dans un délire qui s’assume de bout en bout, se réservant un divertissement hautement perturbant si on est mal placé pour ouvrir son esprit d’observation. Il n’y a plus que cela à faire, car la réflexion est prohibée par le noyau du projet, qui s’annonce flou, comme s’il s’était lui-même shooté son « idéologie ».

    On l’aura compris, la forme d’humour touche le fond du divertissement hardcore. C’est appréciable par certains, alors que d’autres ne broncheraient absolument pas. Mais ce que le film aborde, hormis l’obscénité (très récurrente), la bouffe et donc l’obésité ou la drogue, ce sont des sujets d’actualités, à notre grand désarroi. Ce sont des éléments très sensibles que l’on incite à pardonner par le rire. Cette formule est basée sur l’autocritique d’une société rêveuse qu’est l’Amérique.
    Cela reste créatif et très structuré. C’est pourquoi les principales louanges s’arrêtent au niveau de cette harmonie vulgaire. A comparé avec South Park, il y a une différence de mise en scène, bien que l’on se place au même niveau d’humour ou d’obscénité. De la retenu ? Uniquement pour quelques subtilités que l’on s’accorde à être parfois rabaissant ou totalement déjanté.

    Au final, le film est étonnamment bien réalisé, malgré l’aspect délirant, parodiant son propre style de comédie.
    tifdel13
    tifdel13

    87 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2016
    Les spectateurs les plus puritains crient au scandale… Sausage Party est surtout la plus grosse blague cinématographique de l’année. Né dans l’esprit potache de Seth Rogen qui double également Frank, la saucisse principale du film, ce film d’animation d’un nouveau genre ne fait rien d’autre que divertir… les plus grands. Interdit au moins de 12 ans, Sausage Party enchaîne les connotations...

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    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    77 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2016
    Sans aucun doute le film le plus délirant de l'année. Avant toute chose, je préviens les parents qui pourraient mal interpréter le sourire inoffensif de la saucisse mignonne en gros plan sur l'affiche (même si son inclinaison explicite ne devrait en théorie leur laisser aucun doute) : CE DESSIN ANIMÉ N'EST ABSOLUMENT PAS À DESTINATION DES ENFANTS. Interdit aux moins de 12 ans (aux moins de 17 ans aux États-Unis), comme" La Vie d'Adèle", pour vous donner une idée, bien que "la fête des saucisses" soit, à mon sens, autrement plus subversif que le chef d'œuvre de Kechiche ;-). Le pitch ? Les aliments d'un grand supermarché américain réalisent avec stupeur que leur sort ne s'apparente pas exactement à l'autoroute du soleil. Soit ils sont bouffés, soit périmés et finissent à la benne. Contre cet avenir terrifiant, ils se rebellent. Et c'est parti pour 1h30 de dinguerie surréaliste où bien sûr se niche une critique bien sentie de la société de consommation. Mais pas seulement. Conflit israélo-palestinien, islam radical, pudibonderie américaine, effets de la drogue, j'en passe et j'en oublie. C'est très très drôle, hyper corrosif et méga trash. La bande de Judd Apatow ("SuperGrave", "40 ans, toujours puceau", "En cloque mode d'emploi") menée par Seth Rogen et Jonah Hill, s'est lâchée sur le scénario sans se poser de limites et c'est absolument jouissif à regarder. Le casting de voix est assez génial (Seth Rogen himself, Edward Norton dans le rôle du bagel juif au débit très "allenien", Salma Hayek dans celui de la tortilla lesbienne sont déments). Et la scène finale, une partouze géante, m'a fait pleurer de rire comme il y a longtemps que ça ne m'était pas arrivé !
    Anonyme M
    Anonyme M

    60 abonnés 1 652 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 avril 2022
    je ne sait pas ce qu'il y a de plus malsain dans cette merde: le fait que le film est une lamentable parodie de toy story ?, le fait que les personnages principaux sont des sausices ?, que l'un des parsonnage est un vagin ?, un autre un tortillas, l'autre un chausson aux pomme. le scénario est épouventable est n'as absolument aucun sens 2016 !!! WTF 2016 !!
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    45 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    Grossier, vulgaire et fondamentalement stupide. Se veut sans doute politiquement incorrect et subversif, mais ne dénonce finalement rien du tout, se contentant de faire de l'humour facile à base de blagues salaces et autres allusions communautaires. Vraiment poussif au final.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 novembre 2016
    franchement, j'ai adoré!

    Dés les premières minutes on s'identifie a ces pauvres débiles navrants rêvant d'un paradis a la sortie du caddie!
    Palpitant, marrant, méchant, sans aucune concession (je dis bien aucune!)
    Je l'ai vu comme une diatribe méchante contre la religion (et oui, bizarre), des gens révant d'un paradis et trouvant l'enfer, il faut relever toutes les petites piques contre le symbolisme religieux, c'est assez désopilant
    SPOILER : pour une fois, pas d'humain mielleux tout gentil, les gens sont méchants, les héros sont bêtes, le monde est mauvais.

    le meilleur dessin animé pour adulte de l'année! a conseiller!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    Je n'ai jamais vu un film mauvais à ce point là. Absolument pas drôle, vulgaire est un euphémisme et embarrassant pour ses producteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 décembre 2016
    Je ne comprend pas que dans votre synopsis, vous n'ayez pas mit que ce film est un film porno prônant la drogue..... et je passe le reste. Comment ce fait-il que le CSA l'ai classé moins de 12 ans?.... Au même titre que "Fritz the Cat" qui de moins de 18 à été classé moins de 12 ans.... Je fais le rapprochement avec ce film des années 60.... du réchauffé... Sans intérêt et inapproprié, voir malsain pour un public d'enfants de moins de 16 ans et encore!.....
    Chris58640
    Chris58640

    208 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2016
    « Sausage Party », le film d’animation de Conrad Vernon et Greg Tiernan, fait beaucoup parler de lui à cause (ou grâce) à ses petites scènes lubriques pour adultes et ses gros mots à foison. En réalité, ce film, qui ressemble dans sa forme beaucoup à un film de Pixar ou de Disney (petits objets qui parlent, chansons, animation soignée et rythme infernal), est bien plus qu’un film scabreux pour des adultes attardés. « Sausage Party » est un film qui aborde des sujets profonds (pour ne pas dire carrément métaphysiques parfois) avec un humour qui est d’autant plus cinglant qu’il est enrobé dans une apparente vulgarité, un peu comme une cacahouète d’acide enrobée dans un chocolat. On n’y prend pas garde tout d’abord, occupé que l’on est à rire des bons mots un peu graveleux du scénario mais très vite, on devine que ledit scénario va aborder des sujets sensibles, bien casse-gueule, bien polémiques. Même s’il le fait parfois sans finesse, il le fait, et venant d’un film américain, on est quand même un peu (et heureusement) surpris. La Foi contre la Connaissance, le conflit Israélo-Palestinien, la condamnation par la religion de l’homosexualité, et même de la sexualité tout court, quand on regarde « Sausage Party » dans son ensemble, on y voit davantage un film profondément athée qu’un film cochon ! Alors oui, certaines vannes flirtent avec le mauvais gout (les allusions à la Shoah ne sont pas les plus réussies, et je ne parle même pas de la douche vaginale ivre de vengeance…) mais d’autres sont carrément drôles (le tacos lesbienne, ou le pain libanais qui croit dur comme fer qu’au paradis il sera accueilli par 77 bouteille d’huile d’olive extra-vierge !). Et puis, l’essentiel c’est que c’est la Connaissance et même la Science (sous la forme d’un chewing-gum directement inspiré par Stephen Hacking) qui triomphe d’un obscurantisme religieux qui condamne les croyants à la soumission éternelle. Cette dualité, parfaitement illustrée par une conversation entre la saucisse Franck (qui veut savoir, qui veut des preuves) et le petit pain Brenda (qui ne veut surtout pas chercher à savoir, qui préfère croire et obéir en retournant sagement dans son emballage), c’est l’axe central du film. C’est ça, l’intérêt de « Sausage Party », et non ses allusions graveleuses et sa scène finale d'orgie alimentaire, bien plus drôle et inventive que choquante ! On peut être un peu navré parfois par l’enrobage un peu vulgaire du propos, le peu de finesse de certaines scènes mais le fond du film est suffisamment subversif pour justifier qu’on aille en salle découvrir ce film de saucisse, pour peu qu’on ait plus de 12 ans évidemment… Et puis, quand on aime le cinéma, on s’amusera aussi à repérer les nombreuses références cinéphiliques du scénario : de « Terminator » à « Il faut sauver le Soldat Ryan », en passant par « Stargate », les westerns, les films d’actions, les films d’horreur, c’est tout le cinéma de genre qui se retrouve honoré et illustré par des saucisses à hot-dog, des bouteilles d’alcool fort, des pains de toutes origines, des légumes de toutes tailles, des fruits de toutes formes, des bouteilles de ketchup et des pots de moutarde ! Très inventif (comme dans toute bonne comédie, c’est une idée ou un gag toutes les 10 secondes), subversif, franchement drôle par moment, dialogué plus finement qu’on pourrait le penser, hyper rythmé et agréable à l’œil comme à l’oreille, « Sausage Party » mérite bien qu’on aille se rincer l’œil au cinéma.
    julien2222
    julien2222

    33 abonnés 1 268 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2017
    Irreverencieux à mort ! Les dialogues sont hardcore et genialiscime. Certaines situations sont également énormes ! Effectivement ce film n'est pas pour les enfants, mais c'est le pied pour nous. Excellente idée et bravo les créateurs !
    Alexis D.
    Alexis D.

    104 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2020
    Sorti en août 2016 aux États-Unis sans faire de remous particuliers, "Sausage Party" a bien failli ne jamais atteindre les salles françaises. Il est vrai que ce film d’animation, pas vraiment destiné aux enfants, pose question quant à sa distribution, d’autant plus en cette période peu propice aux plaisanteries de mauvais goût sur les communautarismes, la religion et la sexualité. Irrévérencieux et joyeusement graveleux, "Sausage Party" marque ainsi le retour du duo Seth Rogen/Evan Goldberg, après leurs deux films en tant que réalisateurs, "C’est la fin", et "L’interview qui tue !". Ils se cantonnent néanmoins cette fois au scénario, laissant Conrad Vernon (les franchises "Shrek" et "Madagascar"…) et Greg Tiernam aux commandes. Le menu affiché dès les premières minutes est bien simple : mettre les pieds dans le plat de tous les sujets sensibles du moment. Religions donc, mais aussi conflit israélo-palestinien, racisme, créationnisme, homophobie… Rien n’est oublié pour offrir une fête à la saucisse délirante qui ne sera bien évidemment pas du goût de tout le monde. "Sausage Party" nous raconte donc l’histoire de Franck, petite saucisse à hot-dog attendant impatiemment comme tous les aliments d’un supermarché d’être emportée vers le grand au-delà par les dieux consommateurs. Mais un pot à moutarde au miel ramené au magasin pour être échangé joue soudain les trouble-fêtes : selon lui, il n’y existerait aucun au-delà. La seule chose qui attendrait les marchandises serait une cruelle consommation par les dieux. Franck et Brenda (sa petite amie pain brioché), bientôt accompagnés de Lavash le pain pita et de Sammy le bagel, vont alors parcourir les différents rayons pour enquêter sur cette terrible révélation. Au fil des rencontres avec les "habitants" du supermarché, se déploie une insatiable créativité visant à transformer les produits de grande consommation en personnages tiraillés entre l’espérance fiévreuse d’être le prochain "élu" des dieux et la difficile cohabitation avec leurs voisins de rayons. Chewing-gum, papier toilette, packs de bières, tacos, jus de fruits… Tous se côtoient ainsi au sein d’un jeu d’échelles brillamment mis en scène, évoquant le travail de l’équipe de "Toy Story 3" (les magnifiques textures en moins, certes). La franchise phare de Pixar apparaît d’ailleurs comme le maître-étalon pour "Sausage Party", notamment par son alternance du point de vue des humains et des objets. Ainsi, vingt ans après le premier opus des aventures de Woody le cow-boy, cette révolte des produits de consommation prend le relais pour allègrement venir secouer la routine des films d’animation 3D américains. Le film est bien évidemment à savourer en version originale, Seth Rogen retrouvant ici ses habituels compères (James Franco, Jonah Hill, Kristen Wiig, Michael Cera), accompagnés de quelques nouveaux venus pour l’occasion (Edward Norton, Salma Hayek…). Et l’on comprend aisément que le projet ait fédéré, ce "Sausage Party" tirant à boulets rouges sur tout le spectre des valeurs réactionnaires américaines. La structure du récit est pourtant des plus classiques : le voyage de Franck le mènera peu à peu aux origines de la machination, en même temps qu’il fuit le bad guy de l’histoire (une poire à lavement psychopathe, rien que ça). Mais le déjà-vu est ici systématiquement mâché et recraché, plus encore que dans les films d’animation des studios concurrents pourtant coutumiers de double discours, de mises en abyme et d’auto-références. Le résultat est une avalanche d’idées allant de la métaphore politique bien sentie à la scatologie la plus crasse (Seth Rogen oblige), ce qui n’empêche aucunement le film de développer cette fois-ci une impertinence bien réelle. C’est qu’il est avant tout question d’émancipation dans "Sausage Party", et la survie des personnages tiendra au dépassement de toutes les règles, principalement les plus fondamentales, les plus incontestables. Ainsi la géniale chanson d’ouverture, au cours de laquelle les produits célèbrent d’une seule et même voix béate les dieux consommateurs, deviendra l’incarnation de la grande mascarade qu’il faut abattre à tout prix. L’univers lumineux et coloré de la grande distribution se transforme alors en un terrain de guerre où les marchandises jurent, fuient, tuent, agonisent parfois, dans leur tentative désespérée d’échapper à leur triste sort. Nos petits personnages y gagneront la reconquête d’une liberté sans limites, débarrassés de tous ces mythes qui les maintenaient bien sages dans leurs rayons, par peur de la punition promise et par oubli de leur propre mortalité. Pour peu d’y goûter, "Sausage Party" permet de partager le plaisir communicatif du blasphème joyeux et trash, pas si bête et méchant, à l’encontre de toutes les divinités religieuses et idéologiques. Rire de tout, de n’importe quoi aussi, et plus encore de ce qui n’est pas vraiment drôle… Voilà qui fait un bien fou. Et puis l'énorme avantage de ce film c'est de prouver une bonne fois pour toutes que les films d'animation ne sont pas et n'ont jamais été QUE pour les enfants
    zoupeurman
    zoupeurman

    13 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2016
    Une très bonne intro au film et un final qui malheureusement rappelle trop la patte de la bande de Seth Rogen. Entre les deux, on trouve de tout: des blagues grasses faciles et déjà vues, des blagues grasses drôles et osées, du sarcasme et de la caricature pile poil ce qu'il faut dans le contexte géopolitique actuel. En résumé: plutôt une bonne surprise avec un scénario assez original.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 octobre 2016
    Malgré une structure narrative assez classique, Sausage Party est un concentré d'humour absurde et de WTF régressif et jouissif au possible.
    On passe une bonne partie du film (cf particulièrement le dernier quart d'heure) la mâchoire déboitée par un nombre de situations et de gags particulièrement profanes.
    Ça fait un bien fou de voir un cartoon aussi décomplexé, pour les adultes avertis et clients de cet humour salace seulement, et absolument en V.O..
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Mise à part la bande annonce rien de bien grandiose. spoiler: bien sur on peut y voir une satire de notre société de consommation et tout un tas d'autre dérive mais cela ne vaut pas une profondeur digne de se noms.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Grâce à la COMIC CON PARIS nous avons assisté à l'avant première de ce film encore merci pour cette découverte qui est un bon moment de fun
    ATTENTION ne pas ce fier à la bande annonce et déconseillé au moin de... Car c'est pas pour les enfants à regarder avec des ado minimum

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